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Documents CINEMA-ART 153 résultats

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Cote : V-FIC-OZU
1923. À Shinshu, petit village de montagne au centre du Japon, Otsune (Choko Ikeda), une veuve, élève seule son fils Ryosuke. Elle travaille énormément (dans une usine qui fabrique de la soie) afin de subvenir à leurs besoins. Bon élève, Ryosuke est en âge d'aller au lycée mais sa mère s'y oppose car les études sont trop coûteuses. Ookubo (Chishu Ryu), l'un des professeurs de Ryosuke, vient rendre visite à la mère de son élève et lui fait comprendre que dans la société japonaise actuelle, rien ne vaut une bonne instruction pour pouvoir se faire une situation ; d'ailleurs lui-même décide de partir pour Tokyo y poursuivre sa carrière. Otsune finit par accepter, faisant le choix de tout sacrifier pour l'éducation de son fils. 1935, treize années plus tard : Ryosuke s'est installé à Tokyo et sa mère lui rend visite à l'improviste pour la première fois. Malgré les efforts de son fils pour l'accueillir, elle découvre qu'il vit dans une situation précaire, déçu par ses aspirations de jeunesse. Elle apprend dans le même temps qu'il donne des cours du soir à de jeunes adolescents et qu'il est marié, avec un enfant en bas-âge. De son côté, elle lui avoue qu'elle a dû vendre les biens qu'il lui restait de son défunt mari pour pouvoir prendre en charge ses études et se payer le voyage. Après quelques jours passés aux côtés de la famille de son fils, elle ose enfin parler à Ryosuke en face et lui dire tout ce qu'elle a sur le cœur... « Maman, comment imaginais tu ma vie ? Tu es déçue ? »[-]
1923. À Shinshu, petit village de montagne au centre du Japon, Otsune (Choko Ikeda), une veuve, élève seule son fils Ryosuke. Elle travaille énormément (dans une usine qui fabrique de la soie) afin de subvenir à leurs besoins. Bon élève, Ryosuke est en âge d'aller au lycée mais sa mère s'y oppose car les études sont trop coûteuses. Ookubo (Chishu Ryu), l'un des professeurs de Ryosuke, vient rendre visite à la mère de son élève et lui fait ...[+]

CINEMA-ART ; JAPON

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Cote : V-FIC-OZU
Voyage à Tokyo raconte le voyage d'un vieux couple rendant visite à leurs deux enfants qui habitent Tokyo. Ils sont partis sans leur plus jeune fille qui vit toujours avec eux dans la ville de province d'Onimichi. Ils sont d'abord logés chez leur fils aîné, un modeste pédiatre de banlieue, marié, qui a deux enfants, puis chez leur fille aînée, propriétaire d'un salon de coiffure. Les deux enfants semblent plus préoccupés par les dépenses occasionnées par cette visite que par le bien-être de leurs parents. Seul l'accueil de leur belle-fille, dont le mari a pourtant disparu depuis la guerre, mais qui n'est pas encore parvenue à en faire le deuil, est chaleureux, digne de ce que l'on attendrait de la part des enfants. Après avoir été envoyé, par souci d'économie et pour se débarrasser du fardeau, à la ville balnéaire d'Atami, dans une auberge destinée à recevoir des jeunes en virée, les deux parents décident de rentrer chez eux. Au cours de leur voyage de retour, la mère est victime d'un malaise. Ils s'arrêtent alors chez leur plus jeune fils à Osaka. La santé de la mère se détériore et tous les enfants se réunissent à la maison familiale d'Onimichi. Elle meurt dans la nuit, entourée de ses enfants, à l'exception du fils cadet qui arrivera trop tard. Les obsèques ont lieu, et très vite les enfants décident de retourner chez eux et à leurs affaires. Seule reste la belle-fille, en compagnie de la plus jeune soeur et du père qui la remercie de la part de sa femme pour son accueil à Tokyo et pour son dévouement. Il l'encourage à oublier son fils et à refaire sa vie. Elle repartira à Tokyo, enfin libérée du poids de sa culpabilité de femme de disparu (très nombreuses dans le Japon de l'après-guerre).[-]
Voyage à Tokyo raconte le voyage d'un vieux couple rendant visite à leurs deux enfants qui habitent Tokyo. Ils sont partis sans leur plus jeune fille qui vit toujours avec eux dans la ville de province d'Onimichi. Ils sont d'abord logés chez leur fils aîné, un modeste pédiatre de banlieue, marié, qui a deux enfants, puis chez leur fille aînée, propriétaire d'un salon de coiffure. Les deux enfants semblent plus préoccupés par les dépenses ...[+]

TOKYO ; CINEMA-ART

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Cote : V-FIC-OZU
Noriko, 20 ans, vit heureuse à Kamakura auprès de son veuf de père avec qui elle s'entend à merveille. Elle aime cette vie simple et n'a absolument pas l'intention de changer son quotidien pour prendre un époux. Mais pour son entourage, la situation en l'état n'est pas conforme aux traditions. La tante de Noriko, va tout faire pour la pousser au mariage y compris convaincre le père d'inventer un mensonge qui fera croire à Noriko qu'il souhaite se remarier lui-même…[-]
Noriko, 20 ans, vit heureuse à Kamakura auprès de son veuf de père avec qui elle s'entend à merveille. Elle aime cette vie simple et n'a absolument pas l'intention de changer son quotidien pour prendre un époux. Mais pour son entourage, la situation en l'état n'est pas conforme aux traditions. La tante de Noriko, va tout faire pour la pousser au mariage y compris convaincre le père d'inventer un mensonge qui fera croire à Noriko qu'il souhaite ...[+]

CINEMA-ART ; JAPON

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Cote : V-ESA-CONF-SEI
Dans le cadre du cours de Ursula Biuso, "territoire et patrimoine" en semestre 7/8.
l'École Spéciale d'Architecture reçoit Anne Seibel, Architecte DESA, chef décorateur de cinéma. Introduction par Marc Vaye, architecte et enseignant à l'École Spéciale. Après sa formation à l'Ecole Spéciale et ses premières participations à des tournages en tant que dessinatrice, elle devient une décoratrice de renom qui collabore avec les plus grands réalisateurs (Sofia Coppola, Steven Spielberg, Clint Eastwood,...) et le chef décorateur et directeur artistique Rick Carter, son mentor. Anne Seibel commente ses expériences comme autant d'études de cas. Elle définit ainsi son travail : "designer le look d'un film à partir d'un scénario et d'une conversation avec le metteur en scène afin de retranscrire ce qu'il a dans la tête tout en apportant ma touche personnelle".[-]
Dans le cadre du cours de Ursula Biuso, "territoire et patrimoine" en semestre 7/8.
l'École Spéciale d'Architecture reçoit Anne Seibel, Architecte DESA, chef décorateur de cinéma. Introduction par Marc Vaye, architecte et enseignant à l'École Spéciale. Après sa formation à l'Ecole Spéciale et ses premières participations à des tournages en tant que dessinatrice, elle devient une décoratrice de renom qui collabore avec les plus grands ré...[+]

CINEMA-ART ; SEIBEL (ANNE) ; SCENOGRAPHIE

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Cote : V-FIC-SIM
GARE DU NORD (1h59)
Paris, Gare du Nord, tout peut y arriver, même des trains. Comme des milliers de vies qui s'y croisent, Ismaël, Mathilde, Sacha et Joan vont s'y rencontrer. Chaque jour, Ismaël est ébloui, fasciné, épuisé par ce lieu. Il croise Mathilde sur un quai et peu à peu, ils tombent amoureux. Sacha est à la recherche de sa fille disparue. Joan passe sa vie dans cette gare entre Lille, Londres et Paris. La gare est comme une bulle que tous traversent, Français, immigrés, émigrés, voyageurs, fantômes... C'est un carrefour où chaque vie passe vite et disparait.

GÉOGRAPHIE HUMAINE (1h40)
Portrait documentaire de la gare du Nord. On y passe, on la traverse, qu'on vienne de banlieue, de province ou de l'étranger. C'est un voyage immobile dans la Gare du Nord en compagnie de l'ami Simon Mérabet, varois d'origine algérienne. Rencontres éphémères où chacun nous dit sa vie en quelques mots avant de prendre son train et de disparaître. Soudain la foule des voyageurs s'incarne en histoires, une vie puis une autre, qui se croisent, et la mondialisation fabrique des destins, soumis à la géographie, à l'économie… Le film, comme un livre, recueille ce que chacun y écrit : ses derniers mots avant de disparaître. Et Simon traversant tout cela se souvient qu'il est fils d'immigré.[-]
GARE DU NORD (1h59)
Paris, Gare du Nord, tout peut y arriver, même des trains. Comme des milliers de vies qui s'y croisent, Ismaël, Mathilde, Sacha et Joan vont s'y rencontrer. Chaque jour, Ismaël est ébloui, fasciné, épuisé par ce lieu. Il croise Mathilde sur un quai et peu à peu, ils tombent amoureux. Sacha est à la recherche de sa fille disparue. Joan passe sa vie dans cette gare entre Lille, Londres et Paris. La gare est comme une bulle que ...[+]

GARE DE CHEMIN DE FER ; 75 PARIS ; RAPPORTS SOCIAUX ; SOCIOLOGIE ; TRAIN ; CINEMA-ART ; TRANSPORT EN COMMUN

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Cote : V-FIC-TAT
Courts métrages restaurés (1.37 - 4/3) :

- "On demande une brute" (1934 - N&B - 24')
- "Gai dimanche" (1935 - N&B - 21')
- "Soigne ton gauche" (1936 - N&B - 13')
- "L'école des facteurs" (1946 - N&B - 15')
- "Cours du soir" (1967 - Couleur - 27')
- "Dégustation maison" (1976 - Couleur - 13')
- "Forza Bastia" (1978 - Couleur - 26')
"Les leçons du professeur Goudet" : analyse du cinéma de Jacques Tati par Stéphane Goudet et Simon Wallon-Brownstone (31') [-]
Courts métrages restaurés (1.37 - 4/3) :

- "On demande une brute" (1934 - N&B - 24')
- "Gai dimanche" (1935 - N&B - 21')
- "Soigne ton gauche" (1936 - N&B - 13')
- "L'école des facteurs" (1946 - N&B - 15')
- "Cours du soir" (1967 - Couleur - 27')
- "Dégustation maison" (1976 - Couleur - 13')
- "Forza Bastia" (1978 - Couleur - 26')
"Les leçons du professeur Goudet" : analyse du cinéma de Jacques Tati par Stéphane Goudet et Simon Wallon-...[+]

TATI (JACQUES TATISCHEFF) ; CINEMA-ART

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Cote : V-FIC-TAT
Parade est l'histoire d'une grande fête au cours de laquelle Jacques Tati organise une rencontre entre spectacteurs, artistes, clowns, enfants et lui-même. Tout au long du film, adultes et jeunes forment une seule masse enthousiaste et unie par le spectacle. Dès le début, une petite fille et
un petit garçon symbolisent, en un seul regard échangé, la joie d'être ensemble. Le public participe directement au spectacle qui tient à la fois du music-hall et du cirque, et Tati, en Monsieur Loyal, dirige et anime la représentation.[-]
Parade est l'histoire d'une grande fête au cours de laquelle Jacques Tati organise une rencontre entre spectacteurs, artistes, clowns, enfants et lui-même. Tout au long du film, adultes et jeunes forment une seule masse enthousiaste et unie par le spectacle. Dès le début, une petite fille et
un petit garçon symbolisent, en un seul regard échangé, la joie d'être ensemble. Le public participe directement au spectacle qui tient à la fois du ...[+]

TATI (JACQUES TATISCHEFF) ; CINEMA-ART

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Cote : V-FIC-TAT
L'automobile et les automobilistes, thèmes mineurs dans Mon Oncle et Playtime, forment le sujet de Trafic. A son habitude, le cinéaste a recueilli dans son carnet de gags une moisson de détails qui sont les matériaux de construction de son long métrage. Une fois de plus, Tati choisit donc le registre burlesque pour pointer les travers de la société. Une fois de plus, la modernité de son propos est saisissante et le trajet picaresque de Monsieur Hulot un hilarant et très contemporain résumé de notre triste condition d'automobiliste, prisonnier des embouteillages et privé de la poésie de la marche à pied…[-]
L'automobile et les automobilistes, thèmes mineurs dans Mon Oncle et Playtime, forment le sujet de Trafic. A son habitude, le cinéaste a recueilli dans son carnet de gags une moisson de détails qui sont les matériaux de construction de son long métrage. Une fois de plus, Tati choisit donc le registre burlesque pour pointer les travers de la société. Une fois de plus, la modernité de son propos est saisissante et le trajet picaresque de Monsieur ...[+]

CINEMA-ART

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Cote : V-FIC-TAT
Hulot tente en vain d'allumer sa pipe avec une allumette. Ce sont les derniers spasmes d'un lunaire, essayant désespérément de résister à l'attrait du briquet. Son immeuble est l'image architecturale d'un esprit parvenant au but par l'incohérence d'un parcours toujours incertain. On grimpe quelques marches, pour aussitôt redescendre de quelques mètres, un léger parcours plat précède une dernière remontée, l'homme est enfin chez lui, après de nombreuses remises en questions. Non loin de là, c'est un autre monde, le modernisme a envahi les lieux de cette maison complètement fermée sur elle-même. On déclenche le jet d'eau extérieur en fonction de la position sociale du visiteur, les pièces sont d'un blanc peu engageant, les gestes des occupants maniérés, l'électro-ménager est imprévisible. Par un geste naturel un chien referme la porte électrique du garage sur la maîtresse de maison et son mari, le symbole est fort, un modernisme anarchique tétanise des disciples décontenancés, qui ne savent plus comment s'en sortir. Les grosses voitures américaines prennent possession des routes, c'est la monstrueuse parade de l'arrivisme par l'adoration de la tôle. Les seuls éléments non touchés sont les enfants et les chiens, qui par leurs ébats respectifs naturels, servent de prologue et de conclusion en freinant au maximum ce basculement inévitable de nos sociétés vers le presse-bouton. [-]
Hulot tente en vain d'allumer sa pipe avec une allumette. Ce sont les derniers spasmes d'un lunaire, essayant désespérément de résister à l'attrait du briquet. Son immeuble est l'image architecturale d'un esprit parvenant au but par l'incohérence d'un parcours toujours incertain. On grimpe quelques marches, pour aussitôt redescendre de quelques mètres, un léger parcours plat précède une dernière remontée, l'homme est enfin chez lui, après de ...[+]

CINEMA-ART

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Cote : V-FIC-TAT
C'est l'été et les vacanciers viennent prendre un peu de repos et de soleil sur les plages. En train, en car où en voiture, familles, couples et individus solitaires arrivent dans une petite station balnéaire de Loire-Atlantique. Parmi eux, un certain Hulot, grand bonhomme poli mais timide, s'installe dans un hôtel où ses multiples gaffes et maladresses ne passeront pas inaperçues...
Si Les Vacances de Monsieur Hulot fleure bon la douceur de vivre pendant la pause estivale, c'est aussi une satire sociale assez mordante et le portrait d'un marginal malgré lui, qui s'attire l'affection discrète de quelques vacanciers mais peine à s'intégrer au groupe malgré sa douceur et sa bonne volonté.D'où le sentiment paradoxal qui nous étreint devant ce film débordant d'humour et de malice, baigné de soleil et témoignant de temps insouciants, mais qui distille dans le même mouvement une certaine tristesse. Un sentiment renforcé à la vision de la version originelle sortie en 1953, accompagnée par un thème musical nostalgique d'Alain Romans, qui donne la couleur du souvenir à ce film plus doux-amer qu'il n'y paraît.[-]
C'est l'été et les vacanciers viennent prendre un peu de repos et de soleil sur les plages. En train, en car où en voiture, familles, couples et individus solitaires arrivent dans une petite station balnéaire de Loire-Atlantique. Parmi eux, un certain Hulot, grand bonhomme poli mais timide, s'installe dans un hôtel où ses multiples gaffes et maladresses ne passeront pas inaperçues...
Si Les Vacances de Monsieur Hulot fleure bon la douceur de ...[+]

CINEMA-ART

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Cote : V-FIC-TAT
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un petit village rural du centre de la France se prépare à sa fête annuelle. Les enfants émerveillés assistent à l'installation d'un manège et des stands, tandis que tout le monde se pare de ses plus beaux habits. François (Jacques Tati), un facteur candide et plein d'enthousiasme, est gentiment moqué par les villageois et les forains, qui le font boire et le persuadent qu'il devrait livrer son courrier comme les intrépides postiers américains qu'il vient de voir dans un reportage au cinéma ambulant. Après une nuit de beuverie, François se lance dans une distribution de courrier au rythme effréné...
Bien que situé dans un petit univers qui semble à l'écart de la modernité, Jour de fête témoigne à sa manière, drôle et poétique, de la réalité de la France de l'immédiate après-guerre. Fasciné par un documentaire projeté au cinéma ambulant et qui décrit les méthodes ultra-modernes (et fantaisistes) employées par les postiers d'outre-Atlantique pour livrer le courrier dans un temps record, François et le film avec lui subissent un changement brutal de rythme.[-]
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un petit village rural du centre de la France se prépare à sa fête annuelle. Les enfants émerveillés assistent à l'installation d'un manège et des stands, tandis que tout le monde se pare de ses plus beaux habits. François (Jacques Tati), un facteur candide et plein d'enthousiasme, est gentiment moqué par les villageois et les forains, qui le font boire et le persuadent qu'il devrait livrer son ...[+]

CINEMA-ART

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Cote : V-FIC-BER
Isak Borg est invité à Lund pour y recevoir une distinction honorifique couronnant sa longue carrière de médecin. Bousculant ses plans à la suite d'un rêve énigmatique, il décide de s'y rendre en voiture, et sa belle-fille Marianne se joint à lui à la dernière minute. Ce voyage sera l'occasion pour lui de revenir, tant géographiquement qu'émotionnellement, sur les moments qui ont marqué sa vie, et d'en retrouver les protagonistes...

CINEMA-ART

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Cote : V-FIC-OZU
Ce documentaire réalisé en 1983 par Kazuo Inoue est l'un des beaux jamais consacrés à un cinéaste. Il a la particularité d'avoir été photographié par le chef opérateur attitré d'Ozu, Yuharu Atsuta, qui compose ici des plans de ville et de nature, à la manière de son maître, d'une grande beauté. C'est un documentaire passionnant sur les méthodes de travail d'Ozu. Les principaux collaborateurs encore vivants ou leurs proches sont interviewés avec une grande intelligence. Le documentaire s'articule brillamment entre ces entretiens qui dévoilent les méthodes de travail d'Ozu, des longs extraits des films, et un récit biographique illustré par les très belles images photographiées par Atsuta.[-]
Ce documentaire réalisé en 1983 par Kazuo Inoue est l'un des beaux jamais consacrés à un cinéaste. Il a la particularité d'avoir été photographié par le chef opérateur attitré d'Ozu, Yuharu Atsuta, qui compose ici des plans de ville et de nature, à la manière de son maître, d'une grande beauté. C'est un documentaire passionnant sur les méthodes de travail d'Ozu. Les principaux collaborateurs encore vivants ou leurs proches sont interviewés avec ...[+]

JAPON ; CINEMA-ART

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Cote : V-FIC-OZU
Un enseignant, veuf, vit seul avec son fils unique. Lors d'un voyage scolaire, un accident survient, provoquant la mort d'un de ses élèves. Assumant ses responsabilités, il décide de démissionner et se retire dans sa campagne natale avec son fils. Au grand désespoir du jeune garçon, son père lui annonce que, pour qu'il puisse mener à bien ses études, ils vont devoir se séparer. Plusieurs années s'écoulent : le père travaille à Tokyo en tant que bureaucrate, tandis que son fils exerce à son tour comme professeur dans une petite ville. Leurs retrouvailles se font rares mais émouvantes...[-]
Un enseignant, veuf, vit seul avec son fils unique. Lors d'un voyage scolaire, un accident survient, provoquant la mort d'un de ses élèves. Assumant ses responsabilités, il décide de démissionner et se retire dans sa campagne natale avec son fils. Au grand désespoir du jeune garçon, son père lui annonce que, pour qu'il puisse mener à bien ses études, ils vont devoir se séparer. Plusieurs années s'écoulent : le père travaille à Tokyo en tant que ...[+]

JAPON ; CINEMA-ART

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Cote : V-FIC-OZU
Choeur de Tokyo :
Tokyo au début des années 30 durant la Grande Dépression. Shinji, marié et père de trois enfants, perd son emploi d'assureur après qu'il ait pris la défense d'un de ses collègues qu'il trouvait s'être fait licencier abusivement. Il a beaucoup de difficultés à retrouver un travail ; il lui devient alors de plus en plus difficile de subvenir aux besoins de sa famille. Dans la rue, il retrouve son ancien professeur d'éducation physique de qui il se moquait étant étudiant mais qui va néanmoins lui venir en aide…

Une auberge à Tokyo :
Kihachi (Takeshi Sakamoto) est au chômage et n'a pas de toit. Avec ses deux jeunes garçons, il erre dans la banlieue industrielle de Tokyo à la recherche de n'importe quel emploi ; sans résultats ! Se réfugiant le soir dans une auberge, ils rencontrent une femme et sa petite fille, elles mêmes dans le dénuement le plus total. Alors que Kihachi se fait enfin offrir un travail par une ancienne connaissance, la petite fille tombe malade mais sa mère n'a pas les moyens de la faire soigner…

Eté précoce :
Noriko, 28 ans, est secrétaire dans une petite compagnie à Tokyo. C'est une jeune femme moderne mais elle vit encore chez ses parents, tout comme son frère, sa femme et ses deux enfants. Elle subit de fortes pressions de la part de sa famille ; en effet, il n'est pas raisonnable à cet âge de ne pas encore s'être mariée. Mais la jeune fille se réjouit de son indépendance et préfère trouver elle même son futur époux. Son patron lui propose un bon parti de sa connaissance mais Noriko refuse…[-]
Choeur de Tokyo :
Tokyo au début des années 30 durant la Grande Dépression. Shinji, marié et père de trois enfants, perd son emploi d'assureur après qu'il ait pris la défense d'un de ses collègues qu'il trouvait s'être fait licencier abusivement. Il a beaucoup de difficultés à retrouver un travail ; il lui devient alors de plus en plus difficile de subvenir aux besoins de sa famille. Dans la rue, il retrouve son ancien professeur d'éducation ...[+]

JAPON ; CINEMA-ART

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Cote : V-FIC-OZU
akako vient de quitter son mari et retourne s'installer avec son enfant chez son père qui a été lui même délaissé par son épouse partie vivre avec un autre homme voici une vingtaine d'années. Au sein de la maison familiale se trouve également Akiko, la jeune sœur, qui pense que sa mère est morte. La découverte comme quoi cette dernière habite en fait non loin de chez eux, tenant un café, consterne les deux sœurs qui ne comprennent pas comment elles ont pu être abandonnée de la sorte. Moralement fragile, Akiko décide dans le même temps de se faire avorter, son ami fuyant les responsabilités de la paternité…
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akako vient de quitter son mari et retourne s'installer avec son enfant chez son père qui a été lui même délaissé par son épouse partie vivre avec un autre homme voici une vingtaine d'années. Au sein de la maison familiale se trouve également Akiko, la jeune sœur, qui pense que sa mère est morte. La découverte comme quoi cette dernière habite en fait non loin de chez eux, tenant un café, consterne les deux sœurs qui ne comprennent pas comment ...[+]

JAPON ; CINEMA-ART

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Cote : V-FIC-OZU
Le goût du riz au thé vert : Mariés depuis longtemps et sans enfants, Mokichi et Yoshiko n'ont plus grand chose à se raconter. Lui est plongé dans son travail tandis qu'elle cherche tous les prétextes pour pouvoir sortir avec des amies. Un jour, Mokichi doit se rendre à l'étranger en voyage d'affaires. Il aura fallu ce départ pour qu'elle se rende compte de l'importance de son mari dans sa vie. Les ‘retrouvailles' auront lieu autour d'un repas traditionnel tout simple, le riz au thé vert.

Printemps précoce : Shoji, jeune employé dans une grande entreprise de Tokyo, est las de sa modeste situation, de son travail peu gratifiant, et ne s'entend plus guère avec Masako, son épouse, depuis qu'ils ont perdu leur unique enfant. Son seul plaisir est de sortir avec ses collègues. Il a une liaison avec l'une d'entre elles. Masako apprend la vérité, quitte le domicile conjugal pour retourner chez sa mère. Une mutation loin de Tokyo pour Shoji sera à l'origine de la réconciliation du couple.[-]
Le goût du riz au thé vert : Mariés depuis longtemps et sans enfants, Mokichi et Yoshiko n'ont plus grand chose à se raconter. Lui est plongé dans son travail tandis qu'elle cherche tous les prétextes pour pouvoir sortir avec des amies. Un jour, Mokichi doit se rendre à l'étranger en voyage d'affaires. Il aura fallu ce départ pour qu'elle se rende compte de l'importance de son mari dans sa vie. Les ‘retrouvailles' auront lieu autour d'un repas ...[+]

CINEMA-ART ; JAPON

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Cote : V-FIC-OZU
Où sont les rêves de jeunesse ? : Tetsuo mène une vie insouciante à l'université jusqu'au jour où son père décède. Il doit abandonner ses études et lui succéder à la tête de l'entreprise familiale. Il va faire embaucher ses anciens camarades. Mais peut-il toujours exister entre eux les mêmes relations d'amitiés et d'égalité qu'autrefois ? Surtout que le patron et l'un de ses compagnons employé sont tous deux amoureux de la même femme…

Une femme de Tokyo : Chikako, dans le but de payer les études de son frère Ryoichi, mène une double vie. Secrétaire le jour, elle travaille le soir comme entraîneuse dans un cabaret plutôt louche. Les rumeurs allant bon train, Ryoichi finit par l'apprendre de la bouche même de sa fiancée qui ne pensait pas à mal ; il va avoir du mal à accepter cette vérité qui va le conduire au drame…[-]
Où sont les rêves de jeunesse ? : Tetsuo mène une vie insouciante à l'université jusqu'au jour où son père décède. Il doit abandonner ses études et lui succéder à la tête de l'entreprise familiale. Il va faire embaucher ses anciens camarades. Mais peut-il toujours exister entre eux les mêmes relations d'amitiés et d'égalité qu'autrefois ? Surtout que le patron et l'un de ses compagnons employé sont tous deux amoureux de la même femme…

Une femme ...[+]

CINEMA-ART ; JAPON

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Cote : V-FIC-OZU
Histoires d'herbes flottantes : Une troupe théâtrale itinérante arrive dans un petit village pour y donner des représentations. Kihachi, son directeur, quitte chaque soir le groupe, prétextant des visites de politesses. En fait, il se rend chez son ancienne maîtresse pour revoir le fils qu'il a eu avec elle. Ce dernier ignore tout de ses liens de parenté, prenant Kihachi pour son oncle et croyant son géniteur décédé. La compagne actuelle de Kihachi ayant percée le secret, jalouse de l'attachement que celui-ci porte à cette famille cachée, décide de se venger…

Récit d'un propriétaire : Dans le Japon de l'immédiat après-guerre, un petit garçon est trouvé dans les quartiers pauvres de Tokyo. Les gens du quartier ne veulent pas s'en encombrer et, après tirage au sort, décident de le confier à une veuve cinquantenaire acariâtre qui le recueille bon gré mal gré. Elle cherche tout d'abord à s'en débarrasser mais finit par s'y attacher. Un jour, le père réapparait…[-]
Histoires d'herbes flottantes : Une troupe théâtrale itinérante arrive dans un petit village pour y donner des représentations. Kihachi, son directeur, quitte chaque soir le groupe, prétextant des visites de politesses. En fait, il se rend chez son ancienne maîtresse pour revoir le fils qu'il a eu avec elle. Ce dernier ignore tout de ses liens de parenté, prenant Kihachi pour son oncle et croyant son géniteur décédé. La compagne actuelle de ...[+]

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Cote : V-FIC-BER
L'actrice Elisabet Vogler, alors qu'elle est sur scène à interpréter Electre, se retrouve d'un seul coup sans voix. Son mutisme se poursuit après l'incident. Après un séjour à l'hôpital, elle part en compagnie de son infirmière Alma se reposer dans sa demeure de l'île de Fårö. Ingmar Bergman nous parle directement, viscéralement, de souffrance, de trahison, de jalousie, mais aussi de désir et d'amour fou.
Un couple, c'est du vampirisme, de la domination, des tensions et des rapports de force changeants et évolutifs. Alma, l'infirmière, est douce et attentionnée ; elle est le salut, l'apaisement. Du moins en façade, sur le papier, dans le contrat. Pour combler le silence d'Elisabet Vogler, Alma parle, rit, déroule sa vie, puis ses angoisses, ses fantasmes. Le flot ininterrompu des mots vient bientôt submerger les quelques réticences d'Alma à se livrer complètement. Elle est emportée par ce déluge de paroles et livre ses expériences les plus intimes à cette figure silencieuse et attentive qui lui fait face. Elisabet Vogler n'en peut plus de porter des masques, que ce soit ceux de ses rôles ou ceux qu'elle porte en société. Elle n'en peut plus de mentir, et décide donc de se taire, de se ferme au monde. Les deux personnages se vampirisent, fusionnent, Elisabet allant jusqu'à boire le sang d'Alma. Un visage et une voix qui viennent de deux êtres distincts essayent de ne faire plus qu'un. Deux êtres qui essayent de se soigner et de se sauver en s'écoulant l'un dans l'autre. Une fusion ou un transfert, on ne sait trop. Un regard lancé par Elisabet à Alma semble provoquer un échange de personnalité. Elisabet voit alors, depuis Alma, son propre corps qui lui était devenu étranger. Alma n'était-il que le produit de son esprit en tourment ? Peu importe car ce qui compte c'est la capacité insurpassable de Bergman à embrasser plusieurs thèmes et plusieurs mouvements, à les enchevêtrer étroitement, à tisser une toile fascinante où le spectateur se perd et se noie.[-]
L'actrice Elisabet Vogler, alors qu'elle est sur scène à interpréter Electre, se retrouve d'un seul coup sans voix. Son mutisme se poursuit après l'incident. Après un séjour à l'hôpital, elle part en compagnie de son infirmière Alma se reposer dans sa demeure de l'île de Fårö. Ingmar Bergman nous parle directement, viscéralement, de souffrance, de trahison, de jalousie, mais aussi de désir et d'amour fou.
Un couple, c'est du vampirisme, de la ...[+]

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