Documents INSTALLATION-ART 141 résultats

Document pédagogique destiné au service communication de l'ESA.
DVD 1
Semestre sept-dec. 2009
L'artiste et enseignante Nathalie Junod Ponsard propose de créer une installation ou une sculpture à l'échelle 1 dans le jardin de la Cité Internationale des Arts, 18, rue de l'hôtel de ville 75004 Paris.
Texte de présentation du thème de l'atelier par NJP (voir pdf)
Texte des étudiants pour leurs installations
Images de l'installation En Suspens » à la Cité des Arts
Etudiants : Julie Chehab, Jean-Baptiste Roman, Arnaud Deprez et Takami Nakamoto, Axel Allione et Clément Donnefort, Youness Berrada & Abdullah Muraiqeb, Camille Jacoulet, daniel Adrien, Tangi Défachelles, Louis Geffroy et Louis Geslain, Nicolas Herlemont , Tristan Delagneau et Hugo Reichmann.

DVD 2
Travaux d'élèves du Semestre 2 Printemps 2009
Guillaume Colin et Niccolo Fulchignoni, Paul Moreau et Mamoun Rtal Bennani, Pierre-Alexandre Treust, Randa Bensalem

Travaux d'élèves du Semestre 5 en 2009
Amandine Barré et Simon Pesin, Anaïs Guimpier et Elisabeth Koc, Ingrid Diaz et Nicolas Grémillet, Laurie Decarre et Lakme Gremillet, Ottman Diouri et Hamza Rachad, Pierre-Yves Ferreyra et Samuel Lumbroso. [-]

Le DVD comprend quatre petits films de quelques mminutes chacun, montrant les actions performances de :Mental Klinik vers 2008-2009 pour amorcer le workshop en 2009 avec les étudiants de l'ESA sur notre rapport à l'objet et au design : le premier présente une installation à la manifestation "Art 40" de Bâle en 2009 (film "vernissage TV de Heinrich Schmidt), le second s'intitule "Binary occupation" (7'42), les suivants "Tagcloud " (9'26 et 01'56). [-]

Le film présente les interventions artistiques dans l'espace public de Betty Bui, Daniel Buren, Jace, Tadashi Kawamata et Louis Pavageau dans le cadre du festival "Leu Tempo Festival 2009" organisé par Le Séchoir, scène conventionnée de La Réunion. Le film montre aussi la semaine précédant le festival,où s'élabore le processus de création et donne à voir le fonctionnement les ateliers dirigés par Tadashi Kawamata et Betty Bui avec les étudiants des écoles d'art et d'architecture. [-]

Ce livre-DVD a été publié à l'occasion de l'installation de l'artiste japonais Tadashi Kawamata au centre d'art de la Maréchalerie, lié à l'ENSA de Versailles. Il retrace le déroulement du workshop encadré par une équipe pédagogique de l'Ecole d'architecture de Versailles, dirigé par Kawamata et prolongé par une exposition au centre d'art de la Maréchalerie, Le livre contient également un entretien avec Gilles Coudert où l'artiste développe les enjeux de cet exercice du work in progress.[-]

Finn Geipel, architecte originaire de Stuttgart, a fondé en 2000 avec Giulia Andi l'agence LIN à Berlin, avec une antenne à Paris,  le LIA, laboratoire de recherche et d'enseignement de l'université de Berlin, et assure la liaison entre les deux structures pour lui très importante. Au cours de cette conférence, Finn Geipel présente les quatre thèmes qui sous-tendent toute son activité d'architecte et de chercheur : thème de la continuité entre les choses, les actions et entre les choses et les actions, de fluidité des situations ; thème de la densité et de l'activité, conditions de l'urbanité d'où un usage économe de l'espace et des ressources ; thème de la temporalité, des cycles temporels de la ville, de l'interaction permanence/changement ; thème de la gradation entre matières, échelles, atmosphères, situations, d'où une architecture plus économe. Et pour illustrer ces quatre thèmes, Finn Geipel commente trois de ces derniers projets : 1-BSY Syn Chron, New National Gallery, Berlin : structure-sculpture cristalline mobile, conçue pour une performance d'artiste, lumière et sons, monospace, structure qui s'insère dans le bâtiment et constitue elle-même les parois de l'espace scénographique (membrane nid d'abeille). 2-SNA Base sous-marine de Saint-Nazaire : transformation d'un bunker,  aux qualités esthétiques d'une situation extrême, qui comprend un espace pour formes émergentes, un centre de musiques actuelles et une rue-espace public desservant 14 alvéoles. 3-SCD Cité du Design de Saint-Etienne : sur le site de l'ancienne Manufacture nationale d'armes, sont réunies dans un même volume, La Platine, nouvelle halle d'exposition répondant à un programme ouvert, d'une forme devant réagir dans le temps et donner une continuité à l'ensemble, différentes fonctions, recherche, enseignement, expositions et archivage liées au design. [-]

Yann Kersalé présente son parcours et son positionnement artistique, utilisant la lumière comme d'autres se servent de la terre ou de la peinture, il choisit la nuit, comme terrain d'expérimentation. Il a élaboré plus d'une centaine de projets In Situ et d'Expéditions-lumière : encéphalogramme lumineux de l'océan, détournements d'objets de haute technologie, interventions sur des ouvrages d'art ou des architectures, il travaille regulièrement avec des architectes comme Jean Nouvel ou Jakob et Mc Farlane.[-]

Wim DELVOYE
Artiste qui s'est fait mondialement connaître pour son installation Cloaca, dite machine à caca. Delvoye veut susciter la réflexion par la juxtaposition de différents univers et le contre-emploi.
Wang DU
Artiste obsédé par la toute-puissance des médias. Selon lui, les médias sont la deuxième dimension d'une réalité actuelle, qu'il nomme « post-réalité », au sein de laquelle se confondent monde réel et monde médiatique.
Alain FLEISCHER
Depuis une quinzaine d'années, il travaille sur une série photographique dont le principe de base est un paysage urbain avec le détail d'une photographie pornographique. C'est l'union provocatrice de deux motifs et de deux genres photographiques totalement opposés.
Claude LEVEQUE
Son travail se caractérise par une forme singulière d'art corporel, un art à la fois sensoriel et mental, où le corps n'est plus l'instrument ou le véhicule d'une forme, mais son récepteur privilégié. Sa matière première reste l'environnement quotidien.
Annette MESSAGER
En 2005, c'est le Pavillon français qui remporte le Lion d'Or de la 51e Biennale d'art contemporain de Venise. Celui-ci est baptisé Casino par Annette Messager. Casino, un mot compris dans toutes les langues, mais qui signifie aussi bordel ou petite maison en italien...
Giuseppe PENONE
Penone est l'une des figures de l'Arte Povera italien des années 60.
Xavier VEILHAN
Son travail s'inscrit au sein d'une certaine pratique hyper pop dont la représentation consiste à se saisir de sujets ordinaires et à les ériger paradoxalement comme objets ambivalents voire critiques, tout en offrant au spectateur de nouvelles expériences perceptives.[-]

Entretiens de Chaillot, conférence du 20 mars 2000. Toyo Ito souhaite prendre en compte dans ses projets les transformations de la société mondialisée, les perspectives ouvertes par le développement de l'univers virtuel, des réseaux électroniques, l'extraordinaire croissance urbaine à l'origine d'une nouvelle liberté de l'individu et d'une nouvelle perception du corps. Tour des vents (1986), installation vidéo, exposition de Hanovre, bibliothèque, fondation Cognacq-Jay, maison en aluminium, Mediathèque de Sensaï.[-]

Ce DVD regroupe 11 documentaires sur l'oeuvre de l'artiste japonais Tadashi Kawamata.
1 - "Work in progress" : rétrospective de l'oeuvre racontée par l'artiste lui-même, de ses premières peintures à ses installations monumentales. 2- "Transfert/Saché-Tours" : Kawamata questionne les domaines publics et privées en reliant deux lieux. 3- "Le Passage des chaises/Paris" : installation à la chapelle Saint-Louis de l'hôpital de la Salpêtrière d'une oeuvre éphémère à partir de chaises et de bancs d'église. 4- "Les Chaises de traverse/Metz-Delme" : installation à partir d'assemblage de chaises à l'Hôtel Saint-Livier à Metz et à la Synagogue de Delme. 5- "Sur la voie/Evreux" : réalisation d'une passerelle circulaire éphémère autour de la place principale d'Evreux. 6- "Relocation/Londres" : à l'occasion de la restauration de la Serpentine Gallery, Kawamata recycle les anciens matériaux dans une nouvelle construction à côté de l'ancienne, et utilise des portes et fenêtres dans une installation à la Annely Juda Fine Art Gallery à Londres. 7- "Work in progress/ Zug and Zuoz" : projets en Suisse : installations dans l'espace public, réalisées pendant plusieurs années à Zug, et construction d'une passerelle entre 2 édifices publics à Zuoz . 8- "Barquitos/ Valencia" : installation à Valencia, en Espagne, d'un agencement de barques d'eau douce et de bateaux de mer hors d'usage devant un ancien chantier naval. 9- "Bridge & Archives/Moyland " : installation d'une passerelle entre le centre des archives Joseph Beuys et la salle d'une exposition qui lui est consacrée, à Moyland en Allemagne. 10- "Détours, des tours/Thiers-Montélimar" : aux centres d'art contemporain deThiers (une ancienne usine) et de Montélimar (un ancien château médiéval), deux mises en scène autour des flux de la circulation dans et autour de ces bâtiments. 11- "Measure" : premiers travaux de Tadashi Kawamata, à l'université de Tokyo, qui montrent la réflexion de l'artiste autour du corps, de l'espace, de la lumière, de la perspective et de la perception.[-]

Ce DVD regroupe six videos du collectif Ant Farm qui est un groupe d'architectes de la contre-culture américaine actifs dans le domaine de la vidéo, de la performance et de l'installation. En 1978, l'incendie de l'atelier d'Ant Farm à San-Francisco met un terme à un travail collectif de dix ans. Cependant il reste assez de documents, de videos témoignant de l'activité de ce collectif d'avant-garde de la fin des années 1960. Les films présentés sont : Cadillac Ranch (1974/1994) ; Media Burn (1975) ; Ant Farm's Dirty Dishes (1970) ; Inflatables Illustrated (1971) ; Time Capsule (1972-1984) (1972/2000) ; OFF-AIR Australia (1976) ; World's Longest Bridge (1971).[-]

"Face à un mur recouvert de mots et d'images, sorte de story-board d'une œuvre en devenir, l'artiste Fabrice Hybert, crayon à la main, expose le processus d'élaboration de sa pensée : cette juxtaposition d'écritures, dessins et photographies procède par contaminations ou par correspondances. Des vidéos plus anciennes complètent la présentation de son travail, qui se déploie du dessin jusqu'à l'entreprise culturelle, commerciale et médiatique.

Fin des années 1980, Fabrice Hybert invente des "peintures homéopathiques", qui sont la mise en forme narrative de ses préoccupations économiques ou scientifiques. Ce répertoire de formes elliptiques va donner naissance à des objets loufoques, les POF (Prototypes d'Objets en Fonctionnement). Sa complice Eliane Pine Carrington les met en scène dans des mini-clips, tel le POF n°7 : des écouteurs munis d'hélices et de coton-tiges chatouillent les oreilles tout en diffusant de la musique. Avec UR (Unlimited Responsability), entreprise créée en 1994, les POF sont commercialisés. En 1995, le musée d'Art Moderne de la Ville de Paris se voit transformé en "Hybertmarché" ; deux ans plus tard, le pavillon français de la Biennale de Venise devient studio de télévision. Les émissions produites sous forme de débats lui permettent aussi bien d'aborder les thèmes récurrents dans son travail (état de non-vigilance, commerce, drogue, sida) que de valoriser le rôle de l'artiste comme médiateur culturel. "
Annick Spay, CNC[-]

"Christophe Loizillon rend compte sans commentaire du processus d'élaboration des espaces illusionnistes créés par Felice Varini. La caméra observe l'artiste : attentif, muni d'un fil à plomb, il arpente les lieux à investir, il calcule les distances, s'arrête, réfléchit à l'exactitude des perspectives, s'arrête à nouveau, s'assied, pose des bandes adhésives sur les murs, contrôle...

L'artiste suisse Felice Varini peint sur les murs, les piliers, les sols, les plafonds de galeries, couloirs ou espaces désaffectés, des bandes de couleurs primaires. Les diagonales, les cercles ou les carrés ainsi dessinés créent ou détruisent des effets de volume, selon le point de vue où l'on se place. Un point de vue, unique, que le spectateur trouve en se déplaçant dans l'espace, donne l'illusion d'une perspective peinte sur un seul plan. Par le biais de ces perspectives complexes ou de ces anamorphoses, Varini modifie la perception que nous avons des profondeurs de champ. La réalité d'un lieu apparaît révélée dans sa totalité, mais filtrée par l'invention en trompe-l'oeil de l'artiste. "
Annick Spay CNC[-]

"Ce court documentaire suit Georges Rousse dans des lieux voués à la démolition où il a choisi d'intervenir (Bercy, entrepôts à New York) et recompose ainsi les étapes d'un travail mêlant peinture et photographie.

Dans des locaux désaffectés, Georges Rousse (Nice, 1948) peint des formes abstraites sur différents murs de façon à ce que le point de vue photographique annule la perspective de l'espace réel et restitue le dessin comme d'un seul tenant, en deux dimensions. La photographie couleur, généralement de très grand format, constitue le seul témoignage de son travail puisque les lieux disparaissent peu de temps après. Les quelques mots qu'il prononce et qui constituent le seul commentaire du film révèlent ce qui fut peut-être à l'origine de sa démarche : "A dix-sept ans, j'ai acheté un appareil photo. J'avais fait un dessin et je l'ai photographié. J'ai déchiré le dessin. J'ai gardé la photographie." "
Agnès Rotchi CNC[-]

Michele Boni s'intéresse davantage aux différents systèmes aériens appliqués à l'architecture, comme le rideau d'air et les flux d'air délimitant un espace architecturé assimilé à une bulle, qu'aux exemples d'architecture "gonflable"ou l'air ne joue qu'un rôle de remplissage. Le livre présente une approche originale de l'air, comme matière et énergie, entre théorie et design, philosophie et technologie. Les expérimentations de Michele Boni ont donné naissance au système "Frontières d'air", délimitant un espace sans mur. [-]