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Traits Urbains - 149/150 | Traits Urbains 23/04/2025 H

Sommaire de revue

- n° 149/150 - 114 p.
L'immobilier est à un moment charnière. Dans cette édition, à l'occasion du Mipim (du 11 au 14 mars à Cannes), nous y consacrons deux dossiers : l'un sur les « sols », terme désormais presque aussi souvent utilisé dans les projets urbains que celui de « foncier » et qui évoque l'amplitude des services rendus par cet élément clé de notre environnement, bien au-delà de la fonction de support du bâti. L'autre sur l'immobilier post-crise, ou plutôt un immobilier de demain qui, pour paraphraser l'urbaniste Sylvain Grisot, ne retournerait pas au business as usual mais accepterait de se confronter à un changement des pratiques. Comme l'expriment les praticiens et experts interrogés dans ce double dossier, les nécessaires et fortes évolutions sont bien identifiées : recyclage urbain, densité sous diverses formes, mixité des usages, réversibilité, végétalisation, etc. Il reste à sortir vraiment de l'expérimentation et à passer de la « démonstration » à la banalisation, ce qui n'est pas un mince défi.Autre défi, relancer la production de logements tout en limitant l'artificialisation des sols. Des collectivités telles que Nantes Métropole s'y sont attelées avec volontarisme. Une stratégie illustrée dans notre focus territoires (p. 50) et qui alimentera les débats du prochain Forum des Projets Urbains du Grand Ouest, le 20 mars à Nantes.[-]
L'immobilier est à un moment charnière. Dans cette édition, à l'occasion du Mipim (du 11 au 14 mars à Cannes), nous y consacrons deux dossiers : l'un sur les « sols », terme désormais presque aussi souvent utilisé dans les projets urbains que celui de « foncier » et qui évoque l'amplitude des services rendus par cet élément clé de notre environnement, bien au-delà de la fonction de support du bâti. L'autre sur l'immobilier post-crise, ou plutôt ...[+]

PROFESSION DE L'IMMOBILIER ; ANALYSE URBAINE ; URBANISME

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- n° 147/148 - 100 p.
Quelle meilleure façon de commencer l'année qu'en se ressourçant à la lecture des 100 profils qui composent cette édition spéciale? Celles et ceux qui conçoivent et mettent en œuvre les transformations urbaines et territoriales sont confronté.e.s à des défis lourds, le contexte est pour le moins pesant; et pourtant ces portraits dégagent beaucoup d'énergie et d'enthousiasme. Les 100 qui font la ville, dans toute leur diversité professionnelle et générationnelle, sont mu.e.s par l'envie de créer du lien, de fédérer, de décloisonner. Ils et elles abordent une multiplicité d'échelles et d'usages. Les méthodes et les concepts exposés vont dans le sens d'une déstandardisation des formes et des fonctions urbaines. Les sujets abordés - décarbonation, désartificialisation, renaturation, réhabilitation...-, illustrent une montée générale en compétence dans la lutte contre le réchauffement et pour l'adaptation. Ils et elles parlent de nouveaux modèles. de politiques soutenables, et saluent une période stimulante professionnellement.
Traits urbains vous souhaite, donc, beaucoup d'énergie et d'enthousiasme pour cette année 2025.[-]
Quelle meilleure façon de commencer l'année qu'en se ressourçant à la lecture des 100 profils qui composent cette édition spéciale? Celles et ceux qui conçoivent et mettent en œuvre les transformations urbaines et territoriales sont confronté.e.s à des défis lourds, le contexte est pour le moins pesant; et pourtant ces portraits dégagent beaucoup d'énergie et d'enthousiasme. Les 100 qui font la ville, dans toute leur diversité professionnelle et ...[+]

VILLE ; URBANISME

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- n° 322 - 100 p.
Moins de construction, plus d'architecture.Qui aurait imaginé à l'aube du XXIe siècle que ce soient les architectes eux-mêmes qui prôneraient un jour l'arrêt des constructions comme remède ultime à l'effondrement des ressources et à la crise climatique ? Mais soyons plus précis : il s'agit moins de ne plus construire que d'arrêter de détruire des terres encore non artificialisées ou des bâtiments existants pour ériger des bâtiments neufs. Précisons également que cette injonction s'adresse d'abord aux régions du monde dont la démographie est relativement stable : les pays riches. Certes, la France subit elle aussi une forme de crise du logement, mais contrairement à ce que tentent désespérément de nous faire croire les lobbies du BTP et de l'immobilier, la pénurie – réelle – d'habitations immédiatement disponibles est due à d'autres facteurs : une mauvaise répartition territoriale due à l'hyper-métropolisation, et à la vacance ou à la sous-occupation de trop nombreux logements.Un temps, nous avons cru qu'en passant aux matériaux biosourcés et aux énergies renouvelables nous pourrions continuer comme avant. Or, si le développement de leur usage s'impose comme un impératif majeur, on sait maintenant qu'il ne suffira pas, loin de là, à décarboner suffisamment. Alors que faire ? Sommes-nous condamnés à nous entasser dans des appartements communautaires ? à dresser des yourtes ? à attendre une meilleure répartition territoriale des activités économiques – et donc de l'offre de logements –, c'est-à-dire au minimum plusieurs décennies ? Les architectes vont-ils devenir inutiles ?Non, au contraire ; cette révolution peut être une formidable opportunité pour refonder et légitimer le rôle de l'architecture et pour rendre nos paysages urbains et ruraux plus beaux et plus habitables. Car il ne s'agit pas de ne rien faire, il s'agit de faire autrement, en privilégiant la transformation du patrimoine existant, surtout le plus ordinaire. À l'opposé des bâtiments qui naissent comme des clones sur les pseudo-écoquartiers de nos banlieues et que l'intelligence artificielle peut déjà concevoir sans les architectes, la régénération de l'existant exige un immense savoir-faire et une stratégie contextuelle fine propre à chaque cas : la capacité d'établir un diagnostic savant et précis, autant en termes techniques qu'humains, et l'intelligence d'adaptation de la conception à la livraison du projet. Enquêter, dialoguer, projeter, s'adapter : qui d'autre que l'architecte serait mieux à même d'orchestrer ces compétences ? Mais la mise en œuvre de ces savoirs dans l'existant exige, à mètre carré égal, beaucoup plus de temps d'étude. Or, les budgets au mètre carré de ces opérations sont souvent inférieurs. Cet engagement vertueux – dans la mesure où il épargne le coût des démolitions et conduit à consommer moins de ressources – ne devrait-il donc pas être rémunéré à l'aune des économies qu'il génère ? Arrêter de construire pourrait ainsi paradoxalement offrir plus de travail aux ingénieurs et aux architectes : déconsommation n'est pas forcément décroissance. Faisons de l'intelligence architecturale l'une des plus puissantes énergies renouvelables.[-]
Moins de construction, plus d'architecture.Qui aurait imaginé à l'aube du XXIe siècle que ce soient les architectes eux-mêmes qui prôneraient un jour l'arrêt des constructions comme remède ultime à l'effondrement des ressources et à la crise climatique ? Mais soyons plus précis : il s'agit moins de ne plus construire que d'arrêter de détruire des terres encore non artificialisées ou des bâtiments existants pour ériger des bâtiments neufs. ...[+]

CONSTRUCTION ; URBANISME ; TECHNIQUE

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- n° 193 - 248 p.
Ce numéro interroge la manière dont sont vécues les mutations sociales et spatiales, programmées ou non, par des enfants, adolescent-e-s et jeunes adultes dont le quartier ou le cadre de vie se transforme à différentes échelles, à différents degrés (du micro-aménagement au renouvellement urbain) et selon différentes temporalités. L'expérience de ces transformations est souvent ambivalente, du fait du contexte urbain, de l'opération et de la position sociale des enquêté-e-s. Ce faisant, le numéro interroge aussi les effets de ces changements urbains sur la socialisation de la jeunesse, sur ses pratiques et sociabilités, souvent contraintes par les adultes, sur les modalités d'appropriation et les manifestations de nostalgie. Enfin, ces transformations sont aussi abordées par le prisme des inégalités sociales, d'âge ou de genre, et par la façon dont des aménagements peuvent reproduire des inégalités ou en faire émerger de nouvelles, qu'elles soient dans les pratiques-même de l'espace ou dans la prise en compte et la participation à son aménagement.[-]
Ce numéro interroge la manière dont sont vécues les mutations sociales et spatiales, programmées ou non, par des enfants, adolescent-e-s et jeunes adultes dont le quartier ou le cadre de vie se transforme à différentes échelles, à différents degrés (du micro-aménagement au renouvellement urbain) et selon différentes temporalités. L'expérience de ces transformations est souvent ambivalente, du fait du contexte urbain, de l'opération et de la ...[+]

SOCIALISME ; JEUNE ; URBANISME ; URBANISATION

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Urbanisme Revue - N°440 Nov- Dec 2024 | Urbanisme Revue 28/11/2024 H

Sommaire de revue

- n° N°440 - 98 p.
C'est un truisme : les jeunes adultes de 2023 ne vivent pas comme ceux de 2020, qui eux-mêmes ne vivaient pas comme ceux de 1980. Mais ces évolutions récentes de la sphère sociale, familiale, professionnelle, relationnelle, n'ont-elles pas eu plus d'incidences sur les modes de vies, d'habiter, de consommer etc que les précédentes ?En 2050, les plus de 65 ans représenteront près de 30% de la population, contre 1/5ème en 2020. Mais l'augmentation de l'espérance de vie pose des questions fondamentales relatives aux aptitudes...[-]
C'est un truisme : les jeunes adultes de 2023 ne vivent pas comme ceux de 2020, qui eux-mêmes ne vivaient pas comme ceux de 1980. Mais ces évolutions récentes de la sphère sociale, familiale, professionnelle, relationnelle, n'ont-elles pas eu plus d'incidences sur les modes de vies, d'habiter, de consommer etc que les précédentes ?En 2050, les plus de 65 ans représenteront près de 30% de la population, contre 1/5ème en 2020. Mais l'augmentation ...[+]

URBANISME ; VILLE ; BATIMENT PUBLIC ; ESPACE PUBLIC

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Urbanisme Revue - Spécial N°5 Nov. 2024 | Urbanisme Revue 28/11/2024 H

Sommaire de revue

- n° N°5 - 54 p.
Ce numéro spécial de la revue Urbanisme, réalisé en partenariat avec le ministère de la Transition écologique, de l'Énergie, du Climat et de la Prévention des risques, présente le lauréat : le plan de paysage du SCoT de l'agglomération messine (SCoTAM) ; avec une mention spéciale au projet de rénovation urbaine du quartier Louvois, à Vélizy-Villacoublay (Yvelines), et deux autres projets finalistes.

Il propose également un tour d'actualité du paysage au travers d'entretiens avec Henri Bava, président de la Fédération française du paysage (FFP), Grégoire Bassinet, président de l'Association des paysagistes-conseils de l'État (APCE) et Alessia Lefébure, directrice de l'Institut Agro Rennes-Angers, et d'articles sur la nouvelle génération d'atlas de paysages, ainsi que les travaux des chaires Paysage et Énergie, de l'École nationale supérieure de paysage de Versailles, et
Territorialisation, de l'École nationale supérieure d'architecture de l'université de Grenoble.[-]
Ce numéro spécial de la revue Urbanisme, réalisé en partenariat avec le ministère de la Transition écologique, de l'Énergie, du Climat et de la Prévention des risques, présente le lauréat : le plan de paysage du SCoT de l'agglomération messine (SCoTAM) ; avec une mention spéciale au projet de rénovation urbaine du quartier Louvois, à Vélizy-Villacoublay (Yvelines), et deux autres projets finalistes.

Il propose également un tour d'actualité du ...[+]

ECOLOGIE ; TRANSITION ECOLOGIQUE ; URBANISME ; RENOVATION URBAINE ; PAYSAGE ; CLIMAT

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- n° 2024-- - 108
The Versatility of Timber Construction

From residential estates and office complexes to an observation tower and an Olympic milestone in Paris, this issue showcases the versatility of timber construction through seven exemplary projects, each documented in depth with our focus on construction details.

In Paris, Mobile Architectural Office has completed an elegant social housing project that fills a corner plot near Gare de L'Est, with a street-facing facade of cross laminated timber (CLT) clad in white corrugated panels. Meanwhile, the Start-UP business incubator in Heilbronn's Neckaruferpark, designed by Waechter + Waechter, stands out with its exposed V-column glulam frame. In Riehen near Basel, Studio Gugger has infused a modular residential complex of four buildings with an idyllic dark red hue – evoking Sweden's iconic red houses. And in Kristiansand at the southern tip of Norway, the Oslotre team has designed a distinctive commercial and office building featuring a facade of curved green pine elements. Our Technology section examines the Olympic Aquatics Centre in Paris, an exceptional timber structure by Schlaich Bergermann Partner. Its suspended roof spans nearly 90 metres over the pool – a record worthy of the Games.[-]
The Versatility of Timber Construction

From residential estates and office complexes to an observation tower and an Olympic milestone in Paris, this issue showcases the versatility of timber construction through seven exemplary projects, each documented in depth with our focus on construction details.

In Paris, Mobile Architectural Office has completed an elegant social housing project that fills a corner plot near Gare de L'Est, with a ...[+]

DENSITE RESIDENTIELLE ; BATIMENT DE BUREAUX ; JEUX OLYMPIQUES ; REHABILITATION URBAINE ; CONSTRUCTION ; LOGEMENT ; URBANISME ; DETAIL DE CONSTRUCTION

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- n° -2024 - 82 p.
Dans ce numéro se trouve un dossier appelé changement de Cap, sur des nouveaux projets urbain, une partie sur les transitions urbaine vers une ville plus verte ainsi que le developpement de trois projets : L'hotel Dieu à Nantes, Le Nexity à Lyon et l'Oasis à Monpellier.

TRANSITION ECOLOGIQUE ; URBAIN (PASCAL) ; URBANISME ; ECOLOGIE ; CHANGEMENT CLIMATIQUE ; RECONVERSION DE SITE ; REHABILITATION URBAINE

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Casabella - 962 oct. 2024 - | Casabella 15/11/2024 H

Sommaire de revue

- n° 2024- - 90 p.
StudioSer Riqualificazione di spazi pubblici, Castel San Pietro, Svizzera
Álvaro Siza Mosteiro de Leça do Balio, Portugal
franzosomarinelli Bolciana e Castelfondo,
Trento Buzzo Spinelli+ Dietmar
Feichtinger Passerella Aldilonda, Bastia,
Corse Buzzo Spinelli+ Antoine Dufour
Risalita Mantinum, Bastia, Corse Atelier
Bugio Funicular da Graça, Lisboa

URBANISME ; ESPACE PUBLIC ; AMENAGEMENT URBAIN

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- n° 2024-- - 146 p.
Dans ce numéro vous retrouverez les prix d'architectures D'a 2024. Des photographies de Samiuel Hoppe. Une partie sur Razzle Dazzle, un entretient avec Philippe Madec, Réhabilitation DEVAUX et DEVAUX.

PRIX D'ARCHITECTURE ; PREVENTION INCENDIE ; NORME ; FACADE ; BRIQUE ; URBANISME ; REHABILITATION DE BATIMENT

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- n° 192 - 256 p.
Avec ce numéro rassemblant des articles Varia, Espaces et Sociétés retrouve l'esprit des premières livraisons « sans titre » de la revue et offre au lecteur autant de plongées dans des recherches récentes de large intérêt. La pluralité actuelle des gradients urbains saisie dans l'épaisseur des dynamiques sociales, lorsque l'on passe des grandes villes aux territoires ruraux sans oublier les villes intermédiaires, en constitue le fil directeur : location AirBnB, accession à la propriété en regard de la production de logements dans des communes populaires, gentrification discutée à l'aune de la notion de commun urbain, accès d'anciens sans-abris au statut d'habitants, déclin auquel sont confrontées des villes moyennes, innovations numériques dans les campagnes et enfin devenir des pratiques avicoles amatrices brouillant les frontières entre espaces urbains et ruraux, sont abordés dans les articles de cette livraison.

Ce numéro est complété par la traduction d'un texte sur les enjeux de l'histoire de l'urbanisme, une controverse autour des retenues de substitution et un texte de fond sur la notion elle-même. [-]
Avec ce numéro rassemblant des articles Varia, Espaces et Sociétés retrouve l'esprit des premières livraisons « sans titre » de la revue et offre au lecteur autant de plongées dans des recherches récentes de large intérêt. La pluralité actuelle des gradients urbains saisie dans l'épaisseur des dynamiques sociales, lorsque l'on passe des grandes villes aux territoires ruraux sans oublier les villes intermédiaires, en constitue le fil directeur : ...[+]

SOCIETE GENERALE ; NATURE ; URBANISME

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Monu Magazine on Urbanism - 37 | Monu Magazine on Urbanism 28/10/2024 H

Sommaire de revue

- n° 37 - 128 p.

“To Eradicate Urban Conflict, Eradicate Urban Interaction” as Benjamin van Loon states in his satirical article that is structured as a memo to the members of a fictitious association: the North American Alliance for Gated Communities. Because urbanism is inherently conflict-driven as Eve Blau points out in our interview with her entitled “Conflict as Condition”. According to her, processes of urbanization involve a certain amount of violence and destruction as cities are places of power, representation, and contestation, which she thinks is both positive and negative. How negative it may become is demonstrated by Rana Abudayyeh in her contribution “After Displacement: Conflict-driven Urbanism and the Shaping of the Syrian Refugee Narrative” in which she shows how the onset of the Syrian Refugee Crisis in 2011 marked one of the largest conflict-driven exoduses in modern times. She elucidates in what way refugees engage in the reconstruction of their urban environments through “Conflict-driven Urbanism”, concurrently reshaping their places and identities while navigating the complex structures of belonging in the form of translocational placemaking. Through this, “Conflict-driven Urbanism” can become a catalyst for empowerment, enabling transient communities to assert agency in temporal settings and unstable conditions. But not everyone can escape conflict, either due to financial restraints or by choice, not wishing to abandon their lands, and thus typically are left to fend for themselves as Niema Alhessen and Khalda El Jack argue in their piece “The [Un]Making of Communal Lands and Militarised Zones: Conflict-driven Urbanism in Al-Shajara, Khartoum”. How the inhabitants that are left behind nevertheless manage to create self- help practices is revealed in the article. One of the most effective strategies involves the construction of so-called “emergency response rooms” that have become lifelines for the hundreds who have remained, transforming public and private buildings such as schools and homes into communal kitchens and aid-centres tapping efficiently into the resources necessary to sustain and create this new layer of “Conflict-driven Urbanism” within these Sudanese neighbourhoods. Some of its practices shine as lights and symbols of hope in conflicted regions, illustrating an alternative life like the one that Johanna-Maria Fritz/OSTKREUZ offers in her photo-essay “Like a Bird”, in which she presents circus cultures in countries known for troubled politics and dire living conditions such as Iran, Afghanistan, or Palestine. A similar optimism is tangible in the images of Fabian Ritter that portray how the “Youth of Kyiv” is returning to the Ukrainian capital engaging once again in theater rehearsals, organizing flea markets, reuniting at the lake, and joining concerts. However, in many conflicted regions solutions are elusive and we may simply have to learn how to live with certain levels of conflict, accepting it as the price paid for diversity, as Wendy Pullan argues in “The Persistence of Conflict: Transacting Urban Public Space”. But for her a city is only a city when it encompasses diversity, indicating that cities are both robust and delicate at the same time. Therefore, if we wish to address the problem of conflict in cities, we must recognise and play to the strengths of both these qualities and according to her public space is one of the key ways to make this happen. Unless you aim for remoteness and dispersal, both at a global scale and an urban scale: a tactic to avoid conflict, or render it invisible, as Conrad Hamann, Ian Nazareth, and Graham Crist suggest in “Nothing to See Here: Hidden Conflict in Australian Capital Cities” referring to sprawl and emptiness as a chief tool of protection, which comes probably closest to the earlier mentioned anti-urbanism approach to conflict of van Loon. However, as a lack of conflict, illustrated as the Australian Dream by Hamann, Nazareth, and Crist, can easily camouflage a machinery of inequality and environmental depletion, with which affordability and sustainability are kept at a distance, a complete absence of conflict appears to be never entirely positive either. Thus, Christina Schraml argues in her contribution “A Plea for the Right to Conflict” that conflicts should not be viewed merely as disruptive but as essential and inevitable in society, playing a crucial role in preserving democracy. The goal should not be conflict elimination but fostering methods that sustain conflict as a productive state, transforming and re-imagining spaces as more dynamic environments that embrace conflicts as an integral part of urban coexistence. Conclusively, under most circumstances, conflicts cannot be definitively classified as either destructive or constructive, as Ai Weiwei wraps it up in the second interview entitled “Beauty Can Still Be Found” emphasizing that, as a human being, the greatest challenge lies in addressing the spiritual state of individuals within these conflicts. The goal should not be to become a casualty of conflict, but to treat other lives and living environments in a humane and benevolent manner. Consequently, Nishi Shah urges in “Paradise Found, Perils Within” that architects, urban and spatial planners - often dismissive of war-torn territories - must exhibit unparalleled adequacy in addressing spaces of conflict as the initial step towards reimagining an architecture for peace.[-]

“To Eradicate Urban Conflict, Eradicate Urban Interaction” as Benjamin van Loon states in his satirical article that is structured as a memo to the members of a fictitious association: the North American Alliance for Gated Communities. Because urbanism is inherently conflict-driven as Eve Blau points out in our interview with her entitled “Conflict as Condition”. According to her, processes of urbanization involve a certain amount of violence ...[+]

URBANISME ; VILLE ; GUIDE

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- n° L'Architecture d'aujourd'hui HS n°50 - 80 p.
S'il est une ville française où se multiplient les opérations de rénovation urbaine, c'est Bordeaux. Bastide-Niel, Brazza, les Bassins à Flots, Armagnac... Ces nouveaux quartiers ont pour ambition de remédier (ce qu'ils font avec plus ou moins de succès) à un héritage moderne ayant fortement teinté les politiques de planification : le zoning. Comment « faire ville » aujourd'hui ? Le quartier Amédée Saint-Germain, au sein de la ZAC Saint-Jean Belcier, issu d'une opération de transformation coordonnée par l'agence LAN (Benoît Jallon et Umberto Napolitano), propose de répondre à cette question en partie grâce à une vision transcalaire du logement. Un cas d'étude qui pourrait devenir un cas d'école.

Textes : Emmanuelle Borne et Maryse Quinton
Traduction : Charles Camicas
Photographies : Charly Broyez et Maxime Delvaux
Direction artistique : Valentine Thébaut [-]
S'il est une ville française où se multiplient les opérations de rénovation urbaine, c'est Bordeaux. Bastide-Niel, Brazza, les Bassins à Flots, Armagnac... Ces nouveaux quartiers ont pour ambition de remédier (ce qu'ils font avec plus ou moins de succès) à un héritage moderne ayant fortement teinté les politiques de planification : le zoning. Comment « faire ville » aujourd'hui ? Le quartier Amédée Saint-Germain, au sein de la ZAC Saint-Jean ...[+]

URBANISME ; FRICHE INDUSTRIELLE ; GARE

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- n° N°462 - 2024 - 140 p.
Ce numéro met en lumière des perspectives croisées sur l'architecture contemporaine, réunissant divers regards sur des projets récents et des tendances architecturales émergentes. Il se penche aussi sur des réalisations marquantes et des réflexions partagées à travers des projets internationaux. Ce dossier offre une analyse sur l'évolution de l'architecture dans le contexte actuel, en passant par des interviews et des projets phares.

URBANISME ; EAU

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A+ - 309 août. -sept. 2024 | A+ 04/10/2024

Sommaire de revue

- n° N°309 -2024 - 122 p.


« Ne jamais démolir, ne jamais déplacer ou remplacer, toujours ajouter, transformer et réutiliser, avec et pour les habitants. » La philosophie d'Anne Lacaton (Lacaton & Vassal) devient un point de départ pour un nombre croissant d'architectes, surtout lorsqu'il s'agit d'immeubles d'habitation ou de bureaux moyens qui, dépourvus de valeur historique ou culturelle, sont rapidement en proie à la démolition.

Les bâtiments institutionnels et symboliques tels que les églises sont souvent si étroitement liés à l'histoire et à l'identité d'un lieu et de ses habitants qu'une démolition n'est pas envisageable. Toutefois, lorsque la fonction d'une telle construction s'étiole, quelle nouvelle affectation peut-on lui donner ? Et lorsque cela se passe idéalement en concertation avec les habitants ou riverains et pour eux, comment s'y prendre ? Cela fait bien longtemps que les villes, villages et quartiers ne sont plus ces communautés homogènes où tout le monde partage une même histoire, une même culture et une même religion. Ce qui, aux yeux de certains, sera une recontextualisation évidente sera considéré par d'autres comme un sacrilège.

« [Une église paroissiale] exprime une culture et une histoire qui, jusqu'à aujourd'hui, définissent notre condition humaine », écrit Erik Wieërs dans Herscheppen, le compte rendu d'une étude de la Team Vlaams Bouwmeester sur la réaffectation des églises en Flandre (p. 17). En outre, dans une société sécularisée, certains nouveaux programmes ne s'avèrent pas vraiment adéquats. Ce sont les églises susceptibles de rester ce qu'elles ont toujours été – à savoir un lieu de rencontre local – qui ont le plus de chances d'être intégrées et adoptées. Les réaffectations de l'église Heilig Hart à Mont-Saint-Amand en maison de quartier (p. 8) et de l'église Notre-Dame des Douleurs à Wavre-Sainte-Catherine en bâtiment scolaire (p. 27) ne sont que deux exemples parmi de nombreuses autres réussites.

Tandis que la polémique initiale autour de la réaffectation des églises a perdu de sa virulence, les rénovations d'autres bâtiments iconiques ou de monuments emblématiques touchent de plus en plus une corde sensible. L'esprit actuel d'antiracisme incite diverses instances à décoloniser l'espace public. Dans le sillage des manifestations contre le racisme qui ont eu lieu partout dans le monde à la suite du décès de George Floyd en 2020, la Région de Bruxelles-Capitale a constitué un groupe de travail qui a publié en 2022 des recommandations pour identifier, contextualiser, supprimer ou transformer les symboles évoquant les atrocités perpétrées dans les colonies belges au Congo et au Rwanda. L'intervention de Traumnovelle sur le monument du Congo au parc du Cinquantenaire de Bruxelles (p. 60) est une des premières réalisations qui ouvre le débat sur un patrimoine architectural teinté de souvenirs traumatisants.

La manière de traiter le « patrimoine difficile » (difficult heritage) est un thème international de plus en plus actuel. En 2023, le collectif DAAR (Decolonizing Architecture Art Research) a remporté le Lion d'or à la Biennale d'architecture de Venise avec une contribution sur l'appropriation critique et la réutilisation de l'architecture fasciste de Mussolini. Cette même biennale a également consacré le travail de Sammy Baloji, Bruxellois originaire de Lubumbashi. Dans son film Aequare: the Future that Never Was, il présente jusque dans des détails absurdes l'annexion territoriale et culturelle de l'Afrique par les colons occidentaux : de l'architecture européenne déliquescente ne résistant apparemment pas au climat extrêmement humide aux scientifiques désorientés dégoulinant de sueur dans leurs cols amidonnés. Ce magnifique film a directement inspiré ce numéro d' A+ consacré à l'identité et à l'iconicité.

Comment une ville ou une nation aborde-t-elle un héritage qui commémore des atrocités ? En tant que société, comment gérer les symboles publics qui rappellent un passé qui nous fait honte, tel que l'esclavage, l'exploitation ou les abus à grande échelle ? Dans ce sens, les églises font peut-être également partie du « patrimoine difficile ». C'est évidemment aussi le cas de la maison qu'occupait le meurtrier et violeur en série Marc Dutroux à Marcinelle. Après environ trois décennies, Réservoir A, en déployant des trésors de prudence et d'empathie pour le chagrin individuel et la honte collective, a transformé ce lieu particulièrement chargé en un lieu serein de commémoration ayant une valeur emblématique pour toute la communauté (p. 72). Un bel exemple de la façon dont la dimension idéologique et sociale de l'architecture peut s'exprimer avec brio dans un petit projet tel que celui-là.[-]


« Ne jamais démolir, ne jamais déplacer ou remplacer, toujours ajouter, transformer et réutiliser, avec et pour les habitants. » La philosophie d'Anne Lacaton (Lacaton & Vassal) devient un point de départ pour un nombre croissant d'architectes, surtout lorsqu'il s'agit d'immeubles d'habitation ou de bureaux moyens qui, dépourvus de valeur historique ou culturelle, sont rapidement en proie à la démolition.

Les bâtiments institutionnels et ...[+]

URBANISME ; BELGIQUE ; INNOVATION ; EXPOSITION

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- n° Hors série N°49 - 104 p.
Pour cette publication consacrée à archi5, plutôt qu'opter pour la traditionnelle monographie, ses associés – ​​Anne Pezzoni, Jacques Sebbag, Laurent Boudrillet et Bernard Guillien – ont préféré offrir la parole à des invité·es aux démarches variées qui ont pour point commun de s'aventurer hors des sentiers battus par leurs champs d'expertise respectifs.


Qu'il s'agisse d'un urbanisme « hors cadre » avec l'architecte urbaniste Claire Schorter (agence laq), de patrimoine vivant « hors programme » avec le maire de La Rochelle Jean-François Fountaine, d'architecture « hors type » grâce à la réhabilitation avec Sébastien Eymard (agence Encore Heureux), de réglementation « hors béton » avec Paul Jarquin, fondateur de REI habitat, promoteur immobilier spécialisé dans la construction en bois, d'espaces paysagers « hors ville » avec la paysagiste-urbaniste Juliette Bailly- Maître (agence Mutabilis)

ou encore d'énergies légères « hors tech » avec l'architecte-ingénieur Raphaël Ménard (président d'AREP), toutes et tous s'affranchissent des standards pour dessiner les contours de villes où, avant tout, il fait bon vivre.[-]
Pour cette publication consacrée à archi5, plutôt qu'opter pour la traditionnelle monographie, ses associés – ​​Anne Pezzoni, Jacques Sebbag, Laurent Boudrillet et Bernard Guillien – ont préféré offrir la parole à des invité·es aux démarches variées qui ont pour point commun de s'aventurer hors des sentiers battus par leurs champs d'expertise respectifs.


Qu'il s'agisse d'un urbanisme « hors cadre » avec l'architecte urbaniste Claire Schorter ...[+]

ARCHI 5 ; URBANISME ; FRANCE ; LA ROCHELLE ; REHABILITATION URBAINE ; ENCORE HEUREUX ; ENERGIE RENOUVELABLE

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- 430 p.
Cote : 72-03-GAU

Il s'agit, à travers les contributions de 22 auteurs et autrices, d'interroger l'héritage d'Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, l'architecte qui restaura Notre-Dame de Paris. Si l'architecte Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc (1814-1879) n'eut que quelques expériences directes d'enseignement, il n'en eut pas moins de nombreux « élèves » car il ne renonça jamais à la transmission de ses idées. Outre les établissements dans lesquels il enseigna, ce fut au cours de sa pratique, dans son agence ou sur les chantiers de restauration, ou encore par le biais de ses publications qu'il transmit ses connaissances. Ainsi, si parmi ces « élèves » certains avaient réellement suivi un enseignement du « maître » dans un établissement d'enseignement, d'autres, les plus nombreux, reçurent les leçons violletleduciennes par d'autres biais, sans l'avoir nécessairement rencontré, ni même lui avoir été contemporains. Largement usité de nos jours, l'expression « élève de Viollet-le-Duc » méritait, nous l'avons cru, quelques éclaircissements. C'est l'ambition de ce volume qui, grâce aux contributions de 22 auteurs et autrices, interroge les biais de transmission de la pensée de Viollet-le-Duc et les productions de quelques-uns de ses continuateurs.

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Il s'agit, à travers les contributions de 22 auteurs et autrices, d'interroger l'héritage d'Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, l'architecte qui restaura Notre-Dame de Paris. Si l'architecte Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc (1814-1879) n'eut que quelques expériences directes d'enseignement, il n'en eut pas moins de nombreux « élèves » car il ne renonça jamais à la transmission de ses idées. Outre les établissements dans lesquels il enseigna, ce fut au ...[+]

VIOLLET-LE-DUC (EUGENE EMMANUEL) ; ECOLE NATIONALE SUPERIEURE DES BEAUX ARTS ; PATRIMOINE ; URBANISME ; HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; ENSEIGNEMENT DE L'ARCHITECTURE

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Tracés - LAT | Tracés 20/05/2024 H

Sommaire de revue

- n° 3542 - 48 p.
Bon anniversaire la LAT! Dix ans déjà… Et quels effets sur le territoire? La nouvelle vague de plans d'affectation communaux qui va déferler sur la Suisse nous en donnera bientôt un aperçu.

SUISSE ; URBANISME ; SURELEVATION ; ECOLOGIE ; CRISE DU LOGEMENT

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- n° 314 - 154 p.
Alors que personne ne propose de solutions crédibles pour sortir de la crise du logement – peut-être parce qu'à court terme il n'y en a pas et qu'à long terme il faut un sacré courage politique –, une petite ville de 52 hectares accueillant notamment 2 807 logements vient d'être livrée en Seine-Saint-Denis en « seulement » trois ans d'études puis trois ans de chantier. Quand on veut, on peut, serait-on tenté de conclure… Ce Village des athlètes, qui accueillera 14 500 sportifs pendant les Jeux olympiques avant d'être habilement transformé en logements, se voulait la vitrine des savoir-faire français, n'incarnant rien de moins que « l'urbanisme du XXIe siècle grâce à sa performance énergétique, sa neutralité carbone et une forte valorisation de la biodiversité ».
Pendant qu'à Notre-Dame on nommait un général de corps d'armée pour mener le chantier à terme, le Village olympique se trouvait un amiral en la personne de l'académicien Dominique Perrault qui, en roi de la métaphore, proposait un urbanisme tout militaire avec de grands navires amarrés aux berges. Furent ensuite convoqués des urbanistes, des paysagistes et des architectes parmi les meilleurs de leur génération afin que ce plan d'une redoutable efficacité puisse répondre aux promesses d'un aménagement « désirable », « imaginé pour favoriser le “vivre-ensemble” et le développement d'une société inclusive » (sic). On s'est vanté d'employer massivement du « béton bas carbone », cet oxymore, puissant agent du greenwashing ; tout devait être biosourcé, en bois et hautement recyclable, mais les promesses chiffrées annoncées lors du lancement de l'opération ont aujourd'hui disparu des sites promotionnels. Les délais, plutôt courts, et les objectifs mirobolants de neutralité carbone ont eu le mérite, une fois confrontés à la dure réalité des réglementations et du marché, de montrer à quel point la révolution du monde de la construction est encore loin de solutions à l'échelle des défis environnementaux. En attendant, on se réjouira d'innovations qui, à n'en pas douter, entreront dans les annales des Jeux, comme ce système de recyclage du caca dans les sous-sols d'un immeuble ou ces « bulles d'air purifiées ». Il faudra cependant attendre le départ des athlètes et l'arrivée des habitants pour juger de l'aménité de cet imposant morceau de ville qui n'a rien d'un village gaulois.[-]
Alors que personne ne propose de solutions crédibles pour sortir de la crise du logement – peut-être parce qu'à court terme il n'y en a pas et qu'à long terme il faut un sacré courage politique –, une petite ville de 52 hectares accueillant notamment 2 807 logements vient d'être livrée en Seine-Saint-Denis en « seulement » trois ans d'études puis trois ans de chantier. Quand on veut, on peut, serait-on tenté de conclure… Ce Village des athlètes, ...[+]

CRISE DU LOGEMENT ; JEUX OLYMPIQUES ; 75 PARIS ; PERRAULT (DOMINIQUE) ; URBANISME ; GENNEVILLIERS ; PORT ; CAB ; CONCOURS ; LAUSANNE ; SUISSE ; CONSTRUCTION EN BOIS ; NP2F ; BORDEAUX ; SEYLER (ODILE) ; LUCAN (JACQUES) ; MARSEILLE ; LA ROCHELLE ; MAQUETTE VIRTUELLE ; ENVIRONNEMENT

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