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Documents THEORIE DU PAYSAGE 40 résultats

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Cote : V-Cité Arc. P.-Cours Pub.-2010-2011-GIL
L'« architecte de paysages » Luis Barragan (1902-1988, prix Pritzker 1980), inscrit les principes de l'Architecture Émotionnelle au cœur de son œuvre, fondée sur l'implication sensible du concepteur autant que celle de l'arpenteur. Voyageur et rêveur, il parcourt les paradis arabes de l'Alhambra, les terrasses de Le Nôtre et les perspectives dérobées du parc baroque italien. Il invente de nouvelles méthodes de conception, où se croisent l'expérience de son travail quotidien dans le jardin de silence de sa maison et le regard des artistes qu'il y convie, et où il abolit toute distinction entre la mise en scène de l'habitation et l'ordonnance du jardin. À l'heure de la crise planétaire, le XXIe siècle nous inonde d'images virtuelles, génératrices d'expressions formelles spectaculaires, souvent vaines. Mais un rêve de jardin s'infiltre dans nos villes contemporaines et appelle l'homme sensible à renaître, tel que l'entendait Luis Barragan. Et on voit réapparaître des architectures concrètes et sensuelles comme les siennes, inspirantes et ancrées dans un lieu comme celles de Peter Zumthor, celles de Tadao Ando ou du groupe catalan RCR. L'espace y est sculpté dans toutes ses dimensions, il conduit à l'enchantement et au recueillement. Grâce aux multiples procédés de la scénographie, l'expérience sensible y est projetée vers celle du jardin, voire du grand paysage, abolissant toutes frontières entre les disciplines.[-]
L'« architecte de paysages » Luis Barragan (1902-1988, prix Pritzker 1980), inscrit les principes de l'Architecture Émotionnelle au cœur de son œuvre, fondée sur l'implication sensible du concepteur autant que celle de l'arpenteur. Voyageur et rêveur, il parcourt les paradis arabes de l'Alhambra, les terrasses de Le Nôtre et les perspectives dérobées du parc baroque italien. Il invente de nouvelles méthodes de conception, où se croisent ...[+]

HISTOIRE DES JARDINS ; BARRAGAN (LUIS) ; PAYSAGISTE ; ESPACE SENSORIEL ; PERCEPTION DE L'ARCHITECTURE ; THEORIE DU PAYSAGE

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Cote : V-Cité Arc. P.-Cours Pub.-2010-2011-CRI
Pascal Cribier intervient aussi bien sur des projets liés au paysage que sur des jardins, il préfère le terme de jardinier à celui d'architecte-paysagiste. Car il aime avant tout être au contact du sol et rencontrer les habitants. Il préfère observer les caractéristiques géologiques, les courants d'air, le ruissellement des eaux de pluie.
Il découvre des indices supplémentaires en explorant les ronciers et en grimpant dans les arbres. Il préfère discuter avec les gens qui feront le lieu, que palabrer lors de réunions interminables avec les acteurs et décideurs du paysage « démocratique ». De plus, il éprouve un réel plaisir à user du privilège du jardinier : ne pas être soumis à l'obligation de résultat - contrairement au travail sur le paysage qui doit faire preuve d'une efficacité conforme au projet. Jardiner, c'est considérer à la fois le temps des météores, celui du vivant et celui de l'homme.[-]
Pascal Cribier intervient aussi bien sur des projets liés au paysage que sur des jardins, il préfère le terme de jardinier à celui d'architecte-paysagiste. Car il aime avant tout être au contact du sol et rencontrer les habitants. Il préfère observer les caractéristiques géologiques, les courants d'air, le ruissellement des eaux de pluie.
Il découvre des indices supplémentaires en explorant les ronciers et en grimpant dans les arbres. Il préfère ...[+]

HISTOIRE DES JARDINS ; PAYSAGISME ; PAYSAGISTE ; CRIBIER (PASCAL) ; THEORIE DU PAYSAGE ; JARDINAGE

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Cote : V-Cité Arc. P.-Cours Pub.-2010-2011-CLE
Le jardin, étymologiquement « l'enclos », protège ce que l'homme, au cours de son histoire, accueille de plus précieux. Les fleurs, les fruits, les légumes, mais aussi les espaces où l'on joue, ceux où l'on cesse de s'agiter, ceux que l'on voue à la seule méditation ou à l'art de vivre. Tout cela s'organise dans une architecture considérée par l'histoire comme un art spécifique : l'art du jardin. Si la figure et le style prennent autant de formes différentes au cours de l'histoire, c'est que l'idée même du meilleur varie avec le temps, les urgences et les préoccupations du moment. Les jardins que l'histoire retient, reflètent une pensée aboutie de l'époque à laquelle ils ont été conçus. Ceux que l'on observe en territoire indoeuropéen sont globalement soumis aux visions monothéistes et s'organisent en rapport à la notion de « paradis », définition admise. D'autres systèmes culturels se contentent d'un idéal paysager se référant à une cosmogonie singulière, sans que soit invoquée une vision paradisiaque du « meilleur ».[-]
Le jardin, étymologiquement « l'enclos », protège ce que l'homme, au cours de son histoire, accueille de plus précieux. Les fleurs, les fruits, les légumes, mais aussi les espaces où l'on joue, ceux où l'on cesse de s'agiter, ceux que l'on voue à la seule méditation ou à l'art de vivre. Tout cela s'organise dans une architecture considérée par l'histoire comme un art spécifique : l'art du jardin. Si la figure et le style prennent autant de ...[+]

HISTOIRE DES JARDINS ; CLEMENT (GILLES), PAYSAGISTE ; THEORIE DU PAYSAGE ; PAYSAGISTE ; PAYSAGISME

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Cote : V-Cité Arc. P.-Cours Pub.-2010-2011-MOS
Le jardin est le lieu privilégié de la rencontre entre l'homme et la planète qui le porte ; le jardin où dialoguent - selon des modalités infiniment variées et toujours renouvelées - nature et culture. Le jardin qui, du Paradis au « jardin planétaire », est porteur d'un inépuisable répertoire de mythes, tour à tour panthéiste ou mystique, monacal ou érotique.
Si le jardin, fragment découpé dans le tissu même du monde, en cristallise le sens, il en condense aussi la matière. Rappelons que pour les auteurs de la Charte de Florence (1982), les jardins historiques sont des «monuments vivants».
On n'a peut-être pas assez mesuré les effets induits par cette simple mais troublante affirmation. Elle impose, dès lors, à l'historien, comme au responsable de leur gestion, l'obligation d'étudier et d'appréhender les jardins dans toute leur épaisseur physique et temporelle, à travers leur évolution et les transformations dont ils ont pu faire l'objet jusqu'à nos jours.
En un mot, il s'agit bien d'intégrer les paramètres du vivant à l'intérieur d'une histoire, infiniment riche et complexe, en permanente évolution.[-]
Le jardin est le lieu privilégié de la rencontre entre l'homme et la planète qui le porte ; le jardin où dialoguent - selon des modalités infiniment variées et toujours renouvelées - nature et culture. Le jardin qui, du Paradis au « jardin planétaire », est porteur d'un inépuisable répertoire de mythes, tour à tour panthéiste ou mystique, monacal ou érotique.
Si le jardin, fragment découpé dans le tissu même du monde, en cristallise le sens, il ...[+]

JARDIN ; HISTOIRE DES JARDINS ; THEORIE DU PAYSAGE ; PAYSAGISME ; NATURE

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Cote : V-Cité Arc. P.-Cours Pub.-2010-2011-LUC
Après l'époque des grandes figures telles celles de J-C- N. Forestier (1861-1930), A.Gaudí (1852-1926) et A. Duchêne (1866-1947), pendant les 50 années les plus « dures » du XXe siècle, la pensée, les sciences et les arts des jardins et du paysage, -donner vie et forme au pays et aux lieux-, demeurent actives. Des théories et pratiques expérimentales caractérisent ce champ de la création, en contrepoint des domaines propres de l'architecture, de l'urbanisme et de l'écologie, jusqu'à la renaissance complète de cette discipline à partir des années 80. Une génération de paysagistes singuliers donne vie à « d'autres modernités », généralement d'origine publique, en marge du parcours hégémonique des architectes et ingénieurs les plus reconnus de cette même période.[-]
Après l'époque des grandes figures telles celles de J-C- N. Forestier (1861-1930), A.Gaudí (1852-1926) et A. Duchêne (1866-1947), pendant les 50 années les plus « dures » du XXe siècle, la pensée, les sciences et les arts des jardins et du paysage, -donner vie et forme au pays et aux lieux-, demeurent actives. Des théories et pratiques expérimentales caractérisent ce champ de la création, en contrepoint des domaines propres de l'architecture, de ...[+]

HISTOIRE DES JARDINS ; 20E SIECLE ; THEORIE DU PAYSAGE ; SCARPA (CARLO) ; PIKIONIS (DIMITRIS) ; PLECNIK (JOSEF) ; SORENSEN (CARL THEODOR) ; LEWERENTZ (SIGURT) ; MOUVEMENT MODERNE ; PARC URBAIN

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Cote : V-Cité Arc. P.-Cours Pub.-2010-2011-ELI
Écho des espaces purifiés des temps antiques, où les dieux du vieux Japon pouvaient venir se reposer, les jardins japonais combineront, au fil des siècles, de multiples fonctions et de multiples messages : des parcs de Nara destinés à l'usage de l'empereur (VIIIe siècle), comme en Chine, aux « jardins des nombreux plaisirs » évoquant, dans les temps médiévaux, le paradis d'Amida.
Ces derniers s'effaceront plus tard au profit des « jardins de promenade » qu'aimaient tant les administrateurs de l'époque d'Edo (1603-1868). Et le Japon d'aujourd'hui préserve cette richesse, culminant dans les célèbres « paysages secs » qui inspirent désormais les créateurs dans le monde entier : des jardins de pierre que les moines, et particulièrement d'obédience zen, ont installés pour conduire à la méditation.[-]
Écho des espaces purifiés des temps antiques, où les dieux du vieux Japon pouvaient venir se reposer, les jardins japonais combineront, au fil des siècles, de multiples fonctions et de multiples messages : des parcs de Nara destinés à l'usage de l'empereur (VIIIe siècle), comme en Chine, aux « jardins des nombreux plaisirs » évoquant, dans les temps médiévaux, le paradis d'Amida.
Ces derniers s'effaceront plus tard au profit des « jardins de ...[+]

HISTOIRE DES JARDINS ; JARDIN JAPONAIS ; THEORIE DU PAYSAGE ; JAPON

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Cote : V-Cité Arc. P.-Cours Pub.-2010-2011-BIN
Le jardin chinois, dont les premières manifestations remontent à plus de quatre mille ans, constitue certainement l'une des formes d'expression artistique la plus accomplie que la Chine traditionnelle nous ait léguée. Son concept est intimement lié aux autres formes d'art, peinture, poésie, architecture, calligraphie ou musique, et reflète, à travers les images qu'il met en scène, tout un monde utopique et microcosmique que sous-tendent les courants philosophico-cultuels qui marquèrent de leurs empreintes la civilisation de l'Empire du Milieu.[-]
Le jardin chinois, dont les premières manifestations remontent à plus de quatre mille ans, constitue certainement l'une des formes d'expression artistique la plus accomplie que la Chine traditionnelle nous ait léguée. Son concept est intimement lié aux autres formes d'art, peinture, poésie, architecture, calligraphie ou musique, et reflète, à travers les images qu'il met en scène, tout un monde utopique et microcosmique que sous-tendent les ...[+]

HISTOIRE DES JARDINS ; JARDIN CHINOIS ; CHINE ; THEORIE DU PAYSAGE

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Cote : V-Cité Arc. P.-Cours Pub.-2010-2011-NYS
Le passage «du monde clos à l'univers infini» n'est pas seulement un moment historique de l'art des jardins. Il en décrit une évolution structurelle, un moment métaphysique.Philippe Nys analyse les modalités de ce passage dans l'histoire des jardins à travers le concept de phusis (nature), dont l'historien du paysage européen John Dixon Hunt a tiré sa célèbre théorie des quatre natures : phusis, technai, « jardins » in situ, jardins (d') écrits ou jardins de papier. Au delà de l'histoire occidentale, cette structure anthropologique permet d'aborder dans un troisième temps d'autres cultures et civilisations, notamment celle des jardins japonais à « l'autre bout du monde », envisagés comme la quintessence même de la structure des quatre natures.[-]
Le passage «du monde clos à l'univers infini» n'est pas seulement un moment historique de l'art des jardins. Il en décrit une évolution structurelle, un moment métaphysique.Philippe Nys analyse les modalités de ce passage dans l'histoire des jardins à travers le concept de phusis (nature), dont l'historien du paysage européen John Dixon Hunt a tiré sa célèbre théorie des quatre natures : phusis, technai, « jardins » in situ, jardins (d') écrits ...[+]

HISTOIRE DES JARDINS ; THEORIE DU PAYSAGE ; NATURE

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Cote : V-Cité Arc.P-Cours Pub-2009-2010-COR
Le paysage, par ses alliances nombreuses, tisse un «milieu qui intègre, sans mélange, des localités diversifiées». Il est un lieu d'interrelations. S'il n'y a pas de confusion ou d'éparpillement des données dans la plupart des paysages où le végétal domine, c'est parce que les parties ne s'ignorent pas, parce qu'elles sont liées par un même pacte. Ce n'est donc pas l'idéologie qui nous tient éloignée de la pensée actuelle, celle qui fait l'apologie de la juxtaposition, du chaos, mais bien nos expériences, qui nous conduisent à considérer l'espace du paysage ou de la ville comme un véritable milieu où les choses, existantes ou rapportées, échangent multiplement.[-]
Le paysage, par ses alliances nombreuses, tisse un «milieu qui intègre, sans mélange, des localités diversifiées». Il est un lieu d'interrelations. S'il n'y a pas de confusion ou d'éparpillement des données dans la plupart des paysages où le végétal domine, c'est parce que les parties ne s'ignorent pas, parce qu'elles sont liées par un même pacte. Ce n'est donc pas l'idéologie qui nous tient éloignée de la pensée actuelle, celle qui fait ...[+]

AMENAGEMENT PAYSAGER ; THEORIE DU PAYSAGE ; HISTOIRE DES VILLES ; HISTOIRE DE L'URBANISME ; FRANCE ; ESPACE VERT ; JARDIN PUBLIC

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- 125 p.
Cote : 712-PAQ
Cet ouvrage, examine aussi bien les paysages urbains que leur patrimonialisation, les transformations du sentiment de la nature que ses représentations. Il appelle à une "éthique paysagère" soucieuse des nouvelles exigences environnementales et conclut que le paysage s'apparente à un "don de sensations", une poétique des écosystèmes. [d'apres l'éditeur]

THEORIE DU PAYSAGE ; PAYSAGISME ; PATRIMOINE IMMATERIEL ; NATURE ; PERCEPTION SENSIBLE

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- 624 p.
Cote : 711_037-HAL (EN)
Une histoire critique de l'urbanisme du XXème siècle dans le monde à travers ses théoriciens et la mise en oeuvre, parfois cauchemardesque, de leurs idées.

THEORIE DE L'URBANISME ; 20E SIECLE ; PROJET D'URBANISME ; HISTOIRE DE L'URBANISME ; PLANIFICATION URBAINE ; THEORIE DU PAYSAGE

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- 73 p.
Cote : 712_00-CLE
Il existe des espaces dépourvus de fonction, en marge des cultures, en lisière des forêts qui constituent des refuges pour la biodiversité; Gilles Clément les nomme Tiers paysage en référence au Tiers état. Depuis la publication du manifeste en 2004, la notion de Tiers Paysage s'est propagée, a été parfois récupérée à des fins politiques ou marchandes, mais parfois aussi mise en oeuvre sans autre but que la protection de la diversité.

THEORIE DU PAYSAGE ; BIODIVERSITE

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- 256 p.
Cote : 711_4_01-JOR (EN)
Urban Wildscapes est un recueil d'écrits sur les paysages urbains sauvages. Ce sont des espaces abandonnés et marginaux souvent envahis par la végétation : anciens sites industriels, décharges, cimetières, bois, terrains vagues et tout un éventail de friches urbaines.L'appréciation de leurs qualités particulières peut apporter beaucoup à une approche durable pour la planification, la conception et la gestion du paysage urbain.

PAYSAGE URBAIN ; FRICHE URBAINE ; FRICHE INDUSTRIELLE ; THEORIE DU PAYSAGE ; ESPACE RESIDUEL

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- 432 p.
Cote : 712(4)-LUG
Dans cet essai, au croisement de l'histoire, de la géographie, de la sociologie et de l'aménagement du territoire, Yves Luginbühl, interroge la notion de paysage. L'auteur explore plus particulièrement les concepts de paysage naturel et culturel, la dimension symbolique, la notion d'environnement, ainsi que la matérialité biologique.

THEORIE DU PAYSAGE ; PAYSAGE ; GEOGRAPHIE PHYSIQUE ; AMENAGEMENT PAYSAGER ; ANALYSE DU PAYSAGE

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- 178 p.
Cote : 712-GIR
Ce livre exprime une des approches de l'urbanisme au 18ème siècle dans un esprit spécifiquement géographique, puisque l'idée directrice de l'auteur était d'intégrer le jardin à l'habitation à son envoronnement naturel.

THEORIE DU PAYSAGE ; HISTOIRE DES JARDINS ; PAYSAGE ; 18E SIECLE

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- 283 p.
Cote : 712-COL
Aujourd'hui le paysage fait l'objet d'un intérêt renouvelé dans tous les domaines de la vie sociale, intellectuelle, littéraire et artistique ; il donne à penser, et à penser autrement ; il offre, entre autres choses, un modèle pour l'invention d'une nouvelle forme de rationalité, que Michel Collot propose ici d'appeler la pensée-paysage, et qu'il tente de définir et d'illustrer à travers ses expressions philosophiques, artistiques et littéraires contemporaines, en faisant dialoguer poésie et phénoménologie, Orient et Occident, plasticiens et écrivains, tradition et modernité.[-]
Aujourd'hui le paysage fait l'objet d'un intérêt renouvelé dans tous les domaines de la vie sociale, intellectuelle, littéraire et artistique ; il donne à penser, et à penser autrement ; il offre, entre autres choses, un modèle pour l'invention d'une nouvelle forme de rationalité, que Michel Collot propose ici d'appeler la pensée-paysage, et qu'il tente de définir et d'illustrer à travers ses expressions philosophiques, artistiques et l...[+]

THEORIE DU PAYSAGE ; CORAJOUD (MICHEL) ; PAYSAGE URBAIN ; LAND ART

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- 271 p.
Cote : 712_00-COR
Cet ouvrage constitue une anthologie des textes de Michel Corajoud, lauréat du grand prix du paysage en 1992 et du grand prix de l'urbanisme en 2003, qui expose les concepts fondateurs de son travail ainsi que ses méthodes et les filiations intellectuelles dont il se réclame. Il évoque les projets qu'il estime les plus représentatifs de son oeuvre et il revient sur les principes de l'enseignement qu'il a dispensé à l'École nationale supérieure du paysage de Versailles.[-]
Cet ouvrage constitue une anthologie des textes de Michel Corajoud, lauréat du grand prix du paysage en 1992 et du grand prix de l'urbanisme en 2003, qui expose les concepts fondateurs de son travail ainsi que ses méthodes et les filiations intellectuelles dont il se réclame. Il évoque les projets qu'il estime les plus représentatifs de son oeuvre et il revient sur les principes de l'enseignement qu'il a dispensé à l'École nationale supérieure ...[+]

PAYSAGE ; THEORIE DU PAYSAGE ; ENSEIGNEMENT ; CORAJOUD (MICHEL)

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- 149 p.
Cote : 712-BER
Cet ouvrage rassemble 5 textes publiés entre 2000 et 2008. Augustin Berque y explique que le paysage n'est pas universel, qu'il correspond à un certain rapport avec la nature, que chaque culture ne le possède pas obligatoirement. Il liste cinq conditions : l'existence de traités du paysage, la présence de mots pour dire "paysage", des représentations picturales, des jardins d'agrément et une appréciation littéraire de l'environnement. Et à propos de l'identité humaine qui figure dans le titre, il écrit qu'elle est contingente comme l'histoire, et concrète comme l'écoumène. On n'est pas soi-même dans l'absolu, mais dans un rapport en devenir à l'altérité, que ce soit celle d'autrui, des animaux, des plantes ou des pierres.[-]
Cet ouvrage rassemble 5 textes publiés entre 2000 et 2008. Augustin Berque y explique que le paysage n'est pas universel, qu'il correspond à un certain rapport avec la nature, que chaque culture ne le possède pas obligatoirement. Il liste cinq conditions : l'existence de traités du paysage, la présence de mots pour dire "paysage", des représentations picturales, des jardins d'agrément et une appréciation littéraire de l'environnement. Et à ...[+]

PAYSAGE ; NATURE ; PHILOSOPHIE ; JAPON ; CHINE ; ENVIRONNEMENT NATUREL ; ANTHROPOLOGIE ; THEORIE DU PAYSAGE ; CIVILISATION ; CYBERNETIQUE

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- 142 p.
Cote : 711_01-MAR
L'urbanisation des territoires de transition entre la ville et la campagne ceux de la suburbia, est oublieuse de l'épaisseur du passé, des transformations complexes des sites, aussi bien que des représentations que l'on s'en fait. La notion de sub-urbanisme, définie par l'auteur comme une " subversion de l'urbanisme ", remet profondément en question une telle attitude. Cet essai plaide pour une démarche qui appréhenderait le site comme la matrice d'un projet explorant les multiples strates spatio-temporelles du territoire : l'architecture comme instrument de la mémoire et la mémoire comme matière de l'architecture. Quatre sources alimentent la démarche : les travaux de Frances Yates sur L'Art de la mémoire, consacrés aux pratiques mnémotechniques des anciens ; la "métaphore romaine" proposée par Sigmund Freud pour évoquer le mode de conservation du passé dans la structuration de la psyché ; la démarche de l'artiste américain Robert Smithson avec son concept de non-site ; et enfin le parc de Lancy réalisé dans la banlieue de Genève par l'architecte Georges Descombes[-]
L'urbanisation des territoires de transition entre la ville et la campagne ceux de la suburbia, est oublieuse de l'épaisseur du passé, des transformations complexes des sites, aussi bien que des représentations que l'on s'en fait. La notion de sub-urbanisme, définie par l'auteur comme une " subversion de l'urbanisme ", remet profondément en question une telle attitude. Cet essai plaide pour une démarche qui appréhenderait le site comme la ...[+]

BANLIEUE ; MEMOIRE ; PAYSAGE URBAIN ; PERCEPTION DE L'ESPACE ; PERIURBAIN ; THEORIE DE L'URBANISME ; THEORIE DU PAYSAGE

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- 227 p.
Cote : 712-BES
L'auteur analyse les problématiques paysagères contemporaines, l'histoire et les caractéristiques de la géographie aérienne, les dimensions politiques et vernaculaires du paysage, le rôle de la cartographie, et propose une étude de l'hodologie en tant que science des chemins, des routes et des voyages.

PAYSAGE ; CARTOGRAPHIE ; PAYSAGISME ; THEORIE DU PAYSAGE

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