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Arte Video ; Arte editions

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Paris


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Le joli mai Marker Chris | ARTE 2013

DVD


Cote : V-FIC-MAR
Paris, au début mois de mai 1962. Une équipe de tournage descend dans les rues de la capitale française pour donner la parole aux Parisiens. Peu à peu, au-delà des individus, c'est le portrait d'un pays, d'une culture et d'une époque qui se compose par touches successives, contradictoires parfois, mais empreintes de vérité toujours. Le moment choisi par Marker pour aborder la ville de Paris n'est pas anodin : le 18 mars 1962, les Accords d'Evian ont mis fin à huit ans de guerre d'Algérie ; le 14 avril, après la démission de Michel Debré, Georges Pompidou devient Premier ministre du Général de Gaulle ; des discussions s'établissent afin de savoir si le Président de la République Française ne serait pas, désormais, élu au suffrage universel direct ; les premiers HLM apparaissent dans Paris ; le procès de Raoul Salan, dirigeant de l'OAS occupe la scène médiatico-judiciaire ; une deuxième chaîne de télévision est sur le point d'émettre ; des mouvements sociaux perturbent les chemins de fer... et surtout il fait froid à Paris. De tout cela, et de plein d'autres choses, il sera question dans Le Joli mai, film désinvolte et libre qui papillonne d'un quartier à un autre, d'un passant à un autre, d'un sujet à un autre, d'un ton à un autre... Si les sujets abordés par le film sont donc parfois lourds, s'il n'esquive par les questions graves liées à la colonisation ou au racisme, à la pauvreté ou au "vivre-ensemble", Le Joli mai est toutefois un film qui revendique aussi une certaine légèreté, voire un goût certain pour la fantaisie : Chris Marker laisse la parole aux gouailleurs parisiens et aux hurluberlus de toutes sortes, il intègre les alpagues ou les malentendus, il digresse sur la conquête spatiale ou sur Fantômas, le twist et la peinture, et il filme des colombes, des chouettes, des araignées, et bien sûr des chats...[-]
Paris, au début mois de mai 1962. Une équipe de tournage descend dans les rues de la capitale française pour donner la parole aux Parisiens. Peu à peu, au-delà des individus, c'est le portrait d'un pays, d'une culture et d'une époque qui se compose par touches successives, contradictoires parfois, mais empreintes de vérité toujours. Le moment choisi par Marker pour aborder la ville de Paris n'est pas anodin : le 18 mars 1962, les Accords d'Evian ...[+]

MARKER (CHRIS)

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Cote : V-DOC-ARTE-ARC 8
Six films de réalisateurs différents présentent des bâtiments importants pour l'histoire de l'architecture à partir d'images d'archives, de maquettes et d'entretiens avec les architectes :

Le centre national de la danse
La mutation d'un mastodonte de béton, le Centre Administratif de Pantin (1969), en Centre national de la danse (2004)... ou la rencontre réussie de Brutus et des ballerines. Une réhabilitation architecturale qui doit certainement sa réussite à la puissance monumentale du bâtiment d'origine.

La citadelle de Lille
La "reine des citadelles" de Vauban est le modèle des constructions militaires qui jalonnent la France. Construite entre 1668 et 1671, elle doit à sa rigueur et à sa simplicité formelle d'être devenue une source d'inspiration pour les grands architectes contemporains.

Vitrahaus
En 2006 l'entreprise VITRA demande à l'agence "Herzog et de Meuron" un bâtiment pour sa collection "HOME". Ce showroom sera un empilement de 12 maisons dont l'emboîtement crée des espaces surprenants.

La cathédrale de Cologne
Commencée en 1247, la cathédrale de Cologne sera achevée en 1880 après une interruption du chantier de 300 ans. Cette cathédrale, qui incarne l'unité de l'Allemagne, est à la fois un archétype du gothique et un bâtiment du 19ème siècle.

La citadelle du loisir, le centre social Pompeia a Sao Paulo
Dans le quartier de Palmeiras, une ancienne usine aligne ses ateliers du début du 20ème siècle avec d'étranges blocs de béton qui se dressent face à la ville. La "citadelle du loisir" serait-elle une oeuvre majeure de l' "Architettura Povera" ?[-]
Six films de réalisateurs différents présentent des bâtiments importants pour l'histoire de l'architecture à partir d'images d'archives, de maquettes et d'entretiens avec les architectes :

Le centre national de la danse
La mutation d'un mastodonte de béton, le Centre Administratif de Pantin (1969), en Centre national de la danse (2004)... ou la rencontre réussie de Brutus et des ballerines. Une réhabilitation architecturale qui doit ce...[+]

HERZOG & DE MEURON ; VAUBAN (SEBASTIEN LE PESTRE MARQUIS DE) ; SEJIMA (KAZUYO) ; NISHIZAWA (RYUE) ; SANAA ; BO BARDI (LINA) ; KALISZ (JACQUES) ; PANTIN ; LILLE ; COLOGNE ; LAUSANNE ; SAO PAULO ; WEIL-AM-RHEIN

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Cote : V-DOC-ARTE-BOR
Depuis une quinzaine d'années, l'accélération du progrès technique a permis de réaliser des prouesses impensables. Refaire marcher des personnes amputées grâce à une prothèse bionique ou passer un entretien professionnel face à un robot ne relève plus de la science fiction. La technologie régit les rapports sociaux et va s'immiscer jusque dans les corps humains. Ce documentaire met en scène les débats controversés qui opposent des philosophes et certains scientifiques aux partisans du courant "transhumaniste". Les adeptes de ce mouvement de pensée, né aux États-Unis, voient dans les techno-sciences un moyen de créer un homme plus que parfait, bardé d'implants, dont les maladies et autres imperfections physiques seraient gommées grâce aux innovations technologiques. En effet, depuis une quinzaine d'années, l'accélération du progrès technique a permis de refaire marcher des personnes amputées grâce à une prothèse bionique ou passer un entretien professionnel face à un robot ne relève plus de la science fiction. La technologie régit les rapports sociaux et va s'immiscer jusque dans les corps humains.[-]
Depuis une quinzaine d'années, l'accélération du progrès technique a permis de réaliser des prouesses impensables. Refaire marcher des personnes amputées grâce à une prothèse bionique ou passer un entretien professionnel face à un robot ne relève plus de la science fiction. La technologie régit les rapports sociaux et va s'immiscer jusque dans les corps humains. Ce documentaire met en scène les débats controversés qui opposent des philosophes et ...[+]

ROBOTIQUE ; TECHNOLOGIE ; RECHERCHE ; QUALITE DE LA VIE

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Cote : V-DOC-BOL
Ce documentaire est consacré à la maison construite par Hans Scharoun pour le fabricant de pâtes Fritz Schminke entre 1930 et 1933. Le projet prit forme en étroite collaboration avec le maître d'ouvrage. Ainsi naquit un bâtiment adapté aux besoins de ses habitants at auquel Scharoun apporta les dernières connaissances sur l'architecture, auxquelles lui-même avait contribué.

SCHAROUN (HANS) ; SAXE ; MAISON INDIVIDUELLE ; MAISON RESIDENTIELLE ; ANNEES 1930

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Cote : V-FIC-MAR
Images officielles, bouts de films, chutes de reportages, bobines négligées sont les matériaux de base de ce documentaire. Le DVD propose un nouveau montage de 3 heures datant de 1998 en deux parties : "Les Mains fragiles" et "Les Mains coupés", on peut lire : 1) Du Viet Nam à la mort du Che ; 2) Mai 68 et tout ça 3) ; Du printemps de Prague au Programme commun ; 4) Du Chili à quoi, au fait ?
En supplément :
"A bientôt j'espère" de 1967, 45'
"Puisqu'on vous dit que c'est possible" de 1973, 43'
"2084" de 1984, 10'
"La sixième face du pentagone" de 1967, 27 '
"L'ambassade" de 1975, 22' [-]
Images officielles, bouts de films, chutes de reportages, bobines négligées sont les matériaux de base de ce documentaire. Le DVD propose un nouveau montage de 3 heures datant de 1998 en deux parties : "Les Mains fragiles" et "Les Mains coupés", on peut lire : 1) Du Viet Nam à la mort du Che ; 2) Mai 68 et tout ça 3) ; Du printemps de Prague au Programme commun ; 4) Du Chili à quoi, au fait ?
En supplément :
"A bientôt j'espère" de 1967, ...[+]

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Cote : V-DOC-ARTE-LEG
C'est à partir des interviews d'historiens, de psychologues, d'archives et de reconstitutions que ce docu-fiction se déroule à Paris en 1852 lorsque Aristide Boucicaut ouvre Le Bon Marché, inventant le premier grand magasin au monde. Il jette ainsi les bases du commerce moderne et de la société de consommation. Une révolution est en marche : en France, le Printemps ouvre ses portes, suivi par les Galeries Lafayette et la Samaritaine.

GRAND MAGASIN ; BATIMENT COMMERCIAL ; 19E SIECLE ; MODE DE VIE ; ARCHITECTURE DE FER ; BON MARCHE

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Cote : V-DOC-ARTE-ARC 7
Ce septième dvd de la collection architectures propose six films qui présentent des bâtiments essentiels de l'histoire de l'architecture comme le Pavillon allemand de Barcelone de Mies van der Rohe ; L'Université cachée de Séoul de Dominique Perrault ; la Bibliothèque Sainte-Geneviève d'Henri Labrouste ; l'Eglise Notre-Dame de Raincy d'Auguste Perret ; le Cimetière d'Igualada d' Enric Miralles & Carme Pinos ; le Château de Maisons-Laffite de François Mansart.[-]
Ce septième dvd de la collection architectures propose six films qui présentent des bâtiments essentiels de l'histoire de l'architecture comme le Pavillon allemand de Barcelone de Mies van der Rohe ; L'Université cachée de Séoul de Dominique Perrault ; la Bibliothèque Sainte-Geneviève d'Henri Labrouste ; l'Eglise Notre-Dame de Raincy d'Auguste Perret ; le Cimetière d'Igualada d' Enric Miralles & Carme Pinos ; le Château de Maisons-Laffite de ...[+]

MIES VAN DER ROHE (LUDWIG) ; PERRAULT (DOMINIQUE) ; LABROUSTE (HENRI) ; PERRET (AUGUSTE) ; MIRALLES (ENRIC) ; PINOS (CARME) ; MANSART (FRANCOIS) ; IGUALADA ; LE RAINCY ; MAISONS-LAFFITTE ; PAVILLON ALLEMAND ; BARCELONE ; BIBLIOTHEQUE SAINTE-GENEVIEVE ; SEOUL

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Cote : V-DOC-ARTE-GAR
Au lendemain de la première guerre mondiale, le curé du Raincy décide de construire une nouvelle église. Mais le pays est ruiné et les caisses du clergé sont vides. Un homme va relever le double défi de l'urgence et du budget : l'architecte Auguste Perret. Construire vite et pas cher à l'époque, c'est construire en béton armé. Ce matériau mal aimé, honteux, réservé aux ouvrages industriels.

LE RAINCY ; PERRET (AUGUSTE) ; EGLISE ; CONSTRUCTION EN BETON

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Cote : V-DOC-ARTE-COP
L'université Ewha de Séoul est emblématique du mélange de tradition et d'hypermodernité qui caractérise la métropole coréenne. Fondée en 1886, l'université Ewha lance en 2002 un concours international pour la construction d'un nouveau bâtiment ou plutôt d'un nouveau territoire. Un programme complexe de 70 000 m2 où doivent coexister lieux d'études, administration et espaces commerciaux. Dominique Perrault a repris ici un concept qui lui est cher : la disparition de l'architecture. C'est la dimension urbaine et l'organisation du territoire qui priment sur l'objet bâti. Le paysage prend le pas sur l'architecture.[-]
L'université Ewha de Séoul est emblématique du mélange de tradition et d'hypermodernité qui caractérise la métropole coréenne. Fondée en 1886, l'université Ewha lance en 2002 un concours international pour la construction d'un nouveau bâtiment ou plutôt d'un nouveau territoire. Un programme complexe de 70 000 m2 où doivent coexister lieux d'études, administration et espaces commerciaux. Dominique Perrault a repris ici un concept qui lui est cher ...[+]

PERRAULT (DOMINIQUE) ; SEOUL ; BATIMENT UNIVERSITAIRE ; CAMPUS

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Cote : V-DOC-ARTE-FAR
L'édifice de Shigeru Ban et Jean de Gastines se présente comme une vaste structure de plan hexagonal, traversée par trois galeries. L'ensemble évoque un vaste chapiteau, entouré d'un parvis et d'un jardin. A l'intérieur, l'ambiance générale est claire, avec sa toiture en bois blond, ses murs et structures peints en blanc et ses sols en béton surfacé gris perle. La toiture, le traitement de la relation intérieur-extérieur et les trois galeries d'exposition sont le résultat de partis pris architecturaux très novateurs. Le film relate, depuis la pose de la première pierre, les principales étapes d'un chantier qui aura duré trois ans.[-]
L'édifice de Shigeru Ban et Jean de Gastines se présente comme une vaste structure de plan hexagonal, traversée par trois galeries. L'ensemble évoque un vaste chapiteau, entouré d'un parvis et d'un jardin. A l'intérieur, l'ambiance générale est claire, avec sa toiture en bois blond, ses murs et structures peints en blanc et ses sols en béton surfacé gris perle. La toiture, le traitement de la relation intérieur-extérieur et les trois galeries ...[+]

BAN (SHIGERU) ; CENTRE POMPIDOU-METZ ; GASTINES (JEAN DE) ; MUSEE ; CHARPENTE EN BOIS ; LAMELLE-COLLE

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Cote : V-DOC-ARTE-NEU
Construit pour l'exposition universelle de Barcelone en 1929 par Mies van der Rohe, le pavillon allemand de Barcelone devait symboliser la capacité de production de l'industrie et de l'artisanat allemand. Cette structure rectangulaire, surélevée à l'aide d'un podium à l'antique sur lequel se dressent 8 poteaux métalliques et quelques parois de marbres soutenant un toit plat, est tout à la fois un hommage à l'architecture classique et un modèle de la nouvelle architecture que l'on désignera bientôt comme le style international.[-]
Construit pour l'exposition universelle de Barcelone en 1929 par Mies van der Rohe, le pavillon allemand de Barcelone devait symboliser la capacité de production de l'industrie et de l'artisanat allemand. Cette structure rectangulaire, surélevée à l'aide d'un podium à l'antique sur lequel se dressent 8 poteaux métalliques et quelques parois de marbres soutenant un toit plat, est tout à la fois un hommage à l'architecture classique et un modèle ...[+]

MIES VAN DER ROHE (LUDWIG) ; BARCELONE ; PAVILLON ALLEMAND ; BATIMENT D'EXPOSITION

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Cote : V-DOC-ARTE-ARC 6
Six films présentent des bâtiments importants pour l'histoire de l'architecture à partir d'images d'archives, de maquettes et d'entretiens avec les architectes : la mosquée royale à Ispahan d'Ali Akbar Esfahani, la pyramide du roi Djoser à Saqqarah, la philharmonie à Luxembourg de Christian de Portzamparc, la chocolaterie Menier à Noisiel, l'hôtel Royal SAS à Copenhague d'Arne Jacobsen, la gare Saint-Pancras et le Midland Grand Hotel à Londres de l'ingénieur W.H. Barlow et de l'architecte Sir G.G. Scott.[-]
Six films présentent des bâtiments importants pour l'histoire de l'architecture à partir d'images d'archives, de maquettes et d'entretiens avec les architectes : la mosquée royale à Ispahan d'Ali Akbar Esfahani, la pyramide du roi Djoser à Saqqarah, la philharmonie à Luxembourg de Christian de Portzamparc, la chocolaterie Menier à Noisiel, l'hôtel Royal SAS à Copenhague d'Arne Jacobsen, la gare Saint-Pancras et le Midland Grand Hotel à Londres ...[+]

SCOTT (GILES GILBERT) ; JACOBSEN (ARNE) ; PORTZAMPARC (CHRISTIAN DE) ; NOISIEL ; ISPAHAN ; MOSQUEE

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Cote : V-DOC-ARTE-NEU
Les deux documentaires rassemblés ici dressent un portrait de Paris. Le premier, "Paris, roman d'une ville", à été réalisé d'après les travaux de l'historien d'art François Loyer, qui analyse la transformation de la ville explique la trame du tissu urbain. Le second, "Paris Périph", retrace l'histoire des limites de la capitale en pointant l'hétérogénéité de certains aménagements réalisés de part et d'autre du périphérique depuis un siècle.

75 PARIS ; HISTOIRE DES VILLES ; ANALYSE URBAINE ; HISTOIRE

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Eden Gitai Amos | ARTE 2009

DVD


Cote : V-FIC-GIT
En 1939, Kalman, un homme d'affaires jeune et ambitieux, quitte l'Europe pour rejoindre sa sour Samantha en Palestine. Celle-ci vit avec Dov, un architecte idéaliste obsédé par le Bauhaus. Tous deux forment avec leurs amis un groupe qui débat du futur État d'Israël. Une adaptation très libre d'un roman d'Arthur Miller, "Homely Girl, A Life"

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Yom Yom Gitai Amos | ARTE 2009

DVD


Cote : V-FIC-GIT
Deuxième volet de la trilogie sur les villes, se déroulant cette fois à Haïfa. La vie de Moshe y est pour le moins difficile. Sa femme veut divorcer, sa maîtresse couche avec son meilleur ami, sa mère l'appelle Moshe, son père l'appelle Moussa. L'une est juive, l'autre est arabe...

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Devarim Gitai Amos | ARTE 2009

DVD


Cote : V-FIC-GIT
Premier film de la trilogie sur les villes, d'après le roman de Yaakov Shabtai. Le film dépeint la déroute spirituelle de trois hommes de 30-40 ans, dans l'agitation et le tumulte de Tel-Aviv, la ville créée par des pionniers juifs en 1909. Aucun d'eux n'a la vie qu'il avait imaginée.

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Cote : V-DOC-ARTE-GUI
Ce documentaire,consacré à Daniel Buren, brosse, sous la forme d'un entretien, un portrait fouillé de l'artiste qui explique son travail, le cheminement de son œuvre. Un film qui aborde en profondeur l'itinéraire d'un peintre à scandale et internationalement connu. Les questions pertinentes de Guy Tortosa, les images d'archives et les expositions alors en cours (Lille, Villeneuve-d'Ascq, Bruxelles, Villeurbanne) montrent la cohérence de celui qui a aussi la réputation d'être fâché avec les musées. [-]
Ce documentaire,consacré à Daniel Buren, brosse, sous la forme d'un entretien, un portrait fouillé de l'artiste qui explique son travail, le cheminement de son œuvre. Un film qui aborde en profondeur l'itinéraire d'un peintre à scandale et internationalement connu. Les questions pertinentes de Guy Tortosa, les images d'archives et les expositions alors en cours (Lille, Villeneuve-d'Ascq, Bruxelles, Villeurbanne) montrent la cohérence de celui ...[+]

BUREN (DANIEL)

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Cote : V-DOC-ARTE-GUI
Dans ce documentaire, Camille Guichard dresse le portrait de l'artiste Louise Bourgeois qui reçoit depuis les années 70 une reconnaissance internationale. La sculptrice y commente son oeuvre qui oscille entre figuration et abstraction, et obéit à une logique subjective, basée sur l'émotion, la mémoire, la réactivation des souvenirs d'enfance. Sa liberté formelle, mise au service de ses thèmes de prédilection : la polarité masculin/féminin, le corps, la sexualité, en fait une référence majeure pour la création contemporaine.[-]
Dans ce documentaire, Camille Guichard dresse le portrait de l'artiste Louise Bourgeois qui reçoit depuis les années 70 une reconnaissance internationale. La sculptrice y commente son oeuvre qui oscille entre figuration et abstraction, et obéit à une logique subjective, basée sur l'émotion, la mémoire, la réactivation des souvenirs d'enfance. Sa liberté formelle, mise au service de ses thèmes de prédilection : la polarité masculin/féminin, le ...[+]

BOURGEOIS (LOUISE) ; SCULPTURE ; ARTISTE

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Cote : V-FIC-CIN
Parmi les six films présentés dans ce coffret, quatre réalisateurs phares : Sembene Ousmane, Oumarou Ganda, Mustapha Alassane, et Jean-Pierre Dikongué-Pipa, ont un dénominateur commun : le conflit de la tradition et de la modernité. Parce que le cinéma africain a une histoire récente, ce volume regroupe les films emblématiques des années 1960/1970. Deux dvds sont consacrés au sénégalais Sembène Ousmane, avec ses trois premiers films : La Noire de…(1966), Borom Sarret (1962) et le Mandat (1968). Sur les deux autres dvds : Muna Moto (1975) du Camerounais Jean-Pierre Dikongué-Pipa et les deux films du Nigérien Oumarou Ganda : Cabascabo (1969) et Le Wazzou polygame (1972). Et enfin le film du Nigérien Moustapha Alassane : Le Retour d'un aventurier (1967).[-]
Parmi les six films présentés dans ce coffret, quatre réalisateurs phares : Sembene Ousmane, Oumarou Ganda, Mustapha Alassane, et Jean-Pierre Dikongué-Pipa, ont un dénominateur commun : le conflit de la tradition et de la modernité. Parce que le cinéma africain a une histoire récente, ce volume regroupe les films emblématiques des années 1960/1970. Deux dvds sont consacrés au sénégalais Sembène Ousmane, avec ses trois premiers films : La Noire ...[+]

AFRIQUE ; CINEMA

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Cote : V-DOC-ARTE-Ron
Ron Arad est un artiste israélien qui se situe à la croisée de l'architecture, du design et de l'art contemporain. Le documentaire apréhende l'acte de création de l'artiste, qui s'exprime aussi sur sa démarche. Le second documentaire est consacré à la "Bibliothèque Bookworm" créée par Ron Arad.

ARAD (RON) ; DESIGNER ; DESIGN ; AGENCE DE DESIGN ; BIBLIOTHEQUE ; MOBILIER

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