Gosses de Tokyo : Ozu traite avec humour son thème favori, les relations entre parents et enfants, mais offre surtout un message d'humanisme social en faveur du respect de l'identité des individus dans la société japonaise très hiérarchisée.
Fleurs d'équinoxe : Ozu s'intéresse aux conflits entre les générations, au problème de l'obéissance et du respect dus aux parents dans une société en profonde mutation. Mais ses démonstrations ne sont jamais pesantes : Ozu préfère être allusif et jouer la carte de l'humour ou de l'ironie.
Fin d'automne : La mise en scène dépouillée, les cadrages rigoureux, l'insistance du récit sur le quotidien au détriment des noeuds dramatiques achèvent d'élever ce drame familial à la réflexion métaphysique.
Dernier caprice : Ozu traite une fois encore des rapports au sein de la cellule familiale avec dépouillement et rigueur.
Bonjour : Bonjour traite du thème de prédilection du réalisateur : l'opposition entre l'ancienne et la jeune génération, la question de l'obéissance et du respect dus aux parents. Avec humour et dans le style dépouillé qui lui est propre, Ozu décrit les rapports conflictuels d'un père avec ses fils.
Le goût du saké :Pour son dernier film, Ozu pousse son style contemplatif et sa réflexion sur la cellule familiale à son comble. Il y fait aussi une description nostalgique d'un Japon où l'influence américaine érode les valeurs traditionnelles.
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Gosses de Tokyo : Ozu traite avec humour son thème favori, les relations entre parents et enfants, mais offre surtout un message d'humanisme social en faveur du respect de l'identité des individus dans la société japonaise très hiérarchisée.
Fleurs d'équinoxe : Ozu s'intéresse aux conflits entre les générations, au problème de l'obéissance et du respect dus aux parents dans une société en profonde mutation. Mais ses démonstrations ne sont jamais ...
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