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Documents HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE 276 résultats

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[Dossier] Grece |

Dossier


Cote : R83282
Regroupe notamment les recherches de deux chercheurs ayant cpnsulté les archives de l'ESA : Mme Helen Fessas Emmanouil. et Mr Vassilis Colonas : Architectes français et grecs formés en France à Thessaloniki de l'entre-deux-guerres.

GRECE ; 1900-1945 ; HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE

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Cote : V-DOC-GIT
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le célèbre cinéaste israélien Amos Gitai retourne à son premier amour : l'architecture. Fils de l'architecte Munio Weinraub, formé au Bauhaus, Amos Gitai est lui-même architecte de formation, titulaire d'un doctorat de l'Université de Berkeley. Dans chacun des 16 films de 23 mn qui composent la série Architectures en Israël / Conversations avec Amos Gitai, le cinéaste rencontre tour à tour architectes, sociologues, archéologues, chercheurs, écrivains, théologiens, et converse avec eux sur des thématiques architecturales et urbanistiques, à partir de l'histoire et de l'actualité de la Palestine et d'Israël – période ottomane, mandat britannique, habitat bédouin, architecture éclectique, brutaliste, moderne, extensions contemporaines, … Chaque épisode s'enrichit de matériaux d'archives – photos, plans, dessins d'architecture, … – qui illustrent de façon vivante et concrète la teneur de ces passionnantes conversations, et donnent aux propos tenus par les uns et les autres une dimension universelle.[-]
Dans le prolongement de son œuvre cinématographique, le célèbre cinéaste israélien Amos Gitai retourne à son premier amour : l'architecture. Fils de l'architecte Munio Weinraub, formé au Bauhaus, Amos Gitai est lui-même architecte de formation, titulaire d'un doctorat de l'Université de Berkeley. Dans chacun des 16 films de 23 mn qui composent la série Architectures en Israël / Conversations avec Amos Gitai, le cinéaste rencontre tour à tour ...[+]

ISRAEL ; HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; WEINRAUB GITAI (MUNIO) ; PALESTINE ; CONFLIT ; KIBBOUTZ ; HAIFA ; JERUSALEM ; IDENTITE CULTURELLE

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Cote : V-DOC-DON
Ce documentaire, commandé par le FRAC Centre et réalisé notamment à partir de ses collections, est consacré à l'architecture européenne des années 1950 aux années 1970 à travers les témoignages de ses principaux représenatnts et théoriciens : Guy Rottier (maison volante), Yona Friedman (ville spatiale), Claude Parent (fonction oblique), Antti Lovag (maison bulle), Michel Ragon (cofondateur du Groupe international d'architecture prospective en 1965), ou encore les membres d'Archigram, d'Archizoom et de Superstudio.[-]
Ce documentaire, commandé par le FRAC Centre et réalisé notamment à partir de ses collections, est consacré à l'architecture européenne des années 1950 aux années 1970 à travers les témoignages de ses principaux représenatnts et théoriciens : Guy Rottier (maison volante), Yona Friedman (ville spatiale), Claude Parent (fonction oblique), Antti Lovag (maison bulle), Michel Ragon (cofondateur du Groupe international d'architecture prospective en ...[+]

SUPERSTUDIO ; ARCHIGRAM ; ARCHIZOOM ; FRIEDMAN (YONA) ; PARENT (CLAUDE) ; UTOPIE ARCHITECTURALE ; HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE

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Cote : A-GAR
Le paysage urbain des villes médiévales se composait d'une grande variété d'édifices, adaptés à tous les besoins d'une société complexe, et relevant d'une pratique architecturale et d'une économie de la construction très élaborée. L'essentiel du tissu urbain était composé des logis des urbains, bourgeois, clercs et chevaliers : c'est cet habitat qu'entend rendre compte cette communication.

HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; MOYEN AGE ; ARCHITECTURE CIVILE ; ARCHITECTURE ROMANE ; ARCHITECTURE GOTHIQUE

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Cote : V-Cité Arc.P.-Cours Pub-2007-2008--MIG
Claude Mignot ouvre son exposé en précisant la terminologie associée à l'habitat aristocratique rural au Moyen Âge. À partir des termes de "maison forte", "maison plate", "manoir seigneurial", et "maison aux champs", qu'il définit à la fois par leur dimension juridique, spatiale et fiscale, mais aussi par leur caractérisation formelle (enclos, fossés, mur talus, colombier, etc...), l'historien montre la filiation de ces petits logis seigneuriaux avec le petit manoir ou la gentilhommière des XVIe et XVIIe siècles. Illustrant son propos de nombreux exemples (La Morinière, Le Plessis-Josso, Courboyer, Huismes...), Claude Mignot précise que la maison seigneuriale, le plus souvent fermée et flanquée de tours d'angle, occupant l'ensemble de sa plate-forme fossoyée, évolue ensuite vers une occupation du milieu de la parcelle sans être nécessairement fermée et sans autres éléments de défense qu'éventuellement ceux décoratifs, et vers une redistribution complète des fonctions des lieux et des circulations intérieures pour donner naissance à la maison de plaisance et au petit château du XIXe siècle.[-]
Claude Mignot ouvre son exposé en précisant la terminologie associée à l'habitat aristocratique rural au Moyen Âge. À partir des termes de "maison forte", "maison plate", "manoir seigneurial", et "maison aux champs", qu'il définit à la fois par leur dimension juridique, spatiale et fiscale, mais aussi par leur caractérisation formelle (enclos, fossés, mur talus, colombier, etc...), l'historien montre la filiation de ces petits logis seigneuriaux ...[+]

HABITAT ; MAISON FORTE ; MOYEN AGE ; RENAISSANCE ; CHATEAU ; HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE

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Cote : V-cité Arc.P.-Cours Pub.-2006-2007-MID
Depuis l'arrivée au pouvoir du roi Louis-Philippe en 1830 jusqu'à la deuxième Exposition universelle à Paris en 1867, la crise idéologique traversée par les architectes modifie les rapports entre architecture, art, science et industrie. La pensée des architectes progressistes se situe au coeur des travaux d'Henri Labrouste et d'Eugène Viollet-le-Duc ; l'activité critique de la jeune génération se manifeste dans la nouvelle série de la revue "La Gazette des Architectes et du Bâtiment", publiée à partir de 1863 sous la direction d'Anatole de Baudot, Edmond Corroyer et Viollet-le-Duc fils. Cette pensée s'exprime notamment dans le projet de la bibliothèque Sainte-Geneviève à Paris, la construction du grand séminaire de Rennes, la restauration de la basilique de Vézelay et de l'église Saint-Nazaire de Carcassonne, la reconstruction du château de Pierrefonds, et, d'une manière générale, dans le panorama de l'architecture française contemporaine visible lors de la confrontation internationale de 1867.[-]
Depuis l'arrivée au pouvoir du roi Louis-Philippe en 1830 jusqu'à la deuxième Exposition universelle à Paris en 1867, la crise idéologique traversée par les architectes modifie les rapports entre architecture, art, science et industrie. La pensée des architectes progressistes se situe au coeur des travaux d'Henri Labrouste et d'Eugène Viollet-le-Duc ; l'activité critique de la jeune génération se manifeste dans la nouvelle série de la revue "La ...[+]

HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; ANALYSE DE L'ARCHITECTURE ; RESTAURATION ; STRUCTURE METALLIQUE ; LABROUSTE (HENRI) ; VIOLLET-LE-DUC (EUGENE EMMANUEL) ; BIBLIOTHEQUE SAINTE-GENEVIEVE ; RENNES ; VEZELAY ; CARCASSONNE ; SENS ; CHATEAU DE PIERREFONDS

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Cote : V-Cité Arc.P.-Cours Pub-2007-2008--ADA
La remarquable diversité des programmes de l'architecture et des travaux publics des Romains ne doit pas faire oublier la réalisation la plus évidente de l'art de bâtir : la maison d'habitation ou, en d'autres termes, la domus. Dès que les Romains eurent maîtrisé les techniques de la maçonnerie et de la charpente, leurs résidences ont bénéficié d'une qualité structurelle égale et souvent supérieure à celle des maisons du monde grec. Mais c'est en fait grâce à l'héritage grec, dont ils se sont montrés les admirateurs sincères, que les Romains vont porter à un niveau étonnant le confort et le luxe décoratif découverts dans les demeures hellenistiques.
C'est à Pompéi que la visite de la maison romaine prend toute sa saveur, en raison de la préservation tragique mais remarquable de toute la ville, mais aussi - et c'est le double privilège accordé à notre curiosité par le Vésuve -, en raison de l'extrême richesse de la Campanie, ayant entraîné la richesse de cette ville et la qualité de son architecture.[-]
La remarquable diversité des programmes de l'architecture et des travaux publics des Romains ne doit pas faire oublier la réalisation la plus évidente de l'art de bâtir : la maison d'habitation ou, en d'autres termes, la domus. Dès que les Romains eurent maîtrisé les techniques de la maçonnerie et de la charpente, leurs résidences ont bénéficié d'une qualité structurelle égale et souvent supérieure à celle des maisons du monde grec. Mais c'est ...[+]

HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; ANTIQUITE ROMAINE ; VILLA ROMAINE ; POMPEI ; MAISON INDIVIDUELLE

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Cote : V-Cité Arc.P.-Cours Pub-2007-2008--TOU
Cette conférence retrace l'histoire des lieux de villégiature (maison de plaisance, villa ou hôtel des stations balnéaires ou thermales, pavillons de chasse en Sologne, châteaux et maisons de campagne avec parcs et jardins, lotissements de villégiatures dans les villes d'eaux ou les villes d'hiver,  villages de vacances...) et présente les types architecturaux qui les caractérisent.

HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; 19E SIECLE ; 20E SIECLE ; HABITAT RURAL ; DEMEURE HISTORIQUE ; RESIDENCE SECONDAIRE ; PITTORESQUE ; STATION BALNEAIRE ; LOISIR ; TOURISME ; BATIMENT HOTELIER ; VILLAGE DE VACANCES ; STATION THERMALE ; ARCHITECTURE REGIONALISTE ; MAISON RESIDENTIELLE

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Cote : V-Cité Arc.P.-Cours Pub-2007-2008--DRO
La maison de campagne ou  "maison de plaisance" est née de la demande et de l'engouement de l'aristocratie et de la bourgeoisie de finance pour un type d'habitation qui se démarque clairement de la tradition du château et correspondant à un mode de vie nouveau privilègiant le confort et l'intimité. Sous ce terme de "maison de plaisance" viennent se ranger des types de constructions très différents allant de la "folie" située dans les faubourgs de Paris ou d'une grande ville du royaume (Bordeaux, Montpellier, Saint-Malo...) à des bâtiments dont l'ampleur et la mise en scène rappelllent bien des traits distintifs du château. Cette conférence présente l'évolution de ce type architectural, au cours du XVIIIe siècle[-]
La maison de campagne ou  "maison de plaisance" est née de la demande et de l'engouement de l'aristocratie et de la bourgeoisie de finance pour un type d'habitation qui se démarque clairement de la tradition du château et correspondant à un mode de vie nouveau privilègiant le confort et l'intimité. Sous ce terme de "maison de plaisance" viennent se ranger des types de constructions très différents allant de la "folie" située dans les faubourgs ...[+]

HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; 18E SIECLE ; PALLADIANISME ; LEDOUX (CLAUDE NICOLAS) ; BELANGER (FRANCOIS-JOSEPH) ; DEMEURE HISTORIQUE ; FOLIE ; CHATEAU ; MAISON RESIDENTIELLE ; RESIDENCE SECONDAIRE

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Cote : V-Cité Arc.P.-Cours Pub-2007-2008--LEC
Daniel Le Couédic, architecte, docteur en histoire, travaille sur l'architecture et l'histoire des idées, l'architecture facteur de l'histoire des idées. Le régionalisme ou plutôt les régionalismes - ou architectures qui entendent tirer leur substance des contextes qui les accueillent - sont une des tendances les plus fortes et productives du XXè siècle, connaissent un retour dans l'actualité ces dernières années, ont été et sont au coeur de débats d'idées de l'Amérique du Nord aux confins orientaux de l'Europe : courants nationalistes, courants hédonistes, stratégies politiques avec présupposés idéologiques et instrumentalisations, demandes populaires, réticences des intellectuels ... On constate que les Régionalismes prospèrent quand le Mouvement Moderne connaît des paliers critiques, une confrontation permanente entre ces deux courants de pensée architecturale, leur coexistence ou la prééminence de l'un sur l'autre selon les époques et les lieux : on a ainsi pu parler de  new regionalism avec Giedion dans les années 40, d'architecture régionaliste dans les années 50 avec F. L. Wright, d'un mouvement néo-vernaculaire dans les années 60 avec Venturi aux USA ; de post-modernisme en France face à "la modernité un projet inachevé" de P. Chemetov,  de new urbanism toujours en France (Port-Grimaud, 1963-1966) ; puis de l'architecture générique de Rem Koolhaas et/ou d'architectures spécifiques de Jean Nouvel, du régionalisme critique de Frampton en 1983-84 et enfin de néo-modernisme français dans les années 90. Daniel Le Couédic conclut avec Vladimir Jankélévitch, philosophe de l'irréversible et de la nostalgie, que "le régionalisme fut et demeure moderne". [-]
Daniel Le Couédic, architecte, docteur en histoire, travaille sur l'architecture et l'histoire des idées, l'architecture facteur de l'histoire des idées. Le régionalisme ou plutôt les régionalismes - ou architectures qui entendent tirer leur substance des contextes qui les accueillent - sont une des tendances les plus fortes et productives du XXè siècle, connaissent un retour dans l'actualité ces dernières années, ont été et sont au coeur de ...[+]

HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; ARCHITECTURE REGIONALISTE ; PITTORESQUE ; ARCHITECTURE VERNACULAIRE ; FONCTIONNALISME ; MOUVEMENT MODERNE

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Cote : V-Cité Arc.P.-Cours Pub-2007-2008--RAM
Tenir compte des mutations familiales et professionnelles, tel est l'enjeu de l'habitat aux prises avec les grandes transformations de la ville contemporaine.Beaucoup de chemin a été parcouru depuis le modèle haussmannien et le concept corbuséen de la machine à habiter. Depuis " Nemausus ", opération emblématique d'habitat social des années 80, le logement, matière essentielle de la ville, aurait tendance à renouer avec la notion de " laboratoire d'architecture " ; l'idée est d'explorer de nouveaux modes de vie en phase avec de nouvelles pratiques de la ville. Si la rénovation urbaine implique de requestionner l'architecture des 30 glorieuses, l'ère est à la mixité des programmes et des populations. D'autre part, le sacro-saint "développement durable "a pris une place importante sur l'agenda du logement, à l'échelle de la maison, comme de l'immeuble collectif.[-]
Tenir compte des mutations familiales et professionnelles, tel est l'enjeu de l'habitat aux prises avec les grandes transformations de la ville contemporaine.Beaucoup de chemin a été parcouru depuis le modèle haussmannien et le concept corbuséen de la machine à habiter. Depuis " Nemausus ", opération emblématique d'habitat social des années 80, le logement, matière essentielle de la ville, aurait tendance à renouer avec la notion de " l...[+]

HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; NEMAUSUS ; DEVELOPPEMENT DURABLE ; BATIMENT D'HABITATION COLLECTIF ; LOGEMENT SOCIAL ; MIXITE URBAINE

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Cote : V-Cité Arc.P.-Cours Pub-2007-2008--DAR
L'immeuble haussmannien est aujourd'hui une catégorie de la promotion immobilière. L'adjectif pourrait suggérer qu'il s'agit de bâtiments édifiés dans les années 1850-1870. Or, les immeubles ainsi désignés ont été construits avant l'avènement du Second Empire et bien après la chute de ce régime. L'immeuble haussmannien évoque des matériaux (pierre de taille), des éléments de décor (moulures), des éléments de confort (cheminées) et d'agrément (balcons) ainsi qu'un agencement intérieur (grandes pièces en enfilade). Or, à y regarder de plus près, ces immeubles sont très variés du point de vue distributif et stylistique puisqu'ils ont été construits pendant un siècle, dans des quartiers très différents, pour un large éventail de clientèle, lors d'opérations qui vont de la substitution du bâti au lotissement, en passant par le percement. Cette catégorie d'immeubles d'appartements est bien spécifique et reste emblématique du paysage urbain légué par le XIXe siècle.[-]
L'immeuble haussmannien est aujourd'hui une catégorie de la promotion immobilière. L'adjectif pourrait suggérer qu'il s'agit de bâtiments édifiés dans les années 1850-1870. Or, les immeubles ainsi désignés ont été construits avant l'avènement du Second Empire et bien après la chute de ce régime. L'immeuble haussmannien évoque des matériaux (pierre de taille), des éléments de décor (moulures), des éléments de confort (cheminées) et d'agrément ...[+]

HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; IMMEUBLE DE RAPPORT ; HAUSSMANN (GEORGES EUGENE, BARON) ; HISTOIRE DE L'URBANISME ; LOTISSEMENT

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Cote : V-Cité Arc.P.-Cours Pub-2007-2008--ROU
1953-1973 : la période voit se succéder trois stratégies pour reconstruire une théorie de l'architecture et de la ville sur les décombres de la médiocrité bâtie largement produite par le fonctionnalisme moderne. Refusant la posture avant-gardiste, la parole anthropologique des architectes du Team Ten propose une adéquation de l'architecture à la société " telle qu'elle est " : l'habitation se pense alors à partir d'un individu réel, multiculturel et " incertain", communiquant et consommant, dont la sociologie contemporaine cherche encore à cerner l'identité. L'urbanisme relationnel qui s'y définit réintroduit la ville existante, oubliée dans la filière de la pensée progressiste qui marque encore l'approche. La perte de confi ance des architectes face au développement urbain et à la disparition supposée de " la ville ", tout comme la prétention à dépasser le fonctionnalisme sociologique du Team Ten, produira les projets de mégastructures : des hybrides colossaux intercontinentaux qui règlent d'un seul geste l'architecture, la ville et l'infrastructure. Ultime expression démiurgique de l'architecte, la mégastructure a néanmoins parfaitement saisi les enjeux de la ville contemporaine, proposant l'urbanisation en nappe contre le zoning, la transformation du territoire en un intérieur aménagé qui tient lieu d'habitat, l'invention d'une ville interactive. Enfin, dans ses excès, la mégastructure donne prise à une critique " radicale " qui oppose à son positivisme la distanciation d'une utopie négative. La contre utopie radicale transforme le projet en une narration, fait passer l'architecture jusque-là conçue en terme de progrès social et de bonheur humain à une architecture de la révélation du monde existant et à la fiction d'autres façons d'habiter le monde : une " superarchitecture ".[-]
1953-1973 : la période voit se succéder trois stratégies pour reconstruire une théorie de l'architecture et de la ville sur les décombres de la médiocrité bâtie largement produite par le fonctionnalisme moderne. Refusant la posture avant-gardiste, la parole anthropologique des architectes du Team Ten propose une adéquation de l'architecture à la société " telle qu'elle est " : l'habitation se pense alors à partir d'un individu réel, mul...[+]

TEAM TEN ; HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; UTOPIE ARCHITECTURALE ; UTOPIE URBAINE ; ARCHITECTURE RADICALE

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Cote : V-Cité Arc.P.-Cours Pub-2007-2008--GAD
Associé dans l'esprit public à l'Époque moderne malgré des origines médiévales, l'hôtel particulier constitue un objet architectural fascinant, associant architecture savante, distribution complexe et faste du décor.Fruit d'un étroit dialogue entre le maître d'ouvrage et son architecte, l'hôtel particulier est ainsi le lieu d'une démonstration à la fois sociale, architecturale et artistique. Son histoire permet également d'évoquer les transformations urbaines de l'Ancien Régime, auquel il participe lors des opérations de lotissements. Envisagée sur un temps long, de la Renaissance à la fi n de l'âge néoclassique, l'analyse des hôtels français, dont Paris constitue le centre rayonnant par son prestige, mettra en relief les modes d'habitation d'une élite mêlée (noblesse d'épée et de robe, banquiers, hommes et femmes " du monde ") et les raffinements des appartements dans leur fonctionnement comme dans leurs décors. Enfin, dans leur rapport à la ville, à travers jardins et annexes, les hôtels particuliers doivent être appréhendés comme une entité complexe et autonome.[-]
Associé dans l'esprit public à l'Époque moderne malgré des origines médiévales, l'hôtel particulier constitue un objet architectural fascinant, associant architecture savante, distribution complexe et faste du décor.Fruit d'un étroit dialogue entre le maître d'ouvrage et son architecte, l'hôtel particulier est ainsi le lieu d'une démonstration à la fois sociale, architecturale et artistique. Son histoire permet également d'évoquer les t...[+]

HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; HOTEL PARTICULIER ; DEMEURE HISTORIQUE ; RENAISSANCE ; ARCHITECTURE CLASSIQUE ; ARCHITECTURE NEOCLASSIQUE ; ROCOCO ; ARCHITECTURE BAROQUE

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Cote : V-Cité Arc.P.-Cours Pub-2007-2008--GAD
Associé dans l'esprit public à l'Époque moderne malgré des origines médiévales, l'hôtel particulier constitue un objet architectural fascinant, associant architecture savante, distribution complexe et faste du décor. Fruit d'un étroit dialogue entre le maître d'ouvrage et son architecte, l'hôtel particulier est ainsi le lieu d'une démonstration à la fois sociale, architecturale et artistique. Son histoire permet également d'évoquer les transformations urbaines de l'Ancien Régime, auquel il participe lors des opérations de lotissements. Envisagée sur un temps long, de la Renaissance à la fi n de l'âge néoclassique, l'analyse des hôtels français, dont Paris constitue le centre rayonnant par son prestige, mettra en relief les modes d'habitation d'une élite mêlée (noblesse d'épée et de robe, banquiers, hommes et femmes " du monde ") et les raffinements des appartements dans leur fonctionnement comme dans leurs décors. Enfin, dans leur rapport à la ville, à travers jardins et annexes, les hôtels particuliers doivent être appréhendés comme une entité complexe et autonome.[-]
Associé dans l'esprit public à l'Époque moderne malgré des origines médiévales, l'hôtel particulier constitue un objet architectural fascinant, associant architecture savante, distribution complexe et faste du décor. Fruit d'un étroit dialogue entre le maître d'ouvrage et son architecte, l'hôtel particulier est ainsi le lieu d'une démonstration à la fois sociale, architecturale et artistique. Son histoire permet également d'évoquer les ...[+]

HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; HOTEL PARTICULIER ; DEMEURE HISTORIQUE ; RENAISSANCE ; ARCHITECTURE CLASSIQUE ; ARCHITECTURE NEOCLASSIQUE ; ROCOCO ; ARCHITECTURE BAROQUE

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Cote : V-Cité Arc.P.-Cours Pub-2007-2008--CHA
Monique Chatenet, conservateur en chef du patrimoine, professeur à l'Université de Paris IV Sorbonne et à l'Ecole du Louvre, expose les facettes du passage du château fort au château moderne. L'habitation prend le pas sur la fortification comme l'illustrent les grands châteaux des frères de Charles V : Mehun-sur-Yèvre de Jean de  Berry et Saumur de Louis d'Anjou ou bien la luxuriance de la cheminée du Palais de Poitiers. Les éléments défensifs deviennent décoratifs comme au logis ducal de Loches ou invisibles comme les baies de tir percées au niveau des caves dans le château d'Ancy-le-Franc. La tour, souvent conservée pour sa valeur juridique, devient une tour-logis à Vincennes, Septmonts, Bassoues ou Anjony. A Chambord, François Ier donne des proportions royales au donjon-logis cantonné de tours et développé en largeur. Les pavillons d'angle remplacent les tourelles d'angle et bornent quatre corps de logis comme à Ecouen. Au château de Plessis-Bourré, la cour s'agrandit et les corps de logis s'abaissent pour faire entrer la lumière et s'ouvrent sur le paysage. Cette ouverture se traduit également par l'aménagement de terrasses, véritables promenoirs pour admirer les jardins comme à Amboise ou à Fontainebleau pour profiter des vues sur l'étang : le paysage et les vues dictent désormais l'organisation du château. Bien que les châteaux français procèdent souvent par adjonctions successives, l'introduction des commodités des dedans s'accompagne de la symétrie des dehors : régularité des plans, élévations ordonnancées et ajout d'un portail d'entrée. La rupture entre le château Renaissance et le château moderne intervient durant le règne d'Henri III à la fin du XVIème et au début du XVIIème siècle.[-]
Monique Chatenet, conservateur en chef du patrimoine, professeur à l'Université de Paris IV Sorbonne et à l'Ecole du Louvre, expose les facettes du passage du château fort au château moderne. L'habitation prend le pas sur la fortification comme l'illustrent les grands châteaux des frères de Charles V : Mehun-sur-Yèvre de Jean de  Berry et Saumur de Louis d'Anjou ou bien la luxuriance de la cheminée du Palais de Poitiers. Les éléments défensifs ...[+]

HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; DEMEURE HISTORIQUE ; CHATEAU FORT ; CHATEAU ; RENAISSANCE ; ANDROUET DU CERCEAU (JACQUES) ; BOFFRAND (GERMAIN) ; MONUMENT HISTORIQUE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; ORGANISATION DE L'ESPACE INTERIEUR ; PLAN DE JARDIN

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Cote : V-Cité Arc.P.-Cours Pub-2007-2008--ARC
L'architecture domestique et son développement en Gaule, jusqu'à la conquête romaine, sur les rivages méditerranéens : des premières agglomérations des VIe et Ve siècles av. J.-C. (Martigues, Sigean, Lattes, Montlaurès...) aux oppida du IIe ou tout début du Ier siècle av. J.-C. (Nages, Entremont...). Un parcours qui permet de comprendre les choix architecturaux et organisationnels développés pour répondre aux besoins sociaux de communautés alors en profondes mutations politiques et économiques.[-]
L'architecture domestique et son développement en Gaule, jusqu'à la conquête romaine, sur les rivages méditerranéens : des premières agglomérations des VIe et Ve siècles av. J.-C. (Martigues, Sigean, Lattes, Montlaurès...) aux oppida du IIe ou tout début du Ier siècle av. J.-C. (Nages, Entremont...). Un parcours qui permet de comprendre les choix architecturaux et organisationnels développés pour répondre aux besoins sociaux de communautés alors ...[+]

HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; HISTOIRE DE L'URBANISME ; ANTIQUITE ; HABITAT RURAL ; VILLAGE ; VILLE

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Cote : V-Cité Arc.P.-Cours Pub-2007-2008--CHA
Pour Monique Chatenet, conservateur en chef du patrimoine, l'historien de l'architecture moderne se doit, et notamment pour rendre compte de la réputation de "faiseurs d'appartements" des architectes français, d'étudier non seulement les ordonnances extérieures mais également l'intérieur des grandes demeures françaises, afin de contribuer à l'écriture de l'histoire : car entre une société, une manière d'habiter et la distribution intérieure d'une maison, il y a un lien que les historiens ne peuvent pas voir et réciproquement, la connaissance d'une société à une époque donnée permet de comprendre pourquoi évolue l'architecture à l'intérieur et par conséquent à l'extérieur de la demeure. Après une description dans le temps des "dedans" et des "dehors" - de la totale liberté pour concevoir l'extérieur et une organisation intérieure souvent liée au meuble à la généralisation de la symétrie dans l'ensemble de la construction, intérieur et extérieur (château de Vaux-le-Vicomte) - sont analysés en premier lieu, les lignes directrices de cette évolution de la distribution intérieure - nombre, dimension des pièces, fonction des différents étages ...- et en second lieu, les liens entre distribution intérieure et manière d'habiter, la fonction attribuée aux pièces entraînant la situation de ces pièces  à l'intérieur de l'ensemble de la distribution de la demeure - de la chambre de parement à l'appartement de parade, antichambres, puis appartement de parade et appartement de commodité et enfin disparition de cet appartement de parade au profit de petits appartements de compagnie et de commodité.[-]
Pour Monique Chatenet, conservateur en chef du patrimoine, l'historien de l'architecture moderne se doit, et notamment pour rendre compte de la réputation de "faiseurs d'appartements" des architectes français, d'étudier non seulement les ordonnances extérieures mais également l'intérieur des grandes demeures françaises, afin de contribuer à l'écriture de l'histoire : car entre une société, une manière d'habiter et la distribution intérieure ...[+]

HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; ANALYSE DE L'ARCHITECTURE ; HOTEL PARTICULIER ; APPARTEMENT ; ORGANISATION DE L'ESPACE INTERIEUR ; CIRCULATION INTERIEURE ; CHATEAU ; DEMEURE HISTORIQUE ; HABITAT ; LOGEMENT ; MAISON RESIDENTIELLE ; PALAIS ; PIECE DE L'HABITATION ; ORGANISATION SPATIALE ; RENAISSANCE

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Cote : V-Cité Arc.P.-Cours Pub-2007-2008--PER
La période des Temps modernes (XVIe-XVIIIe siècles) est illustrée par une évolution radicale et relativement rapide des demeures de campagne : le château perd ses fortifications et se mue en maison de plaisance et l'habitat populaire, de cabane devient maison. Ces transformations ne sont cependant que l'effet sur l'architecture de bouleversements politiques et sociaux : l'étatisation des fonctions de défense, la promotion des " fermiers ", fermiers généraux et fermiers ruraux et, d'une manière générale, les changements de la société. C'est dans la transformation des demeures des villes - transformation en grande partie technique et fonctionnelle - que s'est constituée la modernité et même la spécificité de la manière française de bâtir. Ce progrès, lent et laborieux, ne peut être observé dans tout son développement qu'en faisant des incursions dans la " proto-renaissance " du XIVe siècle et en allant jusqu'à la révolution industrielle, plus décisive en ce domaine que la révolution politique.[-]
La période des Temps modernes (XVIe-XVIIIe siècles) est illustrée par une évolution radicale et relativement rapide des demeures de campagne : le château perd ses fortifications et se mue en maison de plaisance et l'habitat populaire, de cabane devient maison. Ces transformations ne sont cependant que l'effet sur l'architecture de bouleversements politiques et sociaux : l'étatisation des fonctions de défense, la promotion des " fermiers ", ...[+]

HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; RENAISSANCE ; MAISON URBAINE ; HOTEL PARTICULIER ; ARCHITECTURE CIVILE

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Cote : V-Cité Arc.P.-Cours Pub-2007-2008--MEI
La demeure noble en milieu rural fait l'objet d'une évolution permanente de l'An mil jusqu'à la Renaissance, comme en témoignent les nombreux exemples de manoirs et châteaux pris dans les campagnes anglaises et françaises.Tour, salle et chambre sont les éléments fondamentaux pour la compréhension du fonctionnement de la demeure, de la place de la noblesse dans la société, ainsi que celle de l'administration du domaine et des autres fonctions seigneuriales. Cette communication explore les similitudes et les différences des deux côtés de La Manche, en Angleterre et dans le grand Ouest français[-]
La demeure noble en milieu rural fait l'objet d'une évolution permanente de l'An mil jusqu'à la Renaissance, comme en témoignent les nombreux exemples de manoirs et châteaux pris dans les campagnes anglaises et françaises.Tour, salle et chambre sont les éléments fondamentaux pour la compréhension du fonctionnement de la demeure, de la place de la noblesse dans la société, ainsi que celle de l'administration du domaine et des autres fonctions ...[+]

HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; MOYEN AGE ; ARCHITECTURE RURALE ; ARCHITECTURE CIVILE ; ARCHITECTURE ROMANE ; MAISON FORTE ; CHATEAU ; DEMEURE HISTORIQUE

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