Documents MALLET-STEVENS (ROBERT) 55 résultats

Dossier de presse de Robert Mallet-Stevens réalisé par la bibliothèque de l'ESA.
Dernière mise à jour le 7/3/2022
Robert Mallet-Stevens est entré à l'ESA en 1903 et sorti diplômé en 1906. Il a enseigné à l'ESA pendant les années scolaires 1922-1923 (partageant les "deuxième classe", élèves de deuxième année avec Tito Saubidet et Gaston Trélat ) et en 1923-1924 (partageant les troisième classe" soit les élèves entrants à l'école également avec Tito Saubidet et Gaston Trélat).

Le dossier comprend :
pdf : pages de la revue de l'Otua l'Acier de 1934 présentant des photographies noir et blanc de Mallet-Stevens
pdf : pages de la revue de l'Otua l'Acier de 1935 cabines de paquebot en acier
-Photocopies des pages de registres d'élèves où figure Mallet-Stevens comme diplômé de 1903 (pdf)
extrait p. 45 du registre des Anciens Elèves 1865-1945 FA N°E70122 cote : FA-A0-ESA 1865-1946
extrait p. 14 du registre des Eleves de l'Ecole Spéciale d'Architecture de 1890-1891 à 1936 et de 1945 à 1954-1955 FA N°E70120 Cote : FA-A0-ESA-1890-1955
Photocopies extraites de
la séance d'ouverture du 17 octobre 1907, s. la présidence de Armand Grébauval, N° 65948, p. 32, annonçant l'obtention du diplôme de Mallet-Stevens, classé 2e par décision du Conseil du 8 oct. 1906 (pdf) (Classeur des séances d'ouverture en Archives)
la séance d'ouverture du 15 octobre 1908 s. la présidence de Geoges Perrot, N°65952, annonçant l'obtention du certificat d'architecte salubriste à Mallet-Stevens (1er certificat intitulé et sujet du concours 1908 : Une maison de traitement médical et chirurgical), p. 31-le prix Alfred Durand-Claye 1908 à Mallet Stevens (pdf) (Classeur des séances d'ouverture en Archives)
Pages (format png) retraçant la scolarité à l'ESA de R. Mallet-Stevens extraits du registre d'inscription 1901-1903.

Notice biogr.
G.M., Mallet-Stevens, Dictionnaire de l'Architecture du XXe siècle, Hazan, 2002 p. 571-573
Les expositions de la célébration du centenaire en 1986, Centre Pompidou en 2005
Mallet-Stevens ou l'architecture « Art déco », Le Moniteur 26 sept. 1986
Edelmann Frédéric, Le centenaire de Robert Mallet-Stevens Mondanités et Modernité, Le Monde, jeudi 20 nov. 1986
Boissière Olivier L'exposition de Tours célèbre son centenaire Mallet-Stevens, du Charleston aux Bugatti, Le Matin 5 janvier 1987
Planches contact de l'exposition Mallet-Stevens à l'Ecole Spéciale d'Architecture, réalisées par le « Labo Audio » dossiers 1151 et 1157
Samoun Guy, Actualités Rob Mallet-Stevens 1886/desa : 1906-1945 exposition, Annuaire des Architectes DESA 87-88 p. 67-73.
Guenoun Elias, La ligne de Mallet-Stevens (1886-1945), D'Architectures N° 146, mai 2005, p. 18-19.
Centre Georges Pompidou, Communiqué de presse Robert Mallet-Stevens Architecte, 27 avril 29 aout 2005 Galerie 2 Niveau 6
L'oeuvre
Etudes critiques
Becheter Richard : Picturing Architecture Otherwise : the voguing of the Maison Mallet-Stevens, Association of Art Historians Art History, Vol. 23 N° 4 Nov. 2000, Oxford,Blackwell Publishers, 2000 pp. 559-598
Dossier Mallet-Stevens AMC 41mars 1977
Deshoulières Dominique, Jeanneau Hubert, Une traversée de l'architecture, p. 5-11
Gangnet Pierre, Le sentiment de nature chez Mallet-Stevens, p. 12-18
Cohen Jean-Louis, Mallet-Stevens et l'U.A.M. comment frapper les masses ? p. 19-22
Bonnefoi Christian, Le 10 de la rue Mallet-Stevens, p. 23-27
La Villa Noailles
Boissière Olivier, Du côté des Noailles, Beaux Arts N° 92, juil.-aout 1991, p. 86-91
Villa Cavrois
Michèle Leloup, La bataille de la villa Cavrois, L'Express, publié le 28/3/2002, consulté le 9/06/2008
Cazes Isabelle, Mallet-Stevens à l'abandon, D'Architectures N°37, juil.-aout 1993, p. 34-35
Association sauvegarde de la villa Cavrois revue de presse 2004
Rue Mallet-Stevens
Leroy-Jay Catherine, Chronique d'une rue menacée, architecture, N°42, déc. 1982, p. 12-16
Becherer Richard, Monumentality and the Rue Mallet-Stevens, Journal of the Society of Architectural Historians, vol.40, N°1 Mars 1981, 44-55 (consulté sur Jstor)[-]

"Ce cours traite des deux grandes tendances de l'architecture de l'entre-deux guerres, de la domination du régionalisme, jusqu'au milieu des années 20, et de la naissance du Mouvement moderne. (...) A la suite de deux expositions De Stijl, en 1923 et 1924, et surtout de celle des Arts décoratifs de 1925 qui fonde l'UAM, le Mouvement moderne se structure, en 1928, autour des CIAM." Source : ENSAPLV
Ce cours comporte 3 parties : la Reconstruction, les années 20, les années 30.[-]

Voici rassemblés pour la première fois tous les articles de Rob Mallet-Stevens écrits entre sa sortie de l'Ecole Spéciale d'Architecture à Paris en 1906 et le début de la guerre, fin juillet 1914.
Le jeune architecte commence par écrire dans une revue anglaise, puis dans des publications belges, françaises et autrichiennes. Ses premiers articles sont des reportages sur des édifices parisiens et des comptes rendus des salons d'art. (...) A travers ses écrits de jeunesse on découvre un plumitif prolixe, cosmopolite et doté d'un oeil critique dans la lignée de ses illustres ascendants, les frères Stevens et sa grand-mère l'écrivain Jeanne Thilda dont le salon parisien a marqué les lettres françaises. (4e de couv.)[-]

Architecte, décorateur, concepteur de meubles et de boutiques, d'aménagements intérieurs et de décors de cinéma, Robert Mallet-Stevens, en incarnant l'association de l'architecture et des arts appliqués en France, occupe une place à la fois emblématique et singulière dans l'histoire de l'architecture moderne. Il est l'auteur d'édifices majeurs, tels la villa Poiret à Mézy, la villa Noailles à Hyères, et la villa Cavrois à Croix ou tous les hôtels particuliers bordant la rue qui porte son nom à Paris, il fut aussi un infatigable animateur de la scène moderne.[-]

Catalogue d'exposition revisitant l'oeuvre de Prouvé sous l'angle de "la pensée technique" et situant, au fil de plus de cinquante articles rédigés par des spécialistes, le créateur dans ses relations avec les architectes et autres personnalités de son époque, analysant du point de vue de la structure et des matériaux ses réalisations publiques et privées dont les maisons usinées, étudiant le mode de production original lié aux Ateliers, proposant un regard sur le leg architectural de Prouvé et la fortune critique de son oeuvre. [-]

Présentation du travail du maître verrier Louis Barillet et de ses collaborateurs Jacques le Chevallier et Théodore-Gérard Hanssen, qui sont à l'origine du renouveau du vitrail civil et religieux en France dans les années 1920-1930. Réputé pour avoir introduit l'usage du vitrail blanc, l'atelier de Louis Barillet se situe à l'avant-garde des arts décoratifs et partage les idées du mouvement architectural moderne, en s'associant notamment avec Robert Mallet-Stevens.
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Étude de la villa Cavrois de 1925 à 2001, construite par Robert Mallet-Stevens pour l'industriel Paul Cavrois, à Croix (Nord) en 1932, et qui situe le contexte local de la commande, l'histoire de la conception et de l'édification, le processus d'inscription aux monuments historiques et ses aléas politico-administratifs. L'auteur relate les dégâts causé à partir de 1986 à la demeure, dont les meubles, les boiseries, les aménagements dessinés spécialement pour l'édifice ont été dispersés.

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Catalogue d'exposition sur l'oeuvre de Robert Mallet-Stevens, architecte majeur du mouvement moderne en France, fondateur de l'UAM. Essais et présentation de ses réalisations, comme ses participations à l'Exposition des arts décoratifs de 1925, à l'Exposition internationale des arts et techniques de 1937 et aux concours (musées d'art moderne du palais de Tokyo, aéroport du Bourget). De nombreux projets, dessins, aménagements intérieurs (bureau de Pierre Chareau), mobilier et décors pour le cinéma complètent le panorama de ce créateur complet.[-]

L'histoire de l'art du décor au cinéma, de Méliès aux images numériques, en passant par l'âge d'or des studios hollywoodiens, servie par une iconographie importante. L'auteur tente de cerner les mutations technologiques, esthétiques et l'identité de cet art, qui se nourrit notamment des réflexions théoriques et des avant-gardes architecturales. Le travail de quelques grands décorateurs (Alexandre Trauner, Bernard Evein, Dante Ferretti, Jacques Saulnier, Georges Wakhevitch) est mis en avant.
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Reportage photographique sur la célèbre demeure commandée en 1923 à Robert Mallet-Stevens par les Noailles, couple de jeunes mécènes, fervents partisans de la modernité. Longtemps abandonnée et à présent restaurée, elle servit de cadre en 1929 au "Mystère du Chateau du dé", film de Man Ray, et Luis Bunuel y écrivit le scénario de l'Age d'Or en 1930. Si le chantier fut suivi par l' architecte local Léon David, Mallet-Stevens s'assura le concours des artistes Djo-Bourgeois et Francis Jourdain, Pierre Chareau, Louis Barillet, Laurens et Lipchitz, Théo Van Doesburg et Gabriel Guévrékian auteur du jardin cubiste.[-]