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Cote : V-DOC-ARTE-GUI
Dans ce documentaire, Camille Guichard dresse le portrait de l'artiste Louise Bourgeois qui reçoit depuis les années 70 une reconnaissance internationale. La sculptrice y commente son oeuvre qui oscille entre figuration et abstraction, et obéit à une logique subjective, basée sur l'émotion, la mémoire, la réactivation des souvenirs d'enfance. Sa liberté formelle, mise au service de ses thèmes de prédilection : la polarité masculin/féminin, le corps, la sexualité, en fait une référence majeure pour la création contemporaine.[-]
Dans ce documentaire, Camille Guichard dresse le portrait de l'artiste Louise Bourgeois qui reçoit depuis les années 70 une reconnaissance internationale. La sculptrice y commente son oeuvre qui oscille entre figuration et abstraction, et obéit à une logique subjective, basée sur l'émotion, la mémoire, la réactivation des souvenirs d'enfance. Sa liberté formelle, mise au service de ses thèmes de prédilection : la polarité masculin/féminin, le ...[+]

BOURGEOIS (LOUISE) ; SCULPTURE ; ARTISTE

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Cote : V-DOC-ARTE-Por
Wim DELVOYE
Artiste qui s'est fait mondialement connaître pour son installation Cloaca, dite machine à caca. Delvoye veut susciter la réflexion par la juxtaposition de différents univers et le contre-emploi.
Wang DU
Artiste obsédé par la toute-puissance des médias. Selon lui, les médias sont la deuxième dimension d'une réalité actuelle, qu'il nomme « post-réalité », au sein de laquelle se confondent monde réel et monde médiatique.
Alain FLEISCHER
Depuis une quinzaine d'années, il travaille sur une série photographique dont le principe de base est un paysage urbain avec le détail d'une photographie pornographique. C'est l'union provocatrice de deux motifs et de deux genres photographiques totalement opposés.
Claude LEVEQUE
Son travail se caractérise par une forme singulière d'art corporel, un art à la fois sensoriel et mental, où le corps n'est plus l'instrument ou le véhicule d'une forme, mais son récepteur privilégié. Sa matière première reste l'environnement quotidien.
Annette MESSAGER
En 2005, c'est le Pavillon français qui remporte le Lion d'Or de la 51e Biennale d'art contemporain de Venise. Celui-ci est baptisé Casino par Annette Messager. Casino, un mot compris dans toutes les langues, mais qui signifie aussi bordel ou petite maison en italien...
Giuseppe PENONE
Penone est l'une des figures de l'Arte Povera italien des années 60.
Xavier VEILHAN
Son travail s'inscrit au sein d'une certaine pratique hyper pop dont la représentation consiste à se saisir de sujets ordinaires et à les ériger paradoxalement comme objets ambivalents voire critiques, tout en offrant au spectateur de nouvelles expériences perceptives.[-]
Wim DELVOYE
Artiste qui s'est fait mondialement connaître pour son installation Cloaca, dite machine à caca. Delvoye veut susciter la réflexion par la juxtaposition de différents univers et le contre-emploi.
Wang DU
Artiste obsédé par la toute-puissance des médias. Selon lui, les médias sont la deuxième dimension d'une réalité actuelle, qu'il nomme « post-réalité », au sein de laquelle se confondent monde réel et monde médiatique.
Alain ...[+]

DELVOYE (WIM) ; DU (WANG) ; FLEISCHER (ALAIN) ; LÉVÊQUE (CLAUDE) ; MESSAGER (ANNETTE) ; PENONE (GIUSEPPE) ; VEILHAN (XAVIER) ; ART CONTEMPORAIN ; ART CONCEPTUEL ; MEDIA ; ART CORPOREL ; ARTE POVERA ; LAND ART ; INSTALLATION-ART ; SCULPTURE ; PHOTOGRAPHIE ; CINEMA-ART

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Cote : A-ESA-CONF-BLU
Artiste, enseignante aux USA, réalisant de nombreux projets en Europe, Andrea Blum présente l'évolution de son travail, de la sculpture en atelier à la sculpture dans l'espace urbain, puis les créations de mobilier et la création de structures mettant en scène des espaces de vie : espaces de bureaux, espaces de visionnage de videos, bibliothèques mobiles, bureaux, proches de l'architecture. Introd. de Odile Decq.

BLUM (ANDREA) ; SCULPTURE ; ART URBAIN ; MOBILIER ; PERCEPTION DE L'ESPACE

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Cote : V-DOC-IMA-SPI

"Cela commence à Turin, dans l'atelier de Giuseppe Penone, quand y arrive le tronc d'un grand cèdre, et s'achève sur l'accueil de cet arbre sculpté au centre Pompidou pour la rétrospective consacrée à l'artiste (avril 2004). Le leitmotiv du travail de Penone sur cette sculpture rythme la vision générale de son parcours, dont il commente certaines phases, depuis la fin des années 1960, où il était le plus jeune membre de l'Arte Povera.

Être ou matière autre, fluide, souple, l'arbre est cet être de mémoire à la rencontre duquel se rend l'humain Penone. Parfois il en retrouve le contour naturel dans le "produit culturel" qu'est la poutre ; parfois, grâce aux cernes de croissance qu'il enlève un à un, il découvre le jeune arbre resté intact au cœur du vieux tronc. Mais il peut aussi planter des arbres qui engloberont dans leur croissance des bronzes aux apparences végétales, tel l'"Arbre des voyelles" au Jardin du Luxembourg. Aux Pays-Bas, il a conçu un chemin en forme de branche (collection Eyck-Wijire) afin que l'homme y circule "comme une sève". "L'essentiel dans mon travail est de faire prendre conscience de ce qui existe et qu'on ne voit pas." Ses travaux sur les empreintes présentent l'être humain comme une matière qui donne trace. Car si Penone sait se faire fleuve pour éroder la pierre ("Essere Fiume"), il révèle aussi ce que le marbre a d'anthropomorphe par la mise en relief de ses veines douces ("Anatomie"). "
Christine Rheys CNC[-]

"Cela commence à Turin, dans l'atelier de Giuseppe Penone, quand y arrive le tronc d'un grand cèdre, et s'achève sur l'accueil de cet arbre sculpté au centre Pompidou pour la rétrospective consacrée à l'artiste (avril 2004). Le leitmotiv du travail de Penone sur cette sculpture rythme la vision générale de son parcours, dont il commente certaines phases, depuis la fin des années 1960, où il était le plus jeune membre de l'Arte Povera.

Être ou ...[+]

PENONE (GIUSEPPE) ; ARTE POVERA ; ARBRE ; SCULPTURE

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Cote : R-CNC-IMA-STE

"Le "Cyclop", sculpture monumentale de Jean Tinguely, est installée dans les bois à Milly-la-Forêt près de Paris. Manifeste des options esthétiques de son auteur, il est composé de matériaux industriels de récupération. Amis et artistes témoignent de leur collaboration et de l'évolution de cette tête géante à laquelle Tinguely travailla de 1969 à sa mort en 1991.
Membre fondateur du groupe des Nouveaux Réalistes, Tinguely a cherché dans son oeuvre à dépasser par le mouvement et la mécanique le caractère statique de la peinture. Le "Cyclop", auquel, à sa demande, Arman, César, Soto et Spoerri ont collaboré, est également un hommage à Klein avec son bassin placé au sommet qui reflète le bleu du ciel. Découragé par le vandalisme répétitif, il envisagea de vendre l'oeuvre mais refusa de la voir partir à l'étranger. Finalement, elle devint, comme le dit Jean-Pierre Raynaud, une sorte de testament. Aujourd'hui, on peut visiter le "Cyclop", assister à du théâtre mécanique, entrer dans un wagon suspendu, observer la descente d'une boule dorée le long d'un circuit, entendre les bruits de grincements et de chocs métalliques, mesurer l'oeuvre avec la "Jauge" de Raynaud... " Catherine Hamery CNC[-]

"Le "Cyclop", sculpture monumentale de Jean Tinguely, est installée dans les bois à Milly-la-Forêt près de Paris. Manifeste des options esthétiques de son auteur, il est composé de matériaux industriels de récupération. Amis et artistes témoignent de leur collaboration et de l'évolution de cette tête géante à laquelle Tinguely travailla de 1969 à sa mort en 1991.
Membre fondateur du groupe des Nouveaux Réalistes, Tinguely a cherché dans son ...[+]

TINGUELY (JEAN) ; MILLY-LA-FORET ; MONUMENTALITE ; SCULPTURE

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Cote : R-CNC-IMA-GUI

"La vieille dame qui traverse la rue au bras d'un jeune homme barbu, c'est elle, Louise Bourgeois, dont l'histoire nous est d'abord brossée à grands traits par le biais de photographies tirées des archives familiales. La rencontre en chair et en os a lieu chez elle et dans son atelier, à Brooklyn, où elle entreprend une exégèse de son œuvre dans une optique résolument psychanalytique.

Rythmé par la visite de quatre sculptures ou "cellules" ("Choisy", "Hands and Glass Balls", "Arch of Hysteria", "Eves and Mirrors") avant leur départ pour la Biennale de Venise en 1993, l'entretien avec Bernard Marcadé et Jerry Gorovoy est placé sous le signe de la maison (familiale et symbolique) comme matrice de l'œuvre. Au traumatisme de base, "fissure de la cellule familiale", car le père ramenait quantité de maîtresses, s'ajoute sa moquerie quant à l'absence de phallus de la petite fille. La passion pour la géométrie aux lois immuables, l'emboîtement des pièces, devient alors recherche de perfection et ironie : démolir des formes est posé en équation avec la destruction du père. L'œuvre, riche en retournements, émerge du discours par l'humour et la vigueur des "show-off" de mamelles ou divers phallus érigés et animalisés. "
Christine Rheys CNC[-]

"La vieille dame qui traverse la rue au bras d'un jeune homme barbu, c'est elle, Louise Bourgeois, dont l'histoire nous est d'abord brossée à grands traits par le biais de photographies tirées des archives familiales. La rencontre en chair et en os a lieu chez elle et dans son atelier, à Brooklyn, où elle entreprend une exégèse de son œuvre dans une optique résolument psychanalytique.

Rythmé par la visite de quatre sculptures ou "cellules" ...[+]

BOURGEOIS (LOUISE) ; SCULPTURE

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Cote : R-CNC-IMA-SPI

"Richard Serra commente son travail lors de différentes étapes : quand il effectue la maquette d'une sculpture destinée à la Tate Gallery à Londres, dans une aciérie du Creusot où il surveille l'élaboration d'une œuvre en cours, pendant la mise en place de sculptures dans des galeries ou musées, et enfin sur les lieux d'une installation permanente, sur l'île de Videy en Islande.

La matière première des œuvres de Richard Serra (né à San Francisco en 1939) est l'acier, jusqu'ici utilisé en art comme simple élément, qu'il emploie avec toute sa densité - les premières sculptures faisaient cinq centimètres d'épaisseur et pesaient environ huit tonnes. Les pièces sont travaillées selon les règles de construction appliquées en ingénierie et lorsqu'il s'agit d'assemblage, les plaques ne sont pas soudées, mais appuyées les unes contre les autres en utilisant leur propre équilibre. Elles doivent ainsi être réalisées au millimètre près. Toujours conçues en rapport de poids et d'échelle avec l'endroit qu'elles vont investir, qu'il s'agisse de galeries, de musées ou de lieux publics, les sculptures se réfèrent à l'architecture du lieu, pour la démasquer ou la rendre sensible. "
Christine Rheys CNC[-]

"Richard Serra commente son travail lors de différentes étapes : quand il effectue la maquette d'une sculpture destinée à la Tate Gallery à Londres, dans une aciérie du Creusot où il surveille l'élaboration d'une œuvre en cours, pendant la mise en place de sculptures dans des galeries ou musées, et enfin sur les lieux d'une installation permanente, sur l'île de Videy en Islande.

La matière première des œuvres de Richard Serra (né à San ...[+]

SERRA (RICHARD) ; SCULPTURE

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Cote : R-CNC-IMA-LEC
"La caméra se déplace entre des plaques d'acier dressées à angle droit contre des murs. La voix off de Richard Serra, qui parle de masse et d'équilibre, se rapproche. Nous sommes au musée national d'art moderne à Paris (novembre-décembre 1983), pendant l'exposition de l'artiste. La visite se poursuit aux Tuileries, autour de "Clara, Clara", en compagnie de Serra et d'Alfred Pacquement.

Le "marcher/regarder", axe majeur de la réflexion de Richard Serra sur la sculpture, est ici mis en pratique par l'artiste lui-même, autour de sa pièce maîtresse "Clara, Clara". La multiplicité des thèmes abordés (masse, équilibre, dessin, matériau, couleur, vitesse, dedans/dehors, espace, environnement, échelle, architecture, lumière) nous donne une leçon sur la nature exacte de l'expérience sculpturale. "
Soraya Hamid CNC[-]
"La caméra se déplace entre des plaques d'acier dressées à angle droit contre des murs. La voix off de Richard Serra, qui parle de masse et d'équilibre, se rapproche. Nous sommes au musée national d'art moderne à Paris (novembre-décembre 1983), pendant l'exposition de l'artiste. La visite se poursuit aux Tuileries, autour de "Clara, Clara", en compagnie de Serra et d'Alfred Pacquement.

Le "marcher/regarder", axe majeur de la réflexion de ...[+]

SERRA (RICHARD) ; SCULPTURE

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The museum of modern art New York Serra Richard | 1 janvier 1986 H

Livre

- 192 p.
Cote : 7_05 (SER)
Richard Serra, sculpteur américain minimaliste, est reconnu pour ses œuvres monumentales en acier, qui interrogent l'espace et la perception du spectateur. Ses sculptures massives et imposantes transforment souvent l'environnement, obligeant les visiteurs à interagir physiquement avec elles, modifiant ainsi leur façon de percevoir l'espace qui les entoure.

Au Museum of Modern Art (MoMA) à New York, Serra a une présence marquante avec plusieurs de ses œuvres exposées. Parmi ses sculptures emblématiques, on trouve celles faites de plaques d'acier courbées, pesant plusieurs tonnes, qui créent des labyrinthes dans lesquels le visiteur est invité à déambuler. Ces sculptures, comme "Torqued Ellipses", provoquent un effet de vertige ou de désorientation en jouant avec l'équilibre et la gravité.

L'œuvre de Serra explore les thèmes du poids, de la matière et de la résistance des matériaux, tout en mettant en avant le rapport entre l'art, l'espace et le corps du spectateur.[-]
Richard Serra, sculpteur américain minimaliste, est reconnu pour ses œuvres monumentales en acier, qui interrogent l'espace et la perception du spectateur. Ses sculptures massives et imposantes transforment souvent l'environnement, obligeant les visiteurs à interagir physiquement avec elles, modifiant ainsi leur façon de percevoir l'espace qui les entoure.

Au Museum of Modern Art (MoMA) à New York, Serra a une présence marquante avec plusieurs ...[+]

SCULPTURE

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- 72-11 p.
Cote : 73_00-SHI
Susumu Shingu a été invité à exposer à Chambord pour la commémoration de la naissance du château : de grandes sculptures de vent, d'eau et de lumière se sont posées sur le canal et dans les jardins alentour. tandis qu'à l'intérieur du château, maquettes, dessins préparatoires témoignent d'une recherche technologique exigeante et accompagnent des structures hyper légères qui se meuvent au moindre souffle. Susumu Shingu poursuit un vaste projet utopiste dont le point d'orgue est «Atelier Earth», un village écologique mu par les énergies naturelles, tourné vers l'art et ouvert à tous. (d'après l'éditeur)[-]
Susumu Shingu a été invité à exposer à Chambord pour la commémoration de la naissance du château : de grandes sculptures de vent, d'eau et de lumière se sont posées sur le canal et dans les jardins alentour. tandis qu'à l'intérieur du château, maquettes, dessins préparatoires témoignent d'une recherche technologique exigeante et accompagnent des structures hyper légères qui se meuvent au moindre souffle. Susumu Shingu poursuit un vaste projet ...[+]

SHINGU (SUSUMU) ; VENT ; SCULPTURE ; CHATEAU DE CHAMBORD

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- 106 p.
Cote : 73_00-SUS
Catalogue d'une exposition consacrée à l'artiste Shingu Susumu, dont les oeuvres, légères, se meuvent au gré des souffles de l'air ou de la pression hydraulique. Expert en aérodynamique et artiste, Shingu poursuit un projet de village autosuffisant grâce à l'énergie éolienne "Breathing Earh".

SHINGU (SUSUMU) ; VENT ; SCULPTURE

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- 400 p.
Cote : 73_00-CHA
Ce deuxième livre de Doris Von Drathen sur le sculpteur Rui Chafes comprend les photographies de ses oeuvres depuis 2011 et un essai de la critique d'art, en portugais et en anglais : "A falencia do Tato" = "When the sense of Touch Fails".

CHAFES RUI ; SCULPTURE ; ANNEES 2010

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Cote : 7_038_00-NOU
Prune Nourry vit et travaille à New York. L'artiste s'intéresse aux champs de la science et de l'anthropologie et plus particulièrement aux questions bio-éthiques liées à la sélection des genres et aux évolutions artificielles de l'humain, à travers une pratique qui associe sculpture, installation, performances et vidéo. Ce livre met en lumière 10 années de pratique artistique et des projets aussi variés que les Bébés domestiques, Process, le triptyque sacré Holy Daughters-Holy River-Terracotta Daughters, dernier projet retentissant qui a voyagé de Paris à Shanghai, Mexico, New York, Zurich.[-]
Prune Nourry vit et travaille à New York. L'artiste s'intéresse aux champs de la science et de l'anthropologie et plus particulièrement aux questions bio-éthiques liées à la sélection des genres et aux évolutions artificielles de l'humain, à travers une pratique qui associe sculpture, installation, performances et vidéo. Ce livre met en lumière 10 années de pratique artistique et des projets aussi variés que les Bébés domestiques, Process, le ...[+]

NOURRY (PRUNE) ; SCULPTURE ; ETRE HUMAIN

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- 92 p.
Cote : 7_01-DID
L'artiste est inventeur de temps. Il façonne, il donne chair à des durées jusqu'alors impossibles ou impensables : apories, fables, chroniques. Les oeuvres étudiées sont Le Temps scellé, une sculpture de Pascal Convert et de Steve McQueen Queen and Country.

CREATION ARTISTIQUE ; SCULPTURE ; TEMPS ; CONVERT (PASCAL)

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- 599 p.
Cote : 749_00-HEA
Monographie consacrée à l'artiste et designer anglais Thomas Heatherwick, connu pour son utilisation innovante de l'ingénierie et des matériaux dans les sculptures et les monuments publics. Il a fondé en 1994 le Heatherwick Studio, qui pratique à la fois l'architecture, le design et la sculpture. Le livre présente 140 projets de 1989 à 2011, accompagnés des commentaires de Heatherwick : B of the Bang à Manchester, Doha Grand Hotel, pavillon du Royaume Uni de l'Exposition Universelle de Shanghai,.. (source : ENSA Marne-La-Vallée)[-]
Monographie consacrée à l'artiste et designer anglais Thomas Heatherwick, connu pour son utilisation innovante de l'ingénierie et des matériaux dans les sculptures et les monuments publics. Il a fondé en 1994 le Heatherwick Studio, qui pratique à la fois l'architecture, le design et la sculpture. Le livre présente 140 projets de 1989 à 2011, accompagnés des commentaires de Heatherwick : B of the Bang à Manchester, Doha Grand Hotel, pavillon du ...[+]

HEATHERWICK (THOMAS) ; MONOGRAPHIE ; SCULPTURE ; DESIGN

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- 288 p.
Cote : 738-MAG
Les oeuvres produites à partir du milieu des années 1940, à la Borne, petit v illage du Berry, dans le centre de la France, ont contribué à inscrire la céramique dans l'art moderne. Les artistes qui sont venus s'installer dans ce hameau ont su construire un dialogue avec la sculpture abstraite, ouvrant la voie à une démarche inédite." artistes cités : Jean et Jacqueline Lerat, Monique Lacroix-Mohy, Yves Mohy, Pierre Digan, Elisabeth Joulia, Hildegund Schlichenmaier, Jeanne Grand Pierre, Joëlle Deroubaix, Gérard Brossard, Anne Kjaersgaard, Jean-Louis et Michèle Raymond, Robert Deblander, Pierre Digan, Gustave Tiffoche, Vassil Ivanoff, Solange Garotte, Jean-Pierre Bonnardot, Rémi Bonhert, Alain Girel, Robert Deblander, Jacques Laroussinie, Anne Barres,
http://www.magenxxcentury.com/publications/la-borne-1940-1980[-]
Les oeuvres produites à partir du milieu des années 1940, à la Borne, petit v illage du Berry, dans le centre de la France, ont contribué à inscrire la céramique dans l'art moderne. Les artistes qui sont venus s'installer dans ce hameau ont su construire un dialogue avec la sculpture abstraite, ouvrant la voie à une démarche inédite." artistes cités : Jean et Jacqueline Lerat, Monique Lacroix-Mohy, Yves Mohy, Pierre Digan, Elisabeth Joulia, ...[+]

LA BORNE ; CERAMIQUE ; SCULPTURE

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- 319 p.
Cote : 9(44P)-HAM
Cet ouvrage est consacré à l'architecture civile et religieuse, à la sculpture et au vitrail vers 1500 dans la ville de Paris. L'auteur traite d'abord des projets et programmes monumentaux puis il analyse l'organisation et les pratiques sociales des artistes, ainsi que les outils de la conception et de la diffusion.

75 PARIS ; ARCHITECTURE GOTHIQUE ; ART GOTHIQUE ; 16E SIECLE ; VITRAIL ; SCULPTURE

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- 360 p.
Cote : 7_038_00-FRA
Pratique fondatrice dans l'oeuvre de l'artiste, la sculpture investit aussi bien la photographie, la vidéo, l'installation que la performance, pour aborder des enjeux d'espace, de volume et d'équilibre qui déterminent la représentation, quel que soit le médium utilisé. Au sein de cette oeuvre proliférante et mouvante, émergent des préoccupations récurrentes : le vivant sous toutes ses formes (insertion du végétal, représentation du minéral, geste humain…), l'ordonnancement des forces (gravité, équilibre, résistance…) et la métaphore de l'enfermement et tout ce qu'elle induit (brisures, trouées, évasion…). Les objets, images et volumes de Michel François ne cessent de se transformer, de se greffer, rejouant un processus naturel en croissance et s'actualisant en des formes transitoires. Les oeuvres se donnent ainsi à voir comme figées dans une expansion de formes et de significations.[-]
Pratique fondatrice dans l'oeuvre de l'artiste, la sculpture investit aussi bien la photographie, la vidéo, l'installation que la performance, pour aborder des enjeux d'espace, de volume et d'équilibre qui déterminent la représentation, quel que soit le médium utilisé. Au sein de cette oeuvre proliférante et mouvante, émergent des préoccupations récurrentes : le vivant sous toutes ses formes (insertion du végétal, représentation du minéral, ...[+]

FRANCOIS MICHEL ; PHOTOGRAPHIE ; ART VIDEO ; SCULPTURE ; PERFORMANCE-ART ; INSTALLATION-ART ; VEGETAL

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- 336 p.
Cote : 738-LEP
Cet ouvrage est consacré au travail de huit artistes qui utilisent principalement le matériau terre. Il s'agit de Claude Champy, Bernard Dejonghe, Philippe Godderidge, Jacqueline Lerat, Michel Muraour,Setsuko Nagasawa, Daniel Pontoreau et Camille Virot

ART BRUT ; SCULPTURE ; LAND ART ; CERAMIQUE ; ARTE POVERA

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