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Documents MARCHE A PIED 18 résultats

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V

Cote : R82329
Contient les articles suivants :
-Amphoux Pascal Marcher en ville, les annales de la recherche urbaine, N° 97, p. 137-140
-Lavadinho Sonia, Winkin Yves, Quand les piétons saisissent la ville. Eléments pour une anthropologie de la marche appliquée à l'aménagement urbain, MEI Espace, corps, communication, 2004, N°21, p.33-41
-Lugon Olivier, Le marcheur : piétons et photographes au sein des avant-gardes, Etudes photographiques, 2000, N°8, p.68-91
Paquot Thierry , L'art de marcher dans la ville, Esprit, 2004, mars-avril, p.201-214
-Szanto Catherine, La promenade comme acte esthétique, les cahiers de la recherche architecturale et urbaine, N°26-27, p. 144-149
-Thomas Rachel, l'accessibilité des piétons à l'espace urbain : un accomplissement perceptif situé, p 233-249
-Thomas Rachel, Quand le pas fait orps et sens avec l'espace : aspects sensibles et expressifs de la marche en ville,Cybergeo, 2004, N°261, en ligne Halshs-00143207 version 1 24 apr. 2007. (13 p.)
-Thomas Rachel, Faire corps, prendre corps, donner corps aux ambiances urbaines, colloque international Ambiencias Compartilhadas (...)= ambiances en partage : culture corps et langage, Rio de Janeiro, "-6 nov. 2009, en ligne sur Halshs-00596780 version 1 30 mai 2011, p. 1-10
-Thomas Rachel, La marche en ville, une histoire de sens, L'espace géographique, 2007, N° 1, p. 15-26, enn ligne Halshs-00388489, version 1, 26 mai 2009

Dossier artespacepublic un cycle de dix rencontres débats 1 La ville comment ça marche ? dossier documentaire, 15 p.

Revue Urbanisme 2008 N° 359 mars-avril
editorial Marcher
-Offner, Jean-Marc, Trente ans de pas perdus !
-Jean-François Augoyard, L'invité
-Methorst Rob, Lavadinho Sonia, L'Europe en marche !
-Lavadinho Sonia, Chemins de traverse et lignes de désir
-Lavadinho Sonia, Wiedmer-Dozio Marie-José, Le piéton de Genève
-Lavadinho Sonia, Winkin Yves, Du marcheur urbain
-Thibaud Jean-Paul, Je-tu-il, la marche aux trois personnes
-Charbonneau Jean-Pierre, Confort urbain et
intensité poétique
-Paquot Thierry, Marches livresques
-Levy Jacques, ville pédestre, ville rapide
-Amar Georges, Michaud Véronique, le piéton métropolitain
-Kayser Bengt, La santé en marchant ?

+ Bibliographie sélective réalisée par la bibliothèque.[-]
Contient les articles suivants :
-Amphoux Pascal Marcher en ville, les annales de la recherche urbaine, N° 97, p. 137-140
-Lavadinho Sonia, Winkin Yves, Quand les piétons saisissent la ville. Eléments pour une anthropologie de la marche appliquée à l'aménagement urbain, MEI Espace, corps, communication, 2004, N°21, p.33-41
-Lugon Olivier, Le marcheur : piétons et photographes au sein des avant-gardes, Etudes photographiques, 2000, N°8, ...[+]

MARCHE A PIED ; PIETON ; ESPACE URBAIN ; ESPACE PUBLIC ; CORPS HUMAIN ; AMBIANCE ; APPROPRIATION DE L'ESPACE

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2y

Cote : V-ESA-CONF-BAI
Jean-Christophe Bailly, écrivain ‘marcheur', nous parle de la ville et des passants dans cette conférence du cycle "Autour de la Marche". ll cite Walter Benjamin qui exprime son bonheur de déambuler dans la ville de Marseille sous l'emprise de haschich provoquant une dilatation du temps. Il compare alors le bonheur de l'ivresse au déroulement d'une pelote. Jean-Christophe Bailly reprend la métaphore de la pelote à propos de la promenade urbaine : la ville se dévide, elle est une pelote déjà constituée, existante, structurale, qui, en même temps, n'aurait de sens qu'à être articulée par ceux qui s'y promènent. A l'inverse, une ville où personne ne se promènerait jamais n'existerait pas. Il suppose donc que les métiers liés à l'espace socialisé, le métier d'architecte, d'urbaniste, de paysagiste, sont de plus en plus amenés à travailler sur l'espace urbain, leur fonction, leur sens principal étant de libérer au maximum les conditions du libre déroulement ou du libre dévidement, des démarches, des promenades. Il explicitera également les notions de paysage, d'évasion et de non lieu.[-]
Jean-Christophe Bailly, écrivain ‘marcheur', nous parle de la ville et des passants dans cette conférence du cycle "Autour de la Marche". ll cite Walter Benjamin qui exprime son bonheur de déambuler dans la ville de Marseille sous l'emprise de haschich provoquant une dilatation du temps. Il compare alors le bonheur de l'ivresse au déroulement d'une pelote. Jean-Christophe Bailly reprend la métaphore de la pelote à propos de la promenade urbaine ...[+]

PAYSAGE URBAIN ; MARCHE A PIED ; IMAGE DE LA VILLE

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y
- 381 p
Cote : 8-LAS
L'auteur, géographe, ethnologue au CNRS et à l'EHESS, cherche à cerner ce qui constitue l'expérience du paysage en interrogeant écrivains (Jean-loup Trassard, Julien Gracq, Philippe Jaccottet, André Dhôtel, Pierre Sansot, Fernando Pessoa,...), géographes, paysagistes, peintres , en y mêlant sa voix propre, en écho.

PAYSAGE ; PYRENEES ; MARCHE A PIED ; MONTAGNE ; RECIT DE VOYAGE

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Cote : 711_3-LIG
Ce travail de fin d'étude de deux étudiants en architecture de Paris-Val-de-Seine, explore un territoire : celui de l'Aubrac. Le récit du voyage entre les départements du Cantal, de l'Aveyron et de la Lozère, à la découverte des paysages et des habitants est complété par les données géographiques et historiques de la région et par le projet de PNR. Les burons abandonnés, souvent en ruine, sont, comme les drailles, une des composantes de l'identité de la région. Le projet d'un parcours de mise en valeur des burons, de réhabilitation et de transformation en hébergement de ces constructions vernaculaires prend aussi sens dans ce territoire traversé par les routes de pélerinage (Saint-Gilles et Saint-Jacques de Compostelle). Les thèmes du vide, des échelles, des activités du plateau, mènent d'une part à une réflexion sur l'évolution de l'élevage bovin et le circuit de la production de viande,en aboutissant à un projet de d'abattoir coopératif utilisant le méthane comme énergie, de l'autre à la réhabilitation du Royal Aubrac, ancien sanatorium puis centre de vacances, utile aux habitants du plateau et lieu d'accueil de cure ne détox numérique pour les visiteurs. [-]
Ce travail de fin d'étude de deux étudiants en architecture de Paris-Val-de-Seine, explore un territoire : celui de l'Aubrac. Le récit du voyage entre les départements du Cantal, de l'Aveyron et de la Lozère, à la découverte des paysages et des habitants est complété par les données géographiques et historiques de la région et par le projet de PNR. Les burons abandonnés, souvent en ruine, sont, comme les drailles, une des composantes de ...[+]

AUBRAC ; BATIMENT AGRICOLE ; CONSTRUCTION TRADITIONNELLE ; MARCHE A PIED ; RECIT DE VOYAGE ; ESPACE RURAL ; PARC NATUREL ; SAINT-URCIZE ; ELEVAGE ; ABATTOIR ; BATIMENT HOTELIER ; ECONOMIE REGIONALE

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- 116 p.
Cote : 7_01-MIC
Alain Michard (chorégraphe et cinéaste) et Mathias Poisson (artiste promeneur) mènent depuis 2002 des expériences artistiques dans des villes aussi différentes qu'Istanbul, Naples, Tokyo, Marseille ou Paris. Pour décrire et présenter leur démarche, ils s'appuient sur une de leurs oeuvres majeures : les Promenades blanches. Ils partent d'un regard sensible et attentif sur les espaces publics pour développer des projets de promenades artistiques in situ en lien avec la danse contemporaine. Julie Perrin et Elise Olmedo suivent depuis plusieurs années le travail d'Alain Michard et Mathias Poisson ainsi que de nombreux artistes marcheurs ou chorégraphes. Chacune à sa manière s'empare du flou pour aborder des questions de cartographie subjective, d'écriture chorégraphique et de représentation artistique de l'espace public.[-]
Alain Michard (chorégraphe et cinéaste) et Mathias Poisson (artiste promeneur) mènent depuis 2002 des expériences artistiques dans des villes aussi différentes qu'Istanbul, Naples, Tokyo, Marseille ou Paris. Pour décrire et présenter leur démarche, ils s'appuient sur une de leurs oeuvres majeures : les Promenades blanches. Ils partent d'un regard sensible et attentif sur les espaces publics pour développer des projets de promenades artistiques ...[+]

MARCHE A PIED ; APPROPRIATION DE L'ESPACE ; EXPLORATION URBAINE ; ESPACE VECU ; AMBIANCE

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y
- 325 p.
Cote : 301_15-THI
Les atmosphères sensibles colorent nos milieux de vie, modulent nos manières d'habiter et contribuent à nos façons de faire société.Cet ouvrage conjugue réflexion théorique, proposition méthodologique et investigation de terrain. Il met en variation la thématique des ambiances afin d'explorer sa portée heuristique et sa valeur opératoire. L'expérience ordinaire des passants est mise à l'épreuve des ambiances urbaines. Ainsi une pluralité de thèmes, liés par une approche cohérente, est explorée systématiquement à travers les chapitres du livre, qu'il s'agisse des espaces publics, des environnements sonores ou lumineux, des milieux souterrains ou de la marche en ville... [d'après éd.][-]
Les atmosphères sensibles colorent nos milieux de vie, modulent nos manières d'habiter et contribuent à nos façons de faire société.Cet ouvrage conjugue réflexion théorique, proposition méthodologique et investigation de terrain. Il met en variation la thématique des ambiances afin d'explorer sa portée heuristique et sa valeur opératoire. L'expérience ordinaire des passants est mise à l'épreuve des ambiances urbaines. Ainsi une pluralité de ...[+]

AMBIANCE ; ENVIRONNEMENT SONORE ; PERCEPTION SENSIBLE ; MARCHE A PIED ; ANALYSE URBAINE ; URBANISME SOUTERRAIN

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- 303 p.
Cote : 301_16-ANT
Selon les principes nomades qui caractérisent la "machine de guerre" théorisée en 1980 par Gilles Deleuze et Félix Guattari dans Mille plateaux, architectes, designers, théoriciens et artistes investissent l'espace urbain, et tentent une reconquête par la "guérilla" d'espaces de liberté et de résistance : les analyses portent sur le végétal et la nature en ville, l'esthétique des rues et des interstices urbains, les dérives urbaines et la cartographie des territoires, mais aussi sur les technotopies (Makers, hackerspace, fablabs, smart city) et la notion d'hétérotopie créée par Michel Foucault.. Parmi les auteurs Francesco Careri, Chris Younes, Julien Choppin, un entretien avec Paul Chantereau de l'association Bellastock. [-]
Selon les principes nomades qui caractérisent la "machine de guerre" théorisée en 1980 par Gilles Deleuze et Félix Guattari dans Mille plateaux, architectes, designers, théoriciens et artistes investissent l'espace urbain, et tentent une reconquête par la "guérilla" d'espaces de liberté et de résistance : les analyses portent sur le végétal et la nature en ville, l'esthétique des rues et des interstices urbains, les dérives urbaines et la ...[+]

ESPACE URBAIN ; MARCHE A PIED ; ESPACE RESIDUEL ; AGRICULTURE URBAINE ; SUPERSTUDIO ; ACCONCI (VITO) ; CITOYENNETE ; BOULANGER (ETIENNE) ; PARTICIPATION DE L'USAGER ; NOMADISME ; APPROPRIATION DE L'ESPACE

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- 184 p.
Cote : 711_42(51)-SHA
Cet ouvrage fait suite au séminaire organisé par la Cité de l'architecture et du patrimoine/observatoire de la Chine. Il restitue les travaux des participants répartis en équipes franco/chinoises sur cinq sites de Shanghai choisis comme symbole des mutations de la ville : le secteur protégé des rues Hengshan-Fuxing, les abords de la cathédrale de Xujiahui, la gare du sud, les berges du Huangpu. Ces réflexions et propositions ont été présentées aux responsables locaux de l' urbanisme. On peut lire aussi bien des réactions de terrain, des réflexions après le séminaire et bien sûr la présentation des sites[-]
Cet ouvrage fait suite au séminaire organisé par la Cité de l'architecture et du patrimoine/observatoire de la Chine. Il restitue les travaux des participants répartis en équipes franco/chinoises sur cinq sites de Shanghai choisis comme symbole des mutations de la ville : le secteur protégé des rues Hengshan-Fuxing, les abords de la cathédrale de Xujiahui, la gare du sud, les berges du Huangpu. Ces réflexions et propositions ont été présentées ...[+]

SHANGHAI ; MARCHE A PIED ; ANALYSE URBAINE

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- 199 p.
Cote : DIPL.19-072
Résumé de l'auteure:
* »Une démarche sensible destinée à montrer comment l'architecte peut-il proposer une empreinte, des traces symboliques du territoire »
Projet : « Un parcours ayant pour objectif de reconnecter l'Homme à son milieu, via une architecture sensorielle ».
Commune d'Ine au Japon, Parcours , mémoire, langage du lieu, espace d'expérience symbolique, dialoguer, raconter, éprouver, percevoir, ressentir, émouvoir, faire sens, interaction, rencontrer »
Note de la bibliothèque :
Description des impressions ressenties à Tokyo, description des maisons sur l'eau (Funayas) dans la baie touristique d'Ine, présentation des quatre sites à mettre en valeur dans la commune, évocation des problèmes sociaux économiques de la région, des enjeux et des intentions du projet (pas d'images de celui-ci) de la mobilisation collective pour la revalorisation du territoire rural de Kamiseya, de la philosophie japonaise du wabi-sabi, ...
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Résumé de l'auteure:
* »Une démarche sensible destinée à montrer comment l'architecte peut-il proposer une empreinte, des traces symboliques du territoire »
Projet : « Un parcours ayant pour objectif de reconnecter l'Homme à son milieu, via une architecture sensorielle ».
Commune d'Ine au Japon, Parcours , mémoire, langage du lieu, espace d'expérience symbolique, dialoguer, raconter, éprouver, percevoir, ressentir, émouvoir, faire sens, ...[+]

INE ; CHEMINEMENT ; PERCEPTION SENSIBLE ; MARCHE A PIED ; AMBIANCE ; PAYSAGE

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- 107 p.
Cote : DIPL.17-130
Mémoire:Etude de la marche comme thérapie/architecture de la forêt des Landes.
Projet: Découverte du patrimone culturel et folklorique de la forêt des landes le long d'une randonnée ponctuée de refuges.
Mots_clés: randonée; refuges, microarchitecture, forêt

FORET ; 40 LANDES ; MARCHE A PIED ; PETITE CONSTRUCTION

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- 104p.
Cote : DIPL.17-124
Résumé de l'auteur : "La marche urbaine : une expérience spatio-temporelle." Projet : "Parcourir la place des Fêtes (Paris XIX) à travers une expérience ludique." Mots clés : "espace public, expérience, parcours, marche urbaine"

75019 ; MARCHE A PIED ; IMAGE DE LA VILLE ; ANIMATION URBAINE

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Cote : DIPL.16-028
L'objectif de ce travail est de cocevoir des refuges pour randonneur pour favoriser la sensibilisation au paysage à la matière en particulier à l'eau. Le mémoire est le récit de l'expérience personnelle d'une randonnée exploratoire dans le cirque de Mafate dans le Parc National de la Réunion, classé au patrimoine mondial de l'Unesco. Il décrit également les différentes sortes d'abris et d'architecture à la Réunion : le bivouac, la hutte, la paillotte, le cabanon, la case en bois sous tôle à deux pans, la varangue. Le CD reproduits les cartes, gaphiques, maquettes et la scénographie de la soutenance.[-]
L'objectif de ce travail est de cocevoir des refuges pour randonneur pour favoriser la sensibilisation au paysage à la matière en particulier à l'eau. Le mémoire est le récit de l'expérience personnelle d'une randonnée exploratoire dans le cirque de Mafate dans le Parc National de la Réunion, classé au patrimoine mondial de l'Unesco. Il décrit également les différentes sortes d'abris et d'architecture à la Réunion : le bivouac, la hutte, la ...[+]

REUNION ; PAYSAGE ; MARCHE A PIED ; REFUGE DE MONTAGNE ; HEBERGEMENT TOURISTIQUE

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- 56 p.
Cote : DIPL.15-104
La marche comme pratique artistique exploratoire : le mémoire cite les textes qui ont servi de fondement théorique à la réflexion ; il mentionne la petite ceinture comme site du projet , une architecture de l'instinct adaptable et adaptée à tout un chacun.

MARCHE A PIED

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- 109 p.
Cote : DIPL.15-053
Ce travail tente de cerner la notion de "Bout du monde" d'un point de vue théorique et de définir ce qui constitue la perception et l'expérience sensible de Bout du Monde. "Le Bout du Monde n'est pas qu'un lieu, mais une expérience dans le temps et l'espace, basée sur le dépaysement, l'isolement, la contemplation et l'éloignement." "Le projet souligne le cheminement conduisant jusqu'au bout du monde par plusieurs interventions architecturales, comprenant un refuge destiné à la retraite."[-]
Ce travail tente de cerner la notion de "Bout du monde" d'un point de vue théorique et de définir ce qui constitue la perception et l'expérience sensible de Bout du Monde. "Le Bout du Monde n'est pas qu'un lieu, mais une expérience dans le temps et l'espace, basée sur le dépaysement, l'isolement, la contemplation et l'éloignement." "Le projet souligne le cheminement conduisant jusqu'au bout du monde par plusieurs interventions architecturales, ...[+]

RECIT DE VOYAGE ; MARCHE A PIED ; PERCEPTION SENSIBLE ; REFUGE DE MONTAGNE ; FOIX

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- 88 p.
Cote : DIPL.15-012
Réflexion portant à la fois sur la place du piéton en ville, et sur l'urbanisme à Lyon. Le mémoire fait l'éloge de la marche comme loisir et comme reconquête des espaces urbains. L' objet d'étude est le centre d'échange autoroutier et la gare Perrache à Lyon, qui rendent difficile l'accès au nouveau quartier de la Confluence et fonctionnent comme une barrière urbaine pour les piétons. Plutôt qu'une destruction, l'auteur propose une reconversion de l'échangeur, des parkings en "bâtiment ouvert sur la ville" avec jardins, bibliothèque, bureaux, ... Le CD gravé comprend d'une part le mémoire en version numérique (pdf) et les planches présentées lors de la soutenance avec plans masses, plans, coupes.[-]
Réflexion portant à la fois sur la place du piéton en ville, et sur l'urbanisme à Lyon. Le mémoire fait l'éloge de la marche comme loisir et comme reconquête des espaces urbains. L' objet d'étude est le centre d'échange autoroutier et la gare Perrache à Lyon, qui rendent difficile l'accès au nouveau quartier de la Confluence et fonctionnent comme une barrière urbaine pour les piétons. Plutôt qu'une destruction, l'auteur propose une reconversion ...[+]

MARCHE A PIED ; LYON ; COUPURE DU TISSU URBAIN ; CHEMINEMENT ; RECONVERSION DE BATIMENT ; ECHANGEUR

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- 33 p.
Cote : DIPL.14-074
Le mémoire porte sur la marche en ville et la redécouverte du parcours souterrain de la Bièvre à Paris.
Le projet propose l'aménagement d'un parcours piétonnier sur le boulevard Auguste Blanqui en suivant le cours de la Bièvre.

75013 ; BIEVRE (RIVIERE) ; CHEMINEMENT ; PIETON ; MARCHE A PIED

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- 317 p.
Hommage au "médium inconnu" qu'est la route : "sans bannir les routes maritimes, aériennes et informatiques, ce numéro des Cahiers de médiologie part de la route en sa plus simple expression : la trace tangible inscrite matériellement dans le sol."

ROUTE ; MARCHE A PIED

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y
- n° N°39 octobre 2021 - 157 p.
On parle beaucoup de la marche depuis plusieurs années, comme si nous l'avions perdue de vue dans un monde dominé par la locomotion mécanique, le vélo, la voiture, les transports publics. Elle répond à une volonté de se réapproprier ou de défendre un temps personnel, dans des sociétés qui semblent le confisquer au profit de logiques aliénantes et abstraites. Elle correspond aussi au voeu de ralentir, alors que le monde semble s'être follement emballé sans plus savoir vers quoi exactement il poursuit sa course. Elle est également une manière de sortir du régime de la performance et de la compétition, pour, enfin, prendre le temps d'observer et d'écouter le monde autour de nous. Le temps de rêver aussi, sans lequel il n'est pas de véritable réflexion possible, pas de jardin, pas de poésie, pas de philosophie. Privilégier la marche est une façon de réclamer ce temps-là et, si nous tenons à nos paysages, c'est parce que nous avons appris à les regarder en marchant. (ed.)

Sommaire n°39

Gilles A. Tiberghien, Le paysage à pas comptés, éditorial

DOSSIER
Guillaume Monsaingeon, La marche est-elle un sport de combat ?
Eugénie Denarnaud, La marche et la rôde comme outils de connaissance
Claude Iverné, Calvaires et croix en paysages chrétiens
David Le Breton, La marche comme imprégnation des lieux
Bruno de Wachter, La vallée du Paradis et le bout du monde
Ekaterina Shamova, Ralentir avec les autres. Au sujet de l'expérience du projet "Slow Walk"
Bernadette Lizet, La route en long. Convoyage de poulains de trait en Berry

TRAVERSÉES

VARIA
Mélanie Pavy, Chemin de fuite
Julie Demary, Les pays sans frontières. Deuxième épisode
Sally Bonn, Arpents de poèmes. Sur la poésie de Michèle Métail

VISITE DE PROJETS
Denis Delbaere, Les sentiers métropolitains : quand la carte fait le projet. À propos du GR 2013

ÉCRANS
Gilles A. Tiberghien, Michael Snow, La Région centrale (1971)

LECTURES
Aurélien Deudon, Baptiste Morizot, Manières d'être vivant
Gilles A. Tiberghien, Emanuele Coccia, La Vie des plantes
Giulio Giorgi, Julian Raxworthy, Overgrown
Matthias Colardelle & Sarah Bronsard, Le prix du Roman d'écologie 2021
Marc-Olivier Padis, Olivier Remaud, Penser comme un iceberg
Denis Delbaere, Arne Naess, Écosophie et paysage
Anouchka Vasak, Martin de la Soudière, Lignes secondaires
Gilles A. Tiberghien, Claudio Ferrata, Nelle pieghe del mondo

RÉSUMÉS / ABSTRACTS[-]
On parle beaucoup de la marche depuis plusieurs années, comme si nous l'avions perdue de vue dans un monde dominé par la locomotion mécanique, le vélo, la voiture, les transports publics. Elle répond à une volonté de se réapproprier ou de défendre un temps personnel, dans des sociétés qui semblent le confisquer au profit de logiques aliénantes et abstraites. Elle correspond aussi au voeu de ralentir, alors que le monde semble s'être follement ...[+]

MARCHE A PIED

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