Documents PARTICIPATION DE L'USAGER 118 résultats

Dossier de Presse sur l'Antenne de l'ESA à Chailles (près de Blois) installée depuis 1971 et dirigée par Chilpéric (Alias Jean François de) Boiscuillé, enseignant à l'ESA (et futur directeur de l'Ecole Spéciale d'Architecture et de l'Ecole du paysage de Blois) et co-responsable des constructions avec François Bouvard. En collaboration avec le Docteur Jeangirard qui dirige la clinique psychiatrique de la Chesnaie, les étudiants de l'ESA vont reconstruire les locaux détruits par un incendie, partageant la vie des malades et des soignants, et les malades collaborent à la construction de leurs locaux avec les élèves de l'ESA. Les deux réalisations : le boissier et l'orient-express s'appuient sur la récupération : notamment des wagons de la SNCF.
Liste des documents :
-Chilpéric de Boiscuillé, Chailles récupération in Textes et documents pour la classe série l'habitat en France 1945-1980, 5/03/1981, N° 258
-Dominique Pouchin, La Chesnaie ou l'anti-asile in Le Monde 1973, 21-22 octobre, p. 18
-La Chapelle des fous entretien avec Chilpéric de Boiscuillé in Architecture intérieure, ...
-Jacques Pillet, Simone Oppliger, Une communauté pour vaincre la folie in 24 heures hebdo supplément au N°185, 11-12 aout 1973
-Jacques Pillet, Simone Oppliger, Une trés utile leçon de tolérance pour les bien-portants, in 24 heures hebdo, mardi 14 aout 1973
-Jean-François Fogel, Une histoire de fous in 24 heures ...
-Michel Sene, Joele Godard, Architecture et psychiatrie : une collaboration sans précédent élèves-architectes / malades (source ?)
-Chilpéric de Boiscuillé, Un certain dérangement in Chesnaies hebdo (vers fin 1974)
-François Bouvard, Une pédagogie en construction : l'antenne de Chailles de l'Ecole Spéciale d'Architecture Antenne de Chailles La Chesnaie Chailles 41120, (citations de AA architectures douces 1975, du BIP N° 65 octobre 1979 de l'expérience au banc d'essai : le projet "Orient-Express", 198l'existence juridique & de l'antenne de Chailles La méthode associative.
-Six wagons pour réaliser une expérience Nouvelle République....
-François Bouvard, Scénette bureaucratique extrait de "Qui a lecarré de Berne ?" drame psychologique des Cheminots Associés
-Chilpéric de Boiscuillé, Réponses in BIP N° 65
-Chilpéric de Boiscuillé, Chailles récupération, in BIP N°65
-Pascale Froment-Baumann, Architecture : l'Orient-Express dans un parc, in Le Monde 2 nov. 1980
-Philippe Chancel, Philippe Martin, Orient-Express Blois,Terminus, in Le quotidien du médecin
-Maxime Chatenay, Le Train fou, (7 p. source non citée non datée)
-JO N° 259 Mercredi 4 Novembre 1981
-A l'E.P.I.C. l'espace d'un week end in BIP N° 116 27 mai 1981
-Jacques Baynac, Les maisons du rêve : l'architecte suisse Chilpéric de Boiscuillé expose à Paris (source ?)
-Philippe Chancel, La dernière folie de l'Orient-Express, in Libération Mardi 24 novembre 1981
-Chilpéric de Boiscuillé, M. Bénichou photographe,François Bouvard, Claude Jeangirard, Un lieu construit par les malades, in Culture au Quotidien Centre Georges Pompidou, avril 1983.
-Le ttrain des fous in "SD"
-BLG, "Déraillements" de Thierry Derocles un train de folie in Le Monde jeudi 17 mai 1984, festival de Cannes sélection officielle. [-]

L'architecte Patrick Bouchain s'est attaché au projet de réhabilitation du quartier Delacroix-Molinet, sur les hauteurs de Boulogne-sur-Mer, que l'office HLM voulait démolir. Cette cité de transit de 60 maisons mitoyennes construites en 1975, était en piteux état. L'architecte Sophie Ricard a emménagé sur place et a installé une « maison du chantier », toujours ouverte, où régulièrement elle anime des ateliers. Pour expliquer le projet et faire en sorte que les gens se l'approprient : choix des matériaux, couleurs, finitions... Dans la foulée, des artisans, qui emploient chacun un jeune du quartier en insertion, ont commencé le gros du chantier : isolation, réparation des toitures. Les deux films témoignent de cette expérience.[-]

Dans la métropole lilloise, en limite de Roubaix et de Tourcoing, un projet mené par l'agence d'architecture Reichen & Robert promettait l'îlot Stephenson (un ilôt de maisons ouvrières des années 1930) à la démolition et ses habitants au déplacement. Une quinzaine de familles se sont mobilisées en créant en 2001 l'association "Rase pas mon quartier" dans l'objectif de maintenir la vie de ce qui reste du quartier. D'un côté une immense friche (les démolitions vont bon train sur le berceau de l'industrie textile), de l'autre un travail mené main dans la main par les habitants et l'équipe d'architecture de Patrick Bouchain pour trouver une autre façon de bâtir ensemble. Un studio communautaire d'architecture s'installe dans l'ancien "atelier électrique", où l'architecte Marie Blanckaert accompagne la rénovation des maisons et des espaces publics. Le film montre le combat de ces forces vives pour redonner à la construction sa dimension collective, sociale et humaine, et la transmission fragile du lien ténu qu'il peut y avoir entre les habitants d'un quartier, les aménageurs, les architectes, les nouveaux arrivants.[-]

L'architecte Patrick Bouchain s'est attaché au projet de réhabilitation du quartier Delacroix-Molinet, sur les hauteurs de Boulogne-sur-Mer, que l'office HLM voulait démolir. Cette cité de transit de 60 maisons mitoyennes construites en 1975, était en piteux état. L'architecte Sophie Ricard a emménagé sur place et a installé une « maison du chantier », toujours ouverte, où régulièrement elle anime des ateliers. Pour expliquer le projet et faire en sorte que les gens se l'approprient : choix des matériaux, couleurs, finitions... Dans la foulée, des artisans, qui emploient chacun un jeune du quartier en insertion, ont commencé le gros du chantier : isolation, réparation des toitures. Les deux films témoignent de cette expérience.[-]

Dans le cadre du cours Architecture Éphémère de Brent Patterson l'École Spéciale d'Architecture reçoit Yashar HANDSTAD de l'agence TYIN tegnestue Architects – Norvège.
TYIN est une agence basée en Norvège fondée en 2008 par Andreas Gjertsen et Yashar Hanstad, architectes ayant remporté le European Prize for Architecture, le Global Award for Sustainable Architecture et le prix Innovative and Sustainable Houses. Leur architecture encourage les changements sociaux et le développement culturel, leur approche architecturale étant basée sur la participation de la communauté. Leur travail met en avant l'échange de connaissances et l'utilisation de matériaux propres aux sites. Beaucoup de leur projets se concentrent sur des solutions architecturales dans des pays comme l'Ouganda, Le Myanmar ou la Thaïlande en utilisant le savoir-faire et les matériaux locaux dans une démarche consciencieuse de l'environnement.
En 2009, ils ont construit l'extension d'un orphelinat pour les réfugiés Karen dans le village de Noh Bo à la frontière de la Thaïlande et la Birmanie. Le projet est nommé Soe Ker Tie, qui veut dire papillon, d'après la forme du toit qui répond aux problèmes de collecte d'eau et de protection contre la chaleur. En exemple de leur mise en valeur des techniques et matériaux locaux, le projet a été réalisé avec des bambous collectés à quelques kilomètres du site.[-]

Au lendemain de la seconde guerre mondiale, 150 ouvriers décident de construire de leurs mains une cité pour échapper à la crise du logement. Après trois ans de travaux, la Cité des Castors voit le jour à Pessac. Une quarantaine de cités Castors verront par la suite le jour en France dans les années 50. Ce film s'interroge sur ce qui a rendu possible cette utopie d'une cité construite par ses futurs habitants et en quoi elle nous éclaire aujourd'hui sur la toujours actuelle crise du logement;[-]

Tourné entre 2007 et 2010, le Paysage Intérieur suit pas à pas la grande aventure collective que fut la construction par l'EPFL du Rolex Learning Center, la "bibliothèque du futur".
Ce bâtiment en forme d'immense vague est certes sorti de l'imagination des architectes japonais Kazuyo Sejima et Ryue Nishizawa, de l'agence SANAA, mais sa très complexe réalisation nécessita le concours d'une armée d'architectes, d'ingénieurs, d'ouvriers, sans oublier les professeurs, les chercheurs, les bibliothécaires et les étudiants, bref tous les usagers inquiets de devoir s'installer dans un immense espace ouvert, un paysage intérieur fait de collines et de vallons.[-]

Ce documentaire propose de faire partager l'expérience inédite de la réhabilitation des anciens abattoirs de Calais en Scène Nationalemenée par les architectes Patrick Bouchain et Loïc Julienne de 2005 à 2007 qui a fait l'objet d'une démarche participative . Pendant les travaux, le chantier est ouvert au public : Visiteurs, curieux, écoliers, étudiants, architectes, ouvriers, artistes, vont se croiser, échanger, discuter, apprendre, découvrir et, pour beaucoup, s'ouvrir à un monde qui d'habitude lui est strictement interdit : la vie d'un chantier.[-]

Trois films :
"Points de vue" (13') est une œuvre poétique et philosophique sur la relation de l'homme à son environnement. Yona Friedman se sert du point de vue du chien pour expliquer les particularités humaines et physique de notre rapport au monde.
"Une ville : Une utopie réalisée" (4') : Une utopie de Yona Friedman remixée par Emmanuel Bellegarde, réalisateur évoluant dans l'univers de la bande dessinée. Passionné par le 9e art, lui même dessinateur de ses propres story-boards, il s'illustre avec eux dans les registres de la comédie et de la parodie, tandis qu'il explore un univers fantastique et onirique sur ses projets plus personnels.
"Impression : Yona Friedman" (42') est un film consacré à Yona Friedman : architecte, artiste, sociologue et poète politique, l'auteur d'une dizaine de livres, de bandes dessinées pédagogiques et de films d'animation. Célèbre et presque tout à fait inconnu dans le même temps. Yona Friedman a construit un univers de pensée dans lequel nous pouvons aujourd'hui habiter. Le film est consacré à cette architecture –là, intellectuelle et sensible. Un film “politique” qui envisage combien il est réaliste (étreindre à bras le corps l'utopie) de transformer le monde par l'écoute et l'attention, l'analyse et la proposition infatigable de nouvelles voies possibles. [-]

Malakoff, cité HLM nantaise, construite de 1967 à 1971, a une situation privilégiée en bordure de Loire et proche du centre ville. 11 tours et 5 barres courbes appelées "bananes" se partagent ce territoire enclavé entre Loire, voie urbaine et voies ferrées. En 2000, ce quartier est choisi pour bénéficier d'un Grand Projet de Ville (GPV). Objectifs : désenclaver pour relier le quartier au centre ville, démolir et réhabiliter pour requalifier l'habitat, diversifier les constructions afin de créer la mixité sociale, renouveler l'équipement urbain... Début 2004, la banane "Pays de Galles" se vide. Cette barre sera "déconstruite" : fenêtres et portes récupérées puis tout le bâtiment démonté. Les habitants de la tour "Sicile" s'apprêtent à déménager et suivront ceux de la tour "Portugal". Ce film raconte un moment de l'aménagement d'un territoire urbain d'habitat social. Comment la décision est-elle prise ? Quels en sont les enjeux ? Qu'entend-t-on par mixité sociale ? Qu'en est-il du "faire pour" et du "faire avec" ? Comment habitants, aménageurs et acteurs sociaux vivent cette transformation ?[-]

Beaumarchais, une cité de la région parisienne construite dans les années 80, où vivent 240 locataires. La tension monte à propos des nuisances subies dans les parties communes : on s'interpelle, le ton monte...
Entre l'utopie d'un nouveau mode de vie (un lieu de vie ouvert rêvé et réalisé par des architectes il y a 20 ans) et la réalité d'aujourd'hui au quotidien (désastreuse tant au niveau de la communication entre locataires que dans le constat d'abandon des pouvoirs publics), un discours sécuritaire s'impose insidieusement, qui tend à fermer, verrouiller, "badger", s'enfermer soi-même pour se protéger. Se protéger de quoi ? De l'extérieur, d'un danger qui n'existe pas forcément, de nuisances que l'on s'invente le plus souvent.
Beaumarchais, ce lieu de vie qui devait permettre de réapprendre à se parler, à se retrouver autour d'un banc, d'un espace ouvert, ressemble plus aujourd'hui à un ghetto délabré qu'on isole pour ne pas chercher les vraies solutions.
On assiste dans "Lieux communs" à une représentation du microcosme de cette société qui ne sait plus communiquer malgré tous les moyens mis à sa disposition : un exemple de vies (mal) partagées, où même quand l'État "veut bien faire" (ici : logements sociaux expérimentaux), on ne peut que constater amèrement le repli sur soi généralisé.[-]

"Comment vivrons-nous ensemble ?" est le thème choisi par Hashim Sarkis pour la 17e exposition internationale d'architecture de Venise. Le pavillon français a été confié à l'architecte Christophe Hutin qui a mis en place une recherce-action basée sur l'analyse des processus de quotidianisation productive. Le commissaire propose une contribution optimiste apportant avec ces "communautés à l'oeuvre" dans le monde, une vision humble et collective de la création architecturale. Ces exemples où les habitants se réapproprient leur cadre de vie seraient porteurs de perspectives heureuses pour l'avenir. [-]

Architecte, urbaniste, scénographe, Patrick Bouchain est une figure à part de l'univers du projet. Mû par son goût de l'expérimentation et fort de sa liberté revendiquée, il intervient là où on ne l'attend pas, invente des solutions toujours uniques, collectives et nées de l'éphémère.
Cet « urbaniste inattendu » parie sur l'imprévu avec souplesse, fondant son travail sur un système de valeurs imparable :
1 : Halte à la table rase ! Ce qui existe a de la valeur, fait patrimoine ;
2 : Placer le débat au cœur du projet : la discussion amène à se saisir de « l'impensé »
3 : Privilégier les lieux impensés : friches industrielles ou territoires délaissés
4 : Faire société de manière solidaire, avec le souci des plus vulnérables
5 : Défendre les actions architecturales et urbaines éphémères et réversibles
6 : Faire preuve d'optimisme et d'opiniâtreté pour aller vers l'action dans les conditions du réel
7 : Répondre à une situation donnée en faisant le moins possible pour donner le plus possible ; revendiquer moins de forme et d'esthétique pour plus de sens et de beauté ;
8 : Assumer à titre personnel les responsabilités du projet et profiter de la pensée collective pour y parvenir ;
9 : S'attacher au petit pour comprendre et agir sur l'ensemble ;
10 : et… prendre du plaisir !
Une démarche riche d'humanité et de partage, où le temporaire s'unit au durable et la forme cède le pas au sens.
(Parenthèses)[-]

HOME, l'Habitat ouvert et sur-mesure conçu par l'architecte Pascal Gontier, est un nouveau type de logement collectif capable d'offrir à ses occupants des appartements adaptés à leurs besoins et à leurs désirs individualisés. La démarche qui le permet appelle une implication active des futurs habitants. La méthode BOB, ses règles de composition et sa bibliothèque des éléments de façade laissent libre cours à l'imagination de chacun, tout en garantissant un ensemble harmonieux[-]

Case Design est un bureau d'architecture et de design basé à Mumbai qui travaille sur divers projets, tels que l'Académie Avasara. Situé au-dessus d'un petit village de l'ouest de l'Inde, ce pensionnat pour jeunes femmes est un travail en cours. L'école évolue selon un processus de conception-construction axé sur l'inclusion et l'engagement. Un groupe diversifié de constructeurs, de concepteurs, d'agriculteurs, d'artisans, d'ingénieurs et d'artistes a été impliqué dans la construction de l'école, montrant le potentiel et les possibilités d'une pratique architecturale basée sur la collaboration et l'empathie[-]

Cet ouvrage en deux parties retrace l'expérience, à Beaumont, commune rurale de l' Ardèche, au hameau du Blat, d'un projet d'habitat collaboratif entre 2008 et 2017. La commande des élus du village, atypique pour du logement social, a été adressée à l'atelier Construire (Patrick Bouchain et Loïc Julienne). Ce projet a été porté par la Fondation de France dans le cadre de l'action "nouveaux commanditaires" et du programme "Habitat, développement social et territoires". Il portait sur sept logements sociaux de maisons individuelles (les bogues, à Haute Qualité Environnementale, associant les habitants au projet et leur donnant la possibiité d'un accès progressif à la propriété. Dans la chataignaie, l'architecture des bogues se caractérise par ses pilotis, sa charpente en ogive, son caractère évolutif grace aux espaces modulables. Dans ce livre se trouvent un fac -similé des carnets de dessins de Patrick Bouchain, dévoilant le processus de conception des Bogues du Blat, en dialogue avec le site.[-]

"Comment penser le devenir des territoires dans l'optique d'intégrer l'imprévu, le spontané, l'autonomie habitante? Sur quelles bases et énergies s'appuyer pour concevoir des dynamiques urbaines et rurales plus cohérentes et soutenables ? Notre hypothèse est celle de la collaboration". Cette conversation avec les collectifs d'architectes français "vise à établir une cartographie problématisée des savoir-faire inventifs, expérimentations heureuses ou malheureuses" Elle est organisée en trois parties qui font apparaître des postures et points communs : "faire avec" , "Faire sur le moment pour faire avec" , "Faire sans, faire autrement". En écho à ces récits de collectifs français, l'ouvrage présente la réflexion d'enseignants, de chercheurs, d'observateurs extérieurs à ces mouvements.
Collectif Encore heureux, Collectif Bellastock , Collectif Quatorze, Collectif mit, Collectif Etc, Collectif Parenthèse, Collectif Fil, Collectif Bruit du frigo, Collectif Saprophytes, Collectif Cochenko, Collectif Carton plein, Collectif YA+K, Collectif Yes We Camp, Collectif Approche.s!, Collectif Echelle Inconnue, Collectif ANPU, Collectif AAA, Collectif Bergers urbains, Collectif 2m26 ;[-]

A Madrid,la politique urbaine engagée par l'équipe municipale élue en 2015 est fondée sur trois notions : solidarité, participation et créativité. La solidarité cherche à équilibrer le territoire, restaurer une qualité de vie dans une capitale de grande ampleur (600 km²). La participation expérimente une démocratie directe, mixant plate-forme numérique et dispositifs physiques : une multitude de projets émergent dans des quartiers notamment périphériques qui gagnent progressivement en compétences et en capacités d'action. La créativité est polymorphe : laboratoires citoyens, projets économiques ou d'essence philanthropique, ambitions internationales ou initiatives taillées à la mesure des quartiers. En fin d'ouvage, quatre parcours sont proposés.[-]