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Documents MODE DE VIE 76 résultats

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Cote : V-DOC-CYR
La ville de La Ciotat regroupe plusieurs quartiers aux ambiances bien différentes. Du port avec les grandes grues du chantier naval et son marché, du quartier Fardeloup à la limite de la route des crêtes d'où l'on domine la mer, des quartiers Abeille, Maurelle, Matagot où des boulistes se mobilisent pour les jeunes alors que ceux-ci nous racontent leur vie au quotidien, un portrait de la ville se dessine à travers les actions et les témoignages de ses habitants.[-]
La ville de La Ciotat regroupe plusieurs quartiers aux ambiances bien différentes. Du port avec les grandes grues du chantier naval et son marché, du quartier Fardeloup à la limite de la route des crêtes d'où l'on domine la mer, des quartiers Abeille, Maurelle, Matagot où des boulistes se mobilisent pour les jeunes alors que ceux-ci nous racontent leur vie au quotidien, un portrait de la ville se dessine à travers les actions et les témoignages ...[+]

PROVENCE-ALPES-CÔTE D'AZUR ; QUARTIER ; PORT ; MODE DE VIE ; SOCIOLOGIE URBAINE ; USAGER

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Cote : V-DOC-CYR
Deuxième volet d'une série documentaire sur l'évolution urbaine et humaine du quartier Le Carami à Brignoles. Un an après "Le Quartier, la ville et nous", ce film nous ramène au sein du quartier le Carami et au cœur de la ville de Brignoles pour interroger les mêmes protagonistes et de nouveaux, sur l'évolution de ce territoire.

PROVENCE-ALPES-CÔTE D'AZUR ; HISTOIRE SOCIALE ; QUARTIER ; SOCIOLOGIE URBAINE ; USAGER ; MODE DE VIE

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Cote : V-DOC-CYR
Ce film documentaire est le troisième volet d'une série documentaire sur de cette évolution urbaine et humaine de la cité Berthe. Alors que des bâtiments commencent à sortir de terre, alors que les rues ont maintenant un nom, alors que d'autres espaces sont en mutation, comment les habitants de la cité Berthe de la Seyne-sur-Mer vivent-ils cette transformation urbaine au quotidien ? Le quartier du Floréal qui ne devrait plus s'appeler comme cela est morcelé en résidence, les tours du germinal sont en train de se vider pour être bientôt détruites, et la bibliothèque a été inaugurée en janvier 2013.[-]
Ce film documentaire est le troisième volet d'une série documentaire sur de cette évolution urbaine et humaine de la cité Berthe. Alors que des bâtiments commencent à sortir de terre, alors que les rues ont maintenant un nom, alors que d'autres espaces sont en mutation, comment les habitants de la cité Berthe de la Seyne-sur-Mer vivent-ils cette transformation urbaine au quotidien ? Le quartier du Floréal qui ne devrait plus s'appeler comme cela ...[+]

LA SEYNE-SUR-MER ; QUARTIER ; HISTOIRE SOCIALE ; MODE DE VIE ; USAGER ; SOCIOLOGIE URBAINE ; RENOVATION URBAINE

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Cote : V-DOC-PRE
Portrait du parc de Belleville sur les hauteurs au nord-est de Paris. Le réalisateur va à la rencontre du botaniste Gérard Joubert guide, animateur et jardinier du parc, échange avec les passants et flâneurs habitués des lieux ou simples visiteurs. Le parc de Belleville fut construit à la fin des années 1980 sur les ruines d'un quartier modifié par les plans d'urbanisme où les tours d'habitations ont remplacé les arbres. Le "village" d'autrefois, photographié par Willy Ronis, les célèbres escaliers de la rue Vilin dont le tracé traverse le parc, n'existent plus. Sur les ruines de ce quartier, l'esprit et les activités populaires se sont cependant maintenus : fêtes et rassemblements, jardinage, activités sportives et culturelles, etc. Ce document est composé d'entretiens réalisés au sein même du parc et d'archives filmiques.[-]
Portrait du parc de Belleville sur les hauteurs au nord-est de Paris. Le réalisateur va à la rencontre du botaniste Gérard Joubert guide, animateur et jardinier du parc, échange avec les passants et flâneurs habitués des lieux ou simples visiteurs. Le parc de Belleville fut construit à la fin des années 1980 sur les ruines d'un quartier modifié par les plans d'urbanisme où les tours d'habitations ont remplacé les arbres. Le "village" d'...[+]

BELLEVILLE (QUARTIER) ; JARDINIER ; JARDIN ; AMENAGEMENT PAYSAGER ; PARC URBAIN ; USAGER ; MODE DE VIE ; SOCIOLOGIE URBAINE

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Cote : V-ESA-CONF-CAM
rew est une structure interdisciplinaire de projet fondée en 2007 par Emilie Cam et Rémi Ferrand, architectes DPLG et ingénieur. Après plusieurs années au sein d'agences d'architectures, d'urbanisme et de paysage, leurs parcours respectifs les amènent en 2007, à créer leur propre structure basée sur l'interdisciplinarité des pratiques liées à l'aménagement. Lauréats en 2009 de la bourse EDF Jeunes Architectes, ils synthétisent leur regard au long cours sur l'urbanité du grand Shanghai dans l'étude SHANGWHY, portrait en mouvement d'une ville-monde qui se confronte à son territoire agricole.
Grâce à la bourse Delano-Aldrich/Académie d'architecture obtenue en 2011, ils explorent pendant 6 mois les réalités urbaines d'une vingtaine de grandes villes américaines.
Leur "USANATOMY" situe des réalités contrastées et incarne à sa façon certaines des mutations urbaines en cours : une mosaïque de réalités irréductiblement américaines mais potentiellement globales.
Ces études libres leur permettent d'inscrire leur travail dans la perspective des transformations contemporaines de la ville, de la mondialisation des imaginaires urbains et des modes de vie aux échanges accélérés des modèles urbains.[-]
rew est une structure interdisciplinaire de projet fondée en 2007 par Emilie Cam et Rémi Ferrand, architectes DPLG et ingénieur. Après plusieurs années au sein d'agences d'architectures, d'urbanisme et de paysage, leurs parcours respectifs les amènent en 2007, à créer leur propre structure basée sur l'interdisciplinarité des pratiques liées à l'aménagement. Lauréats en 2009 de la bourse EDF Jeunes Architectes, ils synthétisent leur regard au ...[+]

REW ; ANALYSE URBAINE ; ANALYSE DE L'URBANISME ; METROPOLE ; ETATS-UNIS ; MONDIALISATION ; MODE DE VIE

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Cote : V-DOC-CYR
Les transformations urbanistiques ont-elles une incidence sur la vie dans une cité ? C'est la question que se pose Natacha Cyrulnik et qu'elle pose aux habitants de la cité Berthe à La Seyne-sur-Mer, en phase de modification. A travers des interviews de ceux qui vivent au quotidien ces changements mais aussi de ceux qui en sont les décisionnaires (et qui ne sont évidemment pas les mêmes), ainsi que des images de cette cité défigurée pour être mieux re-figurée, la réalisatrice met le doigt sur l'impossibilité d'une réponse, car nous sommes tous liés malgré nous à notre environnement. Voir la barre d'immeuble où l'on a grandi être détruite, c'est à la fois une bonne chose et une part de soi qui disparaît. Le lien affectif entre les lieux et ceux qui y habitent est complexe, et, si la cité a fait d'eux ce qu'ils sont aujourd'hui, un nouvel environnement ne les transformera pas pour autant. Entre l'envie de voir leur vie évoluer positivement et la peur de perdre leur identité, entre la satisfaction de voir s'améliorer leur habitat et l'impression de n'être malgré tout pas pris en considération, que tout ne reste que façade, les habitants de la cité Berthe émeuvent et questionnent. Ils renvoient chaque spectateur à son propre environnement.[-]
Les transformations urbanistiques ont-elles une incidence sur la vie dans une cité ? C'est la question que se pose Natacha Cyrulnik et qu'elle pose aux habitants de la cité Berthe à La Seyne-sur-Mer, en phase de modification. A travers des interviews de ceux qui vivent au quotidien ces changements mais aussi de ceux qui en sont les décisionnaires (et qui ne sont évidemment pas les mêmes), ainsi que des images de cette cité défigurée pour être ...[+]

LA SEYNE-SUR-MER ; SOCIOLOGIE URBAINE ; QUARTIER ; USAGER ; GRAND ENSEMBLE ; MODE DE VIE ; DEMOLITION ; HISTOIRE SOCIALE

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Cote : V-DOC-CYR
Le Carami à Brignoles c'est à la fois un quartier, une rivière et la place du centre ville. Comment un nom qui représente autant la ville peut-il être aussi celui d'un quartier que l'on a trop facilement tendance à penser comme "à part" ?
Au fils des rencontres faites à Brignoles, une manière d'habiter ce territoire va permettre de témoigner de l'accueil des gens, de leur cadre de vie, et de son évolution...

PROVENCE-ALPES-CÔTE D'AZUR ; QUARTIER ; SOCIOLOGIE URBAINE ; USAGER ; MODE DE VIE ; HISTOIRE SOCIALE

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Cote : V-DOC-SAU
Paris à la fin des années 20 est une ville aux visages multiples. On y arrive en péniche, par les canaux qui rejoignent la Seine et où s'acharnent des milliers d'ouvriers. De l'Opéra à la Butte Montmartre, au rythme des monuments historiques, la traversée de la capitale donne à voir une foule changeante.
Sauvage entreprend quelques études qui constituent des courts métrages : Paris-Port, Nord-Sud, Petite-Ceinture, Les îles de Paris, de la Tour Saint-Jacques à la Montagne Sainte-Geneviève, lieux eux-mêmes divisés en neuf sous-parties, telles sont les coordonnées qui orientent le « grand voyage cinégraphique » de Sauvage sur cette « immensité » qu'est Paris.[-]
Paris à la fin des années 20 est une ville aux visages multiples. On y arrive en péniche, par les canaux qui rejoignent la Seine et où s'acharnent des milliers d'ouvriers. De l'Opéra à la Butte Montmartre, au rythme des monuments historiques, la traversée de la capitale donne à voir une foule changeante.
Sauvage entreprend quelques études qui constituent des courts métrages : Paris-Port, Nord-Sud, Petite-Ceinture, Les îles de Paris, de la Tour ...[+]

75 PARIS ; ANNEES 1920 ; IMAGE DE LA VILLE ; SOCIOLOGIE URBAINE ; VILLE PORTUAIRE ; PORT FLUVIAL ; SEINE (FLEUVE) ; RESEAU FERRE ; MODE DE VIE ; MONUMENT HISTORIQUE

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Cote : V-DOC-BAZ
A partir de films familiaux collectés dans les villes de Massy, les Ulis, Vigneux-sur-Seine, Saint-Michel-sur-Orge, Evry et des commentaires des habitants qui se souviennent, Marie-Catherine Delacroix et Laurence Bazin tissent une histoire sensible de l'urbain.

GRAND ENSEMBLE ; BANLIEUE ; MODE DE VIE ; SOCIOLOGIE URBAINE ; ILE-DE-FRANCE ; VILLE NOUVELLE ; HISTOIRE DE L'URBANISME ; ANNEES 1950 ; ANNEES 1960 ; ANNEES 1970

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Cote : V-DOC-ARTE-LEG
C'est à partir des interviews d'historiens, de psychologues, d'archives et de reconstitutions que ce docu-fiction se déroule à Paris en 1852 lorsque Aristide Boucicaut ouvre Le Bon Marché, inventant le premier grand magasin au monde. Il jette ainsi les bases du commerce moderne et de la société de consommation. Une révolution est en marche : en France, le Printemps ouvre ses portes, suivi par les Galeries Lafayette et la Samaritaine.

GRAND MAGASIN ; BATIMENT COMMERCIAL ; 19E SIECLE ; MODE DE VIE ; ARCHITECTURE DE FER ; BON MARCHE

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Cote : V-DOC-CEC
Chacun des quatre épisodes d'"Architecture à domicile" se concentre sur un quartier de Paris ou de sa proche banlieue, et présente le courant architectural qui a marqué son identité : L'Architecture industrielle du 11ème arrondissement
Le patrimoine industriel a marqué le 11ème, mais cette empreinte n'est en rien figée et muséifiée : elle vit au travers des artisans qui œuvrent toujours dans le quartier et des habitants qui ont à cœur de transformer d'anciens lieux de travail en lieux d'habitation en conservant le caractère industriel du site.
L'esprit Bohème du 18ème arrondissement - Paris
Son architecture, à l'image de ses habitants et de ses quartiers, est d'une variété exceptionnelle. Elle concentre de nombreuses époques et styles architecturaux... Un véritable village dans la ville où résident encore bon nombre d'artistes.
Les usines transformées - Ivry sur Seine
À la frontière sud de Paris, entre rives de la Seine et voies ferrées, la ville d'Ivry sur Seine a vu maitre une tendance nouvelle dans l'art de se loger, avec la transformation d'immenses complexes industriels désaffectés en petites copropriétés paradisiaques.
Souvent cachés derrière les murs, surgissent des logements d'exception qui n'ont rien à envier au chic parisien.
L'esprit village dans le 20ème arrondissement
Une multitude de petits, voire de microprojets permettent à l'architecture contemporaine de rénover des quartiers entiers de l'est parisien en préservant une pratique rare et menacée dans la capitale : celle de l'habitat individuel ![-]
Chacun des quatre épisodes d'"Architecture à domicile" se concentre sur un quartier de Paris ou de sa proche banlieue, et présente le courant architectural qui a marqué son identité : L'Architecture industrielle du 11ème arrondissement
Le patrimoine industriel a marqué le 11ème, mais cette empreinte n'est en rien figée et muséifiée : elle vit au travers des artisans qui œuvrent toujours dans le quartier et des habitants qui ont à cœur de ...[+]

75018 ; IVRY-SUR-SEINE ; 75011 ; 75020 ; FRICHE INDUSTRIELLE ; USINE ; REHABILITATION DE BATIMENT ; MODE DE VIE ; HABITAT INDIVIDUEL ; CITE D'ARTISTES ; QUARTIER ; CENTRE ARTISANAL

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Cote : V-DOC-TAT
"Joue à l'ombre" est un documentaire expérimental sur la ville d'Alger, Filmant la vie, les bruits et fureurs du quotidien, Tati réussit pleinement à capter le désir des jeunes filles en fleurs (...), la tristesse des rues animées, le brouhaha des quartiers populaires et surtout l'odeur d'une ville plus ou moins blanche.

ALGER ; MODE DE VIE ; IDENTITE CULTURELLE ; IMAGE DE LA VILLE

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Cote : V-DOC-LEV
Ce documentaire, tourné dans une famille chinoise, les Wang, sur une période de quatre ans (de 2001 à 2005), montre la vie quotidienne de trois générations vivant sous le même toît, locataires d'un morceau de maison insalubre, 18 m2, rue Fang Bang, l'une des plus vieilles artères de Shanghaï. Une enclave miraculeusement épargnée au coeur d'une ville futuriste pressée de rattraper le temps perdu. La maison des Wang, cependant, ainsi qu'une grande partie du quartier, sont condamnés à disparaître d'un moment à l'autre sous les bulldozers de la modernité. Mais quand ? Les Wang n'en savent rien, ils attendent. Cest cette vie là, comme en sursis, que le film raconte. Une manière intimiste de découvrir les grands changements sociologiques de la Chine d'aujourd'hui. A l'écran : nombreuses images de Shanghaï, du quartier, de l'intérieur de la maison, scènes de vie quotidienne, discussions, images des démolitions.[-]
Ce documentaire, tourné dans une famille chinoise, les Wang, sur une période de quatre ans (de 2001 à 2005), montre la vie quotidienne de trois générations vivant sous le même toît, locataires d'un morceau de maison insalubre, 18 m2, rue Fang Bang, l'une des plus vieilles artères de Shanghaï. Une enclave miraculeusement épargnée au coeur d'une ville futuriste pressée de rattraper le temps perdu. La maison des Wang, cependant, ainsi qu'une grande ...[+]

SHANGHAI ; QUART MONDE ; SOCIOLOGIE URBAINE ; RESTRUCTURATION URBAINE ; RAPPORTS SOCIAUX ; QUARTIER ; DEMOLITION ; ESPACE VECU ; MODE DE VIE ; FAMILLE

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Cote : V-DOC-IMA-CAI
En 1931, la famille Bata implante au sud de la Moselle, en pleine campagne, une usine de chaussures ultra-moderne. Autour de l'entreprise, elle crée Bataville, cité modèle pour travailleurs modèles. Sous l'œil d'un patron omniprésent, trois générations vont vivre et travailler dans cet univers clos. François Caillat propose une visite de cette utopie patronale, sous la conduite fictionnelle de Tomas Bata lui-même, le père fondateur.

57 MOSELLE ; UTOPIE URBAINE ; CITE OUVRIERE ; USINE ; VILLE INDUSTRIELLE ; HABITAT OUVRIER ; MODE DE VIE ; HISTOIRE SOCIALE

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Cote : V-DOC-MAC
Première partie d'une trilogie "Un quartier en question" sur le quartier de La Muette à Garges-lès-Gonesse (95)… Inscrites à l'atelier théâtre, Josiane et Marinette sont deux personnes âgées à l'incroyable énergie et dont la générosité ne se dément pas… Elles ouvrent leur porte et racontent le quartier…

95 VAL-D'OISE ; QUARTIER ; GRAND ENSEMBLE ; SOCIOLOGIE URBAINE ; MODE DE VIE ; BANLIEUE ; RENOVATION URBAINE ; COMPORTEMENT SOCIAL

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Cote : V-DOC-MEN
Dans un quartier gris de Belfort, Dominique Bourgon, gardienne d'un immeuble HLM, a un jardin secret, un journal dont elle noircit les pages. Un épais livre avec une grosse couverture rouge. Dans ce journal, sept années de la vie d'une gardienne HLM. Une chronique, non ! Un essai sociologique, encore moins. C'est un conte, presque comme ceux qui commencent par : « il était une fois ». « Je m'appelle Dominique et je viens de voir l'indicible » est la première ligne de la première page.[-]
Dans un quartier gris de Belfort, Dominique Bourgon, gardienne d'un immeuble HLM, a un jardin secret, un journal dont elle noircit les pages. Un épais livre avec une grosse couverture rouge. Dans ce journal, sept années de la vie d'une gardienne HLM. Une chronique, non ! Un essai sociologique, encore moins. C'est un conte, presque comme ceux qui commencent par : « il était une fois ». « Je m'appelle Dominique et je viens de voir l'indicible » ...[+]

HLM ; BELFORT ; SOCIOLOGIE URBAINE ; MODE DE VIE

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Cote : V-FIC-ROU
« Jaguar» : Trois jeunes hommes (un berger, un pêcheur et un écrivain public) quittent la savane nigérienne pour le Ghana afin d'y chercher la richesse pour payer la dot nécessaire à leur mariage. Entre fiction, documentaire et commentaire social.« Moi un noir » : Portrait d'un groupe d'adolescents africains de Treichville, faubourg populaire d'Abidjan. Ils sont manoeuvres, journaliers, dockers. Nous les découvrons dans leur vie quotidienne, au travail bien sûr, mais aussi pendant leurs loisirs. Très influencés par les mythes du cinéma, ils se sont donné pour noms Eddie Constantine, Edward G. Robinson, Tarzan,...[-]
« Jaguar» : Trois jeunes hommes (un berger, un pêcheur et un écrivain public) quittent la savane nigérienne pour le Ghana afin d'y chercher la richesse pour payer la dot nécessaire à leur mariage. Entre fiction, documentaire et commentaire social.« Moi un noir » : Portrait d'un groupe d'adolescents africains de Treichville, faubourg populaire d'Abidjan. Ils sont manoeuvres, journaliers, dockers. Nous les découvrons dans leur vie quotidienne, au ...[+]

AFRIQUE ; ROUCH (JEAN) ; ABIDJAN ; GHANA ; MODE DE VIE ; MIGRATION

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Cote : V-DOC-VER
Beaumarchais, une cité de la région parisienne construite dans les années 80, où vivent 240 locataires. La tension monte à propos des nuisances subies dans les parties communes : on s'interpelle, le ton monte...
Entre l'utopie d'un nouveau mode de vie (un lieu de vie ouvert rêvé et réalisé par des architectes il y a 20 ans) et la réalité d'aujourd'hui au quotidien (désastreuse tant au niveau de la communication entre locataires que dans le constat d'abandon des pouvoirs publics), un discours sécuritaire s'impose insidieusement, qui tend à fermer, verrouiller, "badger", s'enfermer soi-même pour se protéger. Se protéger de quoi ? De l'extérieur, d'un danger qui n'existe pas forcément, de nuisances que l'on s'invente le plus souvent.
Beaumarchais, ce lieu de vie qui devait permettre de réapprendre à se parler, à se retrouver autour d'un banc, d'un espace ouvert, ressemble plus aujourd'hui à un ghetto délabré qu'on isole pour ne pas chercher les vraies solutions.
On assiste dans "Lieux communs" à une représentation du microcosme de cette société qui ne sait plus communiquer malgré tous les moyens mis à sa disposition : un exemple de vies (mal) partagées, où même quand l'État "veut bien faire" (ici : logements sociaux expérimentaux), on ne peut que constater amèrement le repli sur soi généralisé.[-]
Beaumarchais, une cité de la région parisienne construite dans les années 80, où vivent 240 locataires. La tension monte à propos des nuisances subies dans les parties communes : on s'interpelle, le ton monte...
Entre l'utopie d'un nouveau mode de vie (un lieu de vie ouvert rêvé et réalisé par des architectes il y a 20 ans) et la réalité d'aujourd'hui au quotidien (désastreuse tant au niveau de la communication entre locataires que dans le ...[+]

MONTREUIL ; QUARTIER ; PARTICIPATION DE L'USAGER ; NUISANCE ; SOCIOLOGIE URBAINE ; RESIDENTIALISATION ; QUARTIER SECURISE ; BANLIEUE ; MODE DE VIE

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Cote : V-DOC-IMA-BAR
Paris la nuit :
Pour le flâneur nocturne, Paris est une symphonie réglée par le bâton facétieux d'un agent de la circulation, une symphonie où s'accordent les chanteurs de rue, les cris des marchands des Halles, la trompette du jazzman noir et l'accordéon du bal. Ce Paris aux enseignes de néon, aux pavés brillant à la lueur des lampadaires, aux quais de gare déserts où un couple échange un dernier baiser est aussi un enchantement visuel d'une poésie inépuisable.
Eves futures :
C'est en poète facétieux que Jacques Baratier entre dans un atelier de la banlieue parisienne où l'on fabrique des mannequins pour les vitrines des magasins. Sous l'éclairage électrique qui dessine leurs silhouettes parfaites, ces corps féminins indéfiniment multipliés invitent à la rêverie. Les ouvriers et les ouvrières qui les produisent avec des gestes mécaniques semblent, quant à eux, imperméables au trouble érotique qui s'empare du cinéaste.
Eden Miseria :
Durant l'hiver 1967, Jacques Baratier est à Katmandou, alors capitale des hippies du monde entier. Il interroge des garçons à cheveux longs venus de France et d'ailleurs. Pourquoi sont-ils venus là ? Pour fuir les contraintes d'une société qui les opprime, disent-ils. Que viennent-ils chercher ? Le haschich et ses paradis artificiels, bien sûr. Mais aussi la liberté, le dépouillement, la fraternité, la sagesse, voire pour certains, Dieu lui-même.
Opération séduction :
A la tête d'une mission du Service de Protection des Indiens, Francisco Meireles est parvenu à établir le contact avec la tribu amazonienne des Cintas Largas, attaquée par les chercheurs de diamant. Jacques Baratier rejoint ce fonctionnaire au moment où l'opération dite de "pacification" se termine. Séduits par ses cadeaux, les Indiens sortent de la forêt et voient des Blancs et un Noir pour la première fois, mais ce contact va leur être fatal.[-]
Paris la nuit :
Pour le flâneur nocturne, Paris est une symphonie réglée par le bâton facétieux d'un agent de la circulation, une symphonie où s'accordent les chanteurs de rue, les cris des marchands des Halles, la trompette du jazzman noir et l'accordéon du bal. Ce Paris aux enseignes de néon, aux pavés brillant à la lueur des lampadaires, aux quais de gare déserts où un couple échange un dernier baiser est aussi un enchantement visuel d'une ...[+]

75 PARIS ; IMAGE DE LA VILLE ; PAYSAGE URBAIN ; NUIT ; MODE DE VIE ; ETHNOLOGIE ; KATHMANDOU

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- 245 p.
Cote : 72-01-GAN
Emerging Architecture 2, dirigé par Raimund Abraham, est un ouvrage qui met en lumière les projets architecturaux novateurs, expérimentaux et souvent avant-gardistes. Ce livre se concentre sur la manière dont l'architecture évolue, en mettant l'accent sur les nouvelles idées et approches adoptées par des architectes émergents, mais aussi des pratiques d'architectes établis qui réinventent leur approche du design.

Le livre présente une variété de projets architecturaux à travers le monde, souvent audacieux dans leur forme, leur structure et leur fonction. Ces projets, qu'ils soient publics ou privés, illustrent comment les architectes abordent les défis contemporains de manière créative. On y trouve des réflexions sur l'usage des matériaux, l'intégration de la technologie, ainsi que des solutions écologiques et durables.

Dans cet ouvrage, Raimund Abraham propose une réflexion sur l'évolution de l'architecture en tant que discipline, en mettant en avant des projets qui ne se contentent pas de répondre à des critères esthétiques ou fonctionnels, mais qui cherchent également à provoquer une réflexion sur l'espace et la manière dont l'architecture peut transformer nos vies et notre environnement.

Emerging Architecture 2 est une source d'inspiration pour les architectes, designers et passionnés d'architecture, offrant un aperçu des tendances et des innovations qui façonnent l'avenir de l'architecture mondiale.[-]
Emerging Architecture 2, dirigé par Raimund Abraham, est un ouvrage qui met en lumière les projets architecturaux novateurs, expérimentaux et souvent avant-gardistes. Ce livre se concentre sur la manière dont l'architecture évolue, en mettant l'accent sur les nouvelles idées et approches adoptées par des architectes émergents, mais aussi des pratiques d'architectes établis qui réinventent leur approche du design.

Le livre présente une variété ...[+]

ARCHITECTE ; PLAN ; MODE DE VIE ; PHILOSOPHIE ; ESPACE PUBLIC ; ESPACE PRIVE

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