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Cote : V-DOC-MIL
Des adolescentes âgées de 13 à 18 ans qui vivent en banlieue ont la parole. Elles parlent de leur langue maternelle, de la langue de la cité, de l'école, de leurs difficultés face au langage normé. Elles expriment leurs contradictions, elles revendiquent leur particularité et l'attachement à l'identité d'un groupe. Traversant la mutation de l'adolescence, c'est la construction fragile de leur vie de femme qu'elles protègent et inventent.

BANLIEUE ; IMMIGRE ; JEUNE ; IDENTITE CULTURELLE ; LANGAGE ; FEMME ; SOCIOLOGIE URBAINE

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Cote : V-DOC-GAR
Comment la prise en compte des critères environnementaux a changé la donne en matière de construction, tel est le sujet de ce documentaire.

CONSTRUCTION ECOLOGIQUE ; DEVELOPPEMENT DURABLE

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Cote : V-DOC-POT
Ce documentaire cherche à mettre en évidence les avantages de la construction en bois, en tant que ressource renouvelable, économe en énergie en comparaison de l'acier ou du béton. Différents aspects de la construction en bois, de l'atelier au chantier, sont abordés au travers de rencontres avec des charpentiers, menuisiers et des propriétaires de maisons en bois.

BOIS ; CONSTRUCTION EN BOIS

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Cote : V-DOC-IMA-LAZ
Les Bosquets, c'est le nom bucolique d'un quartier HLM de Montfermeil. À la fin du printemps, la vie semble tranquille. Au pied d'immeubles délabrés, parmi les chantiers de rénovation, certains jouent aux cartes, plus loin, des femmes discutent sur la pelouse. Cette tranquillité inattendue, soutenue par de longs plans larges, suspend notre jugement sur une banlieue stigmatisée par l'information.

BANLIEUE ; MONTFERMEIL ; HLM ; QUARTIER ; GRAND ENSEMBLE ; RENOVATION URBAINE ; SOCIOLOGIE URBAINE

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Emigrés (Les) Vieira José | CNC 2009

DVD


Cote : V-DOC-IMA-BIA
C'est l'été dans le petit village portugais de São Vicente, le moment où ceux qui, dans leur jeunesse, ont quitté le pays pour une "vie meilleure" en France reviennent, le temps des vacances. José Vieira filme ces retrouvailles, joyeuses pour certains, difficiles pour d'autres, et prête attention aux questions et aux doutes qu'elles font naître chez ces "émigrés" : quel est désormais, du Portugal ou de la France, leur véritable pays ?

MIGRATION ; PORTUGAL ; IDENTITE CULTURELLE ; IMMIGRE ; EXODE RURAL ; HISTOIRE RURALE

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Cote : V-DOC-IMA-BIA
Frédéric Biamonti rend compte des réflexions prospectives foisonnantes des architectes, urbanistes et élus de tout bord qui se sont investis dans le projet du Grand Paris, mis à nouveau à l'ordre du jour par le Chef de l'Etat en 2008. A travers les plans filmés du skyline de l'agglomération parisienne et les images 3D des projets cartographiés, les acteurs du Grand Paris auscultent les besoins et les potentiels de Paris hors les murs.

75 PARIS ; METROPOLE ; CAPITALE ; ANALYSE URBAINE ; FONCTION URBAINE ; HISTOIRE DES VILLES ; AMENAGEMENT DU TERRITOIRE ; AMENAGEMENT URBAIN ; ETALEMENT URBAIN ; RESTRUCTURATION URBAINE ; PROJET D'URBANISME ; POLITIQUE URBAINE ; POLITIQUE DU LOGEMENT ; PROSPECTIVE ; PLANIFICATION URBAINE ; VILLE NOUVELLE ; BANLIEUE ; RAPPORT CENTRE-PERIPHERIE ; VOIE RAPIDE ; PERIURBAIN ; TRANSPORT URBAIN ; DEVELOPPEMENT URBAIN ; EXCLUSION SOCIALE

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Cote : V-DOC-IMA-BEN
La Seine-Saint-Denis cumule les mauvais scores : habitat dégradé, échec scolaire, chômage des jeunes, insécurité et violences urbaines. Un an après les émeutes qui, parties de Clichy-sous-bois, embrasèrent la France entière, Yamina Benguigui invite à prendre du recul. Avec les analyses d'historiens, d'architectes, de responsables politiques et les souvenirs personnels d'habitants des cités, son film brosse une fresque historique et humaine.

BANLIEUE ; 93 SEINE-SAINT-DENIS ; HISTOIRE ; SOCIOLOGIE URBAINE ; GRAND ENSEMBLE

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Cote : V-DOC-IMA-DEV
Anne-Marie Faux et Jean-Pierre Devillers rendent hommage à Maurice Pialat, "marginal d'un cinéma marginal", comme lui-même se définissait : les extraits de films (de "L'amour existe" en 1961 au "Garçu" en 1995, en passant par "La Maison des bois" en 1970) alternent avec les entretiens télévisés pour dessiner la biographie "affective" du cinéaste, à l'horizon de laquelle se croisent Ford, Ozu et Renoir.

CINEMA-ART ; PIALAT (MAURICE)

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Cote : V-DOC-IMA-CAI
En 1931, la famille Bata implante au sud de la Moselle, en pleine campagne, une usine de chaussures ultra-moderne. Autour de l'entreprise, elle crée Bataville, cité modèle pour travailleurs modèles. Sous l'œil d'un patron omniprésent, trois générations vont vivre et travailler dans cet univers clos. François Caillat propose une visite de cette utopie patronale, sous la conduite fictionnelle de Tomas Bata lui-même, le père fondateur.

57 MOSELLE ; UTOPIE URBAINE ; CITE OUVRIERE ; USINE ; VILLE INDUSTRIELLE ; HABITAT OUVRIER ; MODE DE VIE ; HISTOIRE SOCIALE

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Cote : V-DOC-PER
Récits d'Ellis Island (1978-1980), de Georges Perec et Robert Bober1e partie : Traces, 57'2e partie : Mémoires, 60'De 1892 à 1924, près de seize millions d'émigrants en provenance d'Europe, chassés par la misère, la famine, l'oppression politique, religieuse ou raciale sont passés par Ellis Island, îlot de quelques hectares aménagé en centre de transit, près de la statue de la Liberté, à New York.Ellis Island représentait pour Perec, « le lieu même de l'exil, le lieu de l'absence de lieu, le non-lieu, le nulle part.»Les Lieux d'une fugue (1978), 41', de Georges Perec« C'était le onze mai 1947. Il avait onze ans et deux mois. Il venait de s'enfuir de chez lui, dix-huit rue de l'Assomption, seizième arrondissement ... »[-]
Récits d'Ellis Island (1978-1980), de Georges Perec et Robert Bober1e partie : Traces, 57'2e partie : Mémoires, 60'De 1892 à 1924, près de seize millions d'émigrants en provenance d'Europe, chassés par la misère, la famine, l'oppression politique, religieuse ou raciale sont passés par Ellis Island, îlot de quelques hectares aménagé en centre de transit, près de la statue de la Liberté, à New York.Ellis Island représentait pour Perec, « le lieu ...[+]

OULIPO ; MIGRATION

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Cote : V-DOC-IMA-NGA
De Gorée (Sénégal), principale porte de la déportation massive de la population africaine (11 millions pendant 3 siècles), aux Antilles françaises, en passant par Paris, plongée au cœur de "l'identité noire". Devoir de mémoire, tabous, préjugés... la question est abordée du point de vue de l'écrivain (Gaston Kelman), du politique (Kofi Yamgnane), de l'artiste (Disiz la Peste) ou de l'associatif (Conseil représentatif des associations noires).

IDENTITE CULTURELLE ; HISTOIRE ; ANTILLES ; IMMIGRE ; AFRIQUE SUB-SAHARIENNE

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Cote : V-DOC-IMA-RAM
Symbole envahissant du confort bon marché et de l'architecture de masse, le pavillon est-il une œuvre d'art qui s'ignore ? Frédéric Ramade mène l'enquête auprès de sa propre famille, propriétaire depuis plus de vingt-cinq ans d'une résidence dans un lotissement en Touraine. Avec humour et tendresse, mais sans être dupes, son père, sa mère, sa sœur et lui-même exposent l'art de vivre en pavillon.

HABITAT PAVILLONNAIRE ; LOTISSEMENT ; HABITAT INDIVIDUEL ; QUALITE DE LA VIE ; SOCIOLOGIE DE L'HABITAT

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Cote : V-DOC-IMA-PET
Si le film consigne la parole du prêtre salésien et éducateur Jean-Marie Petitclerc sur les moyens à développer pour réduire la fracture sociale des "quartiers", le réalisateur suit aussi ses actions sur le terrain auprès des jeunes du Centre du Valdocco à Argenteuil. Pour JM Petitclerc, membre du Conseil national des villes et de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine, mixité sociale et mobilité sont deux facteurs essentiels d'insertion.

MIXITE SOCIALE ; BANLIEUE ; SOCIOLOGIE URBAINE ; ACTION SOCIALE ; SEGREGATION SOCIALE

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Cote : R-CNC-IMA-QUI
Élégante et inventive structure jouant avec un matériau insolite - le carton -, la halle de l'architecte japonais Shigeru Ban à Pouilly-en-Auxois est un hommage à l'audace d'un dispositif créé au XIXe siècle afin que les péniches traversent souterrainement le village. Au fil des rencontres avec les acteurs et les témoins, on assiste à la mise en œuvre de la halle qui abritera l'élément clé de l'ancien système de transit : le toueur.
Annick Spay, CNC[-]
Élégante et inventive structure jouant avec un matériau insolite - le carton -, la halle de l'architecte japonais Shigeru Ban à Pouilly-en-Auxois est un hommage à l'audace d'un dispositif créé au XIXe siècle afin que les péniches traversent souterrainement le village. Au fil des rencontres avec les acteurs et les témoins, on assiste à la mise en œuvre de la halle qui abritera l'élément clé de l'ancien système de transit : le toueur.
Annick Spay, ...[+]

BAN (SHIGERU) ; PAPIER ; POUILLY-EN-AUXOIS ; CANAL ; TRANSPORT FLUVIAL ; STRUCTURE LEGERE

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Cote : V-DOC-IMA-HYB
"Face à un mur recouvert de mots et d'images, sorte de story-board d'une œuvre en devenir, l'artiste Fabrice Hybert, crayon à la main, expose le processus d'élaboration de sa pensée : cette juxtaposition d'écritures, dessins et photographies procède par contaminations ou par correspondances. Des vidéos plus anciennes complètent la présentation de son travail, qui se déploie du dessin jusqu'à l'entreprise culturelle, commerciale et médiatique.

Fin des années 1980, Fabrice Hybert invente des "peintures homéopathiques", qui sont la mise en forme narrative de ses préoccupations économiques ou scientifiques. Ce répertoire de formes elliptiques va donner naissance à des objets loufoques, les POF (Prototypes d'Objets en Fonctionnement). Sa complice Eliane Pine Carrington les met en scène dans des mini-clips, tel le POF n°7 : des écouteurs munis d'hélices et de coton-tiges chatouillent les oreilles tout en diffusant de la musique. Avec UR (Unlimited Responsability), entreprise créée en 1994, les POF sont commercialisés. En 1995, le musée d'Art Moderne de la Ville de Paris se voit transformé en "Hybertmarché" ; deux ans plus tard, le pavillon français de la Biennale de Venise devient studio de télévision. Les émissions produites sous forme de débats lui permettent aussi bien d'aborder les thèmes récurrents dans son travail (état de non-vigilance, commerce, drogue, sida) que de valoriser le rôle de l'artiste comme médiateur culturel. "
Annick Spay, CNC[-]
"Face à un mur recouvert de mots et d'images, sorte de story-board d'une œuvre en devenir, l'artiste Fabrice Hybert, crayon à la main, expose le processus d'élaboration de sa pensée : cette juxtaposition d'écritures, dessins et photographies procède par contaminations ou par correspondances. Des vidéos plus anciennes complètent la présentation de son travail, qui se déploie du dessin jusqu'à l'entreprise culturelle, commerciale et média...[+]

HYBERT (FABRICE) ; INSTALLATION-ART ; OBJET DECORATIF

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Cote : V-DOC-IMA-BOU

"Quatre parties distinctes et purement informatives présentent des projets récents de l'architecte. Familier des architectures éphémères et du monde du spectacle, s'associant avec des plasticiens, Patrick Bouchain puise des inspirations originales dans les sites qu'il investit, jusque dans leur végétation. Chaque chantier est une aventure humaine, à laquelle prennent part les destinataires du projet. Visites guidées par l'architecte.

Dans les écuries du château de Versailles où s'installe le théâtre équestre de Bartabas, Bouchain aménage une salle de spectacle avec une structure de bois. Tandis que les artisans sont à l'œuvre, il explique comment chacun contribue à créer la chaleureuse magie attendue ("Les Grandes Ecuries, 2002"). Pour l'école du cirque installée à Saint-Denis, il a fait en sorte que les usagers soient maîtres d'ouvrage du projet. De cette collaboration fructueuse est née une architecture totalement adaptée aux besoins ("Fratellini, l'école de plain-pied, 2003"). À Roubaix, il s'agissait de transformer un bâtiment industriel en espace culturel : les solutions techniques ont tiré parti des éléments du passé sans les trahir ("La Condition publique, 2004"). Les bains douches 1930 de Bègles font partie du patrimoine de la ville : tout en modifiant l'attribution des espaces qui ne sont plus aux normes actuelles, Bouchain conserve l'esprit de ce lieu dédié aux plaisirs du corps ("L'Oasis, 2004"). "
Aude Mathé, CNC[-]

"Quatre parties distinctes et purement informatives présentent des projets récents de l'architecte. Familier des architectures éphémères et du monde du spectacle, s'associant avec des plasticiens, Patrick Bouchain puise des inspirations originales dans les sites qu'il investit, jusque dans leur végétation. Chaque chantier est une aventure humaine, à laquelle prennent part les destinataires du projet. Visites guidées par l'architecte.

Dans les ...[+]

BOUCHAIN (PATRICK) ; ARCHITECTURE EPHEMERE ; ARCHITECTURE DE SPECTACLE ; ECURIE ; VERSAILLES ; SAINT-DENIS ; CIRQUE ; ROUBAIX ; RECONVERSION DE BATIMENT ; BATIMENT INDUSTRIEL

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Cote : V-DOC-IMA-COP

"Richard Copans explore le périphérique parisien, cette infrastructure à l'urbanité spécifique qui irrigue toute l'agglomération et marque la coupure entre la ville et sa banlieue. Promenade automobile, de jour comme de nuit, au milieu du flux ininterrompu des voitures, en compagnie d'un troubadour qui égrène en chantant les noms des portes. Une confrontation dynamique des échelles, des formes et des usages, qui prend ainsi une dimension poétique.

Au moment où de jeunes architectes - le groupe Tomato - imaginent une recomposition spatiale articulant Paris à ses communes voisines, Richard Copans retrace l'histoire des limites de la capitale par le biais de chansonnettes distillées avec saveur. La caméra à l'affût pointe l'hétérogénéité des aménagements réalisés de part et d'autre du périphérique depuis un siècle. Une traversée dynamique, sur une ceinture large de 400 mètres, qui multiplie les points de vue sur la métropole. La variété des sites urbains confrontés à la tranchée routière révèle avec humour des absurdités. Ainsi, à Saint-Mandé, pour aller du magasin des pompes funèbres au cimetière qui lui fait face, il faut emprunter une dizaine de rues. "Paris périph", espace du tout automobile, mais aussi de la ville banale, où les logements sociaux côtoient l'installation précaire des marginaux, tel ce "propriétaire" d'un pilier situé entre les portes de Pantin et de la Villette, et à l'abri duquel il a installé sa caravane. "
Annick Spay CNC[-]

"Richard Copans explore le périphérique parisien, cette infrastructure à l'urbanité spécifique qui irrigue toute l'agglomération et marque la coupure entre la ville et sa banlieue. Promenade automobile, de jour comme de nuit, au milieu du flux ininterrompu des voitures, en compagnie d'un troubadour qui égrène en chantant les noms des portes. Une confrontation dynamique des échelles, des formes et des usages, qui prend ainsi une dimension ...[+]

LIMITE ; VOIE RAPIDE ; 75 PARIS

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Cote : V-DOC-IMA-SPI

"Cela commence à Turin, dans l'atelier de Giuseppe Penone, quand y arrive le tronc d'un grand cèdre, et s'achève sur l'accueil de cet arbre sculpté au centre Pompidou pour la rétrospective consacrée à l'artiste (avril 2004). Le leitmotiv du travail de Penone sur cette sculpture rythme la vision générale de son parcours, dont il commente certaines phases, depuis la fin des années 1960, où il était le plus jeune membre de l'Arte Povera.

Être ou matière autre, fluide, souple, l'arbre est cet être de mémoire à la rencontre duquel se rend l'humain Penone. Parfois il en retrouve le contour naturel dans le "produit culturel" qu'est la poutre ; parfois, grâce aux cernes de croissance qu'il enlève un à un, il découvre le jeune arbre resté intact au cœur du vieux tronc. Mais il peut aussi planter des arbres qui engloberont dans leur croissance des bronzes aux apparences végétales, tel l'"Arbre des voyelles" au Jardin du Luxembourg. Aux Pays-Bas, il a conçu un chemin en forme de branche (collection Eyck-Wijire) afin que l'homme y circule "comme une sève". "L'essentiel dans mon travail est de faire prendre conscience de ce qui existe et qu'on ne voit pas." Ses travaux sur les empreintes présentent l'être humain comme une matière qui donne trace. Car si Penone sait se faire fleuve pour éroder la pierre ("Essere Fiume"), il révèle aussi ce que le marbre a d'anthropomorphe par la mise en relief de ses veines douces ("Anatomie"). "
Christine Rheys CNC[-]

"Cela commence à Turin, dans l'atelier de Giuseppe Penone, quand y arrive le tronc d'un grand cèdre, et s'achève sur l'accueil de cet arbre sculpté au centre Pompidou pour la rétrospective consacrée à l'artiste (avril 2004). Le leitmotiv du travail de Penone sur cette sculpture rythme la vision générale de son parcours, dont il commente certaines phases, depuis la fin des années 1960, où il était le plus jeune membre de l'Arte Povera.

Être ou ...[+]

PENONE (GIUSEPPE) ; ARTE POVERA ; ARBRE ; SCULPTURE

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Cote : V-DOC-IMA-DES
Images d'hier et d'aujourd'hui, peintures, esquisses, extraits de fictions (Bondartchouk, Welles, Murnau...) se mélangent savamment pour composer une mosaïque dont émergent les portraits d'une ville, d'une époque et d'un peintre : Delacroix. Filmant les tableaux en public, selon différentes vitesses (de l'accéléré au ralenti) qui donnent parfois aux vivants des aspects fugaces, Jacques Deschamps révèle une temporalité singulière de la peinture.

75 PARIS ; IMAGE DE LA VILLE ; PEINTURE ; PHOTOGRAPHIE ; HISTOIRE DE L'ART ; 19E SIECLE ; DELACROIX (EUGENE)

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