Documents Coudert Gilles 18 résultats

Daniel Buren a répondu à l'invitation de la Ville d'Istres d'intervenir sur son territoire en proposant plusieurs travaux in situ ou situé, éphémère, temporaire ou permanent.
Ce livre-DVD réunit le film de Gilles Coudert et une publication qui nous présente l'ensemble des interventions de Daniel Buren. L'œuvre Un bouquet : cinq couleurs moins une transforme et réhabilite littéralement La Pyramide, ancien centre nautique délaissé et lui redonne vie en accueillant des spectacles de cirque et de danse. Simultanément Et si la ville se colorait… réenchante tous les bâtiments aux alentours. Les Cabanons ont accueillie plusieurs soirées le Buren Cirque dans le Parc Sainte-Catherine. Enfin La Grande Diagonale, œuvre pérenne installée sur l'esplanade du nouvel Hôtel de Ville et inaugurée en même temps relie le cœur de ville à ce nouveau quartier.
Le film restitue le processus de construction des œuvres au fil des témoignages des différents acteurs des projets et montre comment les visiteurs les pratiquent pour une soirée comme au quotidien. Bernard Blistène, directeur du Musée national d'art moderne, nous livre dans un entretien avec Gilles Coudert son analyse et des clefs de compréhension du travail de l'artiste et le situe dans l'histoire de l'art. (editeur)[-]

Le film présente les interventions artistiques dans l'espace public de Betty Bui, Daniel Buren, Jace, Tadashi Kawamata et Louis Pavageau dans le cadre du festival "Leu Tempo Festival 2009" organisé par Le Séchoir, scène conventionnée de La Réunion. Le film montre aussi la semaine précédant le festival,où s'élabore le processus de création et donne à voir le fonctionnement les ateliers dirigés par Tadashi Kawamata et Betty Bui avec les étudiants des écoles d'art et d'architecture. [-]

Ce livre-DVD a été publié à l'occasion de l'installation de l'artiste japonais Tadashi Kawamata au centre d'art de la Maréchalerie, lié à l'ENSA de Versailles. Il retrace le déroulement du workshop encadré par une équipe pédagogique de l'Ecole d'architecture de Versailles, dirigé par Kawamata et prolongé par une exposition au centre d'art de la Maréchalerie, Le livre contient également un entretien avec Gilles Coudert où l'artiste développe les enjeux de cet exercice du work in progress.[-]

Pour sa nouvelle édition du Salon de l'Ifa, la Cité de l'architecture et du patrimoine a donné carte blanche à Périphériques architectes. Ceux-ci ont choisi de réunir chaque semaine, au cours de dîners pensants, de mars à juillet 2008, des personnalités du monde de l'architecture, mais aussi des maîtres d'ouvrage, des artistes, des écrivains, des critiques, des photographes ou encore des cinéastes. Les différents convives on exprimé et échangé leurs points de vue sur la ville. Le film de Gilles Coudert est basé sur un entretien de Fiona Meadows avec les membres de Périphériques architectes qui se livrent au jeu du portrait chinois et présentent les enjeux et la démarche de leur Salon de l'Ifa.[-]

Ce documentaire présente la réalisation du livre "L'envers du passage" proposé par Marin Kasimir et Frédéric Migayrou à l'occasion du spectacle des Grandes Roues orchestré par Patrick Bouchain sur les Champs-Elysées pour célébrer le passage à l'an 2000. Pour garder la mémoire de l'événement et la restituer en une seule image non fragmentée, Marin Kasimir et Frédéric Migayrou ont filmé avec une caméra panoramique, tout au long de la nuit du 31 décembre 1999 au 1er janvier 2000, les deux kilomètres qui séparent la place de la Concorde de l'Arc de triomphe. Commentaires de Patrick Bouchain, Marin Kasimir et Frédéric Migayrou.[-]

Présentée dans la mezzanine sud du centre Pompidou lors de l'exposition "La Ville" en 1994, "L'Image excentrique" est la première photographie panoramique de Marin Kasimir et Frédéric Migayrou de la série intitulée "La Description de l'Arche", commencée en 1990. Prise à 360° depuis le toit de la Samaritaine, l'image montre à la fois la table d'orientation du premier plan et les toits de Paris. Deux symboles politiques délimitent l'axe historique choisi : le Louvre avec la statue équestre de Louis XIV par Le Bernin et la Grande Arche de la Défense. Installés sur la terrasse panoramique, les deux artistes expliquent le fonctionnement de l'appareil conçu pour tourner lentement sur son axe. La prise de vue multiplie ainsi les points de fuite et déconstruit la perspective. [CNC][-]

Les architectes Dominique Jakob et Brendan Macfarlane ont été les premiers invités à imaginer ce « Salon » de l'Ifa à la Cité de l'architecture et du patrimoine à Paris. Le carnet présente un fac-similé de leurs notes et dessins suivant leur processus de création. Les architectes décrivent également en images annotées leurs réflexions ainsi que leurs salons préférés. Le DVD présente le « Portrait de Dominique Jakob et Brendan Macfarlane » (26') réalisé par Gilles Coudert.[-]

Ce DVD regroupe 11 documentaires sur l'oeuvre de l'artiste japonais Tadashi Kawamata.
1 - "Work in progress" : rétrospective de l'oeuvre racontée par l'artiste lui-même, de ses premières peintures à ses installations monumentales. 2- "Transfert/Saché-Tours" : Kawamata questionne les domaines publics et privées en reliant deux lieux. 3- "Le Passage des chaises/Paris" : installation à la chapelle Saint-Louis de l'hôpital de la Salpêtrière d'une oeuvre éphémère à partir de chaises et de bancs d'église. 4- "Les Chaises de traverse/Metz-Delme" : installation à partir d'assemblage de chaises à l'Hôtel Saint-Livier à Metz et à la Synagogue de Delme. 5- "Sur la voie/Evreux" : réalisation d'une passerelle circulaire éphémère autour de la place principale d'Evreux. 6- "Relocation/Londres" : à l'occasion de la restauration de la Serpentine Gallery, Kawamata recycle les anciens matériaux dans une nouvelle construction à côté de l'ancienne, et utilise des portes et fenêtres dans une installation à la Annely Juda Fine Art Gallery à Londres. 7- "Work in progress/ Zug and Zuoz" : projets en Suisse : installations dans l'espace public, réalisées pendant plusieurs années à Zug, et construction d'une passerelle entre 2 édifices publics à Zuoz . 8- "Barquitos/ Valencia" : installation à Valencia, en Espagne, d'un agencement de barques d'eau douce et de bateaux de mer hors d'usage devant un ancien chantier naval. 9- "Bridge & Archives/Moyland " : installation d'une passerelle entre le centre des archives Joseph Beuys et la salle d'une exposition qui lui est consacrée, à Moyland en Allemagne. 10- "Détours, des tours/Thiers-Montélimar" : aux centres d'art contemporain deThiers (une ancienne usine) et de Montélimar (un ancien château médiéval), deux mises en scène autour des flux de la circulation dans et autour de ces bâtiments. 11- "Measure" : premiers travaux de Tadashi Kawamata, à l'université de Tokyo, qui montrent la réflexion de l'artiste autour du corps, de l'espace, de la lumière, de la perspective et de la perception.[-]

"Face à un mur recouvert de mots et d'images, sorte de story-board d'une œuvre en devenir, l'artiste Fabrice Hybert, crayon à la main, expose le processus d'élaboration de sa pensée : cette juxtaposition d'écritures, dessins et photographies procède par contaminations ou par correspondances. Des vidéos plus anciennes complètent la présentation de son travail, qui se déploie du dessin jusqu'à l'entreprise culturelle, commerciale et médiatique.

Fin des années 1980, Fabrice Hybert invente des "peintures homéopathiques", qui sont la mise en forme narrative de ses préoccupations économiques ou scientifiques. Ce répertoire de formes elliptiques va donner naissance à des objets loufoques, les POF (Prototypes d'Objets en Fonctionnement). Sa complice Eliane Pine Carrington les met en scène dans des mini-clips, tel le POF n°7 : des écouteurs munis d'hélices et de coton-tiges chatouillent les oreilles tout en diffusant de la musique. Avec UR (Unlimited Responsability), entreprise créée en 1994, les POF sont commercialisés. En 1995, le musée d'Art Moderne de la Ville de Paris se voit transformé en "Hybertmarché" ; deux ans plus tard, le pavillon français de la Biennale de Venise devient studio de télévision. Les émissions produites sous forme de débats lui permettent aussi bien d'aborder les thèmes récurrents dans son travail (état de non-vigilance, commerce, drogue, sida) que de valoriser le rôle de l'artiste comme médiateur culturel. "
Annick Spay, CNC[-]

Françoise-Hélène Jourda, commisssaire du Pavillon français de la Biennale d'Architecture de Venise de 2004, a lancé une réflexion sur la conception de nos villes en réponse aux exigences du développement durable à l'horizon de 10, 30, 60 ans, résumés en trois objectifs principaux : mixité, densité, flexibilité. Trois ateliers ont travaillé sur un même site, entre Paris, Aubervilliers et Saint-Denis. Le premier atelier a réuni Olivier Brochet, Sylvie Dugasse (DESA et enseignante à l'ESA), Philippe Madec, Annie Tardivon, Valérie Vaudou (enseignante à l'ESA). Le second scénario (pour 2034) a été élaboré par Jacques Ferrier, Isabel Herault (enseignante à l'ESA), Karine Herman, Guerric Pere, Rudy Ricciotti (professeur invité à l'ESA). Le troisième groupe était formé de Marc Barani (professeur invité à l'ESA), Michel Bertreux, Jean Christophe Quinton (enseignant à l'ESA), Pascal Rollet, Francis Soler (professeur invité à l'ESA).[-]