Documents BATIMENT DE BUREAUX 184 résultats

Contient 3 dossiers de concours étudiants lancés par le CFE Centre français de l'électricité auxquels ont participé les étudiants de l'ESA.

1993-94 : "concours pour la conception d'un nouvel Hotel de ville", programme, documentation, membres du jury (Lionel Dunet DESA, François Lombard, DESA), bibliogr. + plaquette de 22 p. de publication des résultats : lauréat ESA : Laurent Moulin.

1995-1996 : "coucours d'esquisse pour la conception d'une agence edf", programme, documentation, membres du jury + plaquette de 20 p. de publication des résultats

1997-1998 : "logement social : pour vivre mieux ensemble !" (site à Marseille) programme, bibliogr., + plaquette de 17 p. de publication des résultats : lauréat ESA : Yayoi Comeau-Montasse[-]

Sur les bords de Saône, le nouveau quartier de la Confluence prend forme. Des bâtiments à l'architecture contemporaine et innovante remplacent les anciennes friches industrielles. Parmi eux, se trouve le fameux « cube orange » dont la couleur et l'architecture ont partagé les lyonnais. Après la rénovation des anciennes halles des salins, construites dans les années 1930, et leur transformation en restaurant gastronomique, en 2010, le « cube » vient agrandir le pavillon des salins.
Trois ans plus tard, une seconde construction aux couleurs vives nait dans le quartier. Pour ce bâtiment, le vert a remplacé le orange et le cube est devenu un parallélépipède. Deux fois plus grand que son homologue des salins, ce monument est le nouveau siège de la chaine de télévision internationale Euronews. A eux deux, ils représentent l'architecture moderne qui symbolise le renouveau du lieu.
Les architectes Jakob + Macfarlane ont imaginé des bâtiments imposants et colorés dont l'aspect futuriste attire les regards et les critiques. Mais derrière la volonté de réaliser des édifices à l'architecture spectaculaire, se cache une réelle attention à l'environnement, aux performances énergétiques et au développement durable.[-]

Né en 1952, Dietmar Eberlé est diplomé de l'université de Vienne en Autriche. Il fonda en 1990 avec Carlo Baumschlager non pas une agence d'architecture mais une entreprise de construction spécialisée dans l'architecture écologique. Dietmar Eberle et Carlo Baumschlager appartiennent à la deuxième génération des Baukünstler, ce groupe d'architectes, militants Verts actifs, qui s'est trouvé dans le Vorarlberg au moment où l'Autriche rejoignait l'Europe et a consciemment utilisé le développement rapide de cette partie du sillon rhénan pour en faire un laboratoire architectural du développement durable. Toutes les réalisations présentées par D. Eberle révèlent que, derrière la conception d'une architecture écologique, les deux anciens militants poursuivent l'objectif plus ambitieux de contribuer à fonder, sur des analyses solides de la société post-industrielle, un nouveau rationalisme architectural : utiliser le marché pour faire progresser les standards de l'habitat, replacer l'architecte en véritable "acteur" du développement - au-delà de son ancien statut d'"artiste" - c'est-à-dire chercheur intégré à l'économie, consulté en amont, concepteur des critères et des programmes constitutifs d'une architecture contemporaine. Réalisations commentées : résidence H., maison individuelle en Allemagne ; Flatz résidence à Schaon au Lichtenstein, maison individuelle ; Sebastianstrasse résidence à Dornbirn en Autriche, maison individuelle ; Verwalter résidence à Dornbirn ; Lohbach résidence à Innsbrück, Autriche, immeubles de logements ; un espace commercial pour un marchand de bois ; le Data Center de l'entreprise Zumtobel, producteur de luminaires, à Dornbirn ; Rohner port building à Fussach, Autriche ; une tour Hohlstrasse à Zürich ; un immeuble "faible consommation" - meilleure performance énergétique d'Europe - Munich RE à Munich, Allemagne ; des immeubles Megahall à Pékin ; l'extension de l'aéroport de Vienne, Autriche ; l'e-science laboratoire de l'Université Technique de Zürich ; un bâtiment et son espace vert pour WHO/U.N.aids à Genève ; l'hôpital de la ville de Kort en Belgique ; des immeubles situés dans le quartier Osterdokseiland à Amsterdam.[-]

Willem Jan Neutelings est un architecte hollandais qui réalise des bâtiments aux formes géométriques claires aux volumes imposants et sculpturaux, sculptures cubiques dont l'enveloppe est habillée de motifs : dentelle pour le musée d'histoire à Anvers, motifs de pneus pour la caserne de pompiers ou letrres incrustées sur la façade d'une imprimerie, panneaux colorés d'images d'ordinateur sur les vitres de l'Institut néerlandais de l'image et du son, et dont l'esthétique est inspirée de l'univers du comics. Neutelings présente son important travail autour du logement et de ses typologies, s'éloignant du fonctionnalisme hollandais. Ses bâtiments sont des icônes dont les façades donnent des vues surprenantes vers l'intérieur. À l'intérieur, l'espace est pris comme un élément qui sollicite les cinq sens. Nous assistons aux projets soumis à la concurrence passée, à ceux réalisés ou restés à l'état de projet : logements en Hollande, université à Utrecht, salle de concert à Bruges, hôtel à Paris, ou projet de concours pour le complexe sportif du siège d'Adidas ou celui non réalisé pour un bâtiment éléve à l'emplacement de "ground zero" à New-York. Organisé par thèmes, le film présente un apercu du travail des dix dernières années sur le concept de texture et de motifs (façade brillante de l'hôtel de ville de Moscou), de scénarios : juxtaposer les histoires, les atmosphères, d'empilement : densifier la ville pour éviter d'empiéter sur l'environnement , de creux : le vide se fait plus important que la masse, avec des patios à l'intérieur du centre hollandais des impôts ou au centre de théâtre de Louvain, des études sur le modèle des sculptures et des silhouettes, des caricatures, sur l'idée des sens illustrée par l'université d'Utrecht, du contexte politique... Le tout est illustré par des photos et des plans.[-]

Entretiens de Chaillot, conférence du 6 décembre 2004. Traduction simultanée. L'exposé de l'architecte allemand est une réflexion sur l'espace architectural et sur l'espace urbain contemporains. Commentaires critiques sur les transformations berlinoises depuis la chute du mur (quartier du Spreebogen et du château). Présentation de projets pour des concours internationaux (Egypte, Beyrouth) et réalisations comme le crématorium et la nouvelle Chancellerie Allemande à Berlin.[-]

Ce numéro 224 d'El Croquis examine la dernière décennie de travaux de Christian KEREZ. Sont présentés dix-huit projets répartis dans le monde entier, dont l'Académie des Arts de Chine, l'immeuble de bureaux à Lyon Confluence, le musée du textile de Saint-Gall, des gratte-ciel à Nantes ou à Rennes, un parking à Bahreïn ou encore une passerelle en Chine et des projets résidentiels à plus petite échelle. L'examen du récent portfolio de l'architecte zurichois est complété par deux conversations : l'une avect Smiljan Radić et l'autre avec le théoricien de l'architecture et professeur Stephan Trüby.[-]

Ce livre est consacré à un ensemble immobilier parisien mythique, celui occupé, depuis 1936, rue Bayard, par la station de radio privée RTL. Situé au cœur d'un quartier distingué voué à la haute couture et aux médias, marqué par la tragédie du Bazar de la Charité, à proximité du théâtre des Champs-Élysées qui consacra les ballets russes et Joséphine Baker, ouvrant sur la place François-Ier, l'une des plus élégantes de Paris, en face de « Chez Savy », l'incontournable lieu de rendez-vous des journalistes dont le décor est conservé intact depuis 1925. En 1972, les façades hétéroclites des trois différents immeubles sont unifiées par une œuvre d'art optique due à Victor Vasarely et son fils Yvaral.
En 2017, RTL quitte la rue Bayard et en 2022, le bâtiment voit s'écrire un nouveau chapitre de son histoire mêlant restructuration et construction neuve en structure bois. Ce nouvel ensemble de bureaux articule une série de patios, gradins, terrasses et rooftop. L'habillage métallique aux reflets mordorés de la nouvelle façade fait écho à la façade historique en pierre restaurée. Toutes deux soulignent les codes du luxe qui prévalent dans le quartier et dessinent une nouvelle page de son histoire.[-]

L'élévation constante des prix du foncier dans les grandes métropoles du monde génère un lot de problèmes mais possède du point de vue de l'immobilier tertiaire l'avantage d'inciter à valoriser au mieux le parc existant. La création de valeur repose en grande partie sur le projet architectural de réhabilitation. De plus, l'architecte joue un rôle indispensable en proposant des bâtiments réversibles et résilients. La refonte complète des parties communes est au coeur de la stratégie des projets de restructuration, ainsi que le montrent ceux menés par l'agence Axel Schoenert Architectes, autour du triangle d'or de la capitale.[-]

Le béton est un matériau économique et durable d'une rare inventivité. Ses performances techniques et environnementales se développent, et ses couleurs, formes, reliefs, matités ou brillances varient à l'infini. Il prend son apparence définitive presque indépendamment de ses capacités techniques et structurelles, et peut être aussi sophistiqué dans sa texture que libre dans ses formes. Tellurique et massif, ancré au sol ou aérien, il marque, rythme et accompagne l'architecture des bâtiments comme des ouvrages d'art.

Cet ouvrage présente 65 architectures contemporaines d'exception qui témoignent des remarquables propriétés de ce matériau, de l'immense variété des peaux de béton ainsi que de leur nature singulière et changeante. Conçues par certains des plus grands architectes actuels, ces réalisations ont été sélectionnées pour leurs qualités architecturales et leurs solutions innovantes. Paroles d'architectes, d'ingénieurs, d'entrepreneurs, d'universitaires ou d'artistes côtoient les magnifiques photographies de cet ouvrage dans lequel les façades se dévoilent de page en page.[-]

58, rue de Mouzaïa : à cette adresse était livrée en 1974 une oeuvre représentative du brutalisme, cosignée par Claude Parent et André Remondet. Après quarante ans d'existence, le bâtiment avait cependant perdu de sa puissance : surfaces noircies, érosion, fers mis à nu. Chargée de transformer cet immeuble de bureaux en un ensemble à vocation résidentielle, l'agence Canal architecture (Patrick Rubin) a saisi l'occasion pour restaurer et révéler une architecture dense et forte, tout en lui conférant l'aménité qui convient à sa nouvelle fonction. Voilà donc un cas d'école, un exemple de réversibilité, notion que Canal défend également pour l'architecture d'aujourd'hui.[-]

Le livre raconte l'histoire du bâtiment en commençant par la commande faite à Eugène Freyssinet de cette gare nommée "Halle Freyssinet", "halle des Messageries d'Austerlitz ", ou encore "Halle Chevaleret". Elle fut immédiatement saluée pour ses qualités constructives à sa livraison en 1929 mais un combat a du être mené pour sauver ce batiment industriel de la démolition. Le projet porté par Xavier Niel de pépinière de start-up et le travail de l'agence Wilmotte & associés donne naissance en 2017 à station F. La structure d'origine de 22 000 m² est conservée, le béton restauré, de nouvelles façades vitrées sont ajoutées, un auditorium creusé, une importante reprise en sous oeuvre, une dalle de béton coulée : au total c'est un chantier "tinanesque" avec de nombreux intervenants, qui a permis la transformation de ce monument classé, en coeur d'un important campus numérique. [-]

L'agence Bruther a été nommée au Prix Mies Van Der Rohe en 2015 pour Centre culturel & sportif Saint Blaise, Paris 20e et est lauréate du prix de l'équerre d'argent 2016 dans la catégorie « Lieu d'activités » pour le centre de recherche nouvelle génération à Caen.
Au sommaire de cette monographie :
Centre culturel et sportif de Saint-Blaise Paris 20e
Centre de recherche à Caen ("le Dome")
Batiment de bureaux, Paris, Porte de Vanves
Résidence pour chercheurs, Paris, cité universitaire, Batiment pour les sciences du vivant à l'EPFL à Lausanne, Extension à Mérignac
Logements à Paris rue Pelleport à Eysines, à Limeil-Brévannes, résidence pour étudiants à Palaiseau
Projet pour la bibliothèque centrale et pour le Guggenheim Museum, à Helsinki, projet pour le concours de musée du XXe siècle à Berlin
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Cet ouvrage présente une trentaine d'exemples d'immeubles de bureaux traités comme des espaces de travail modernes qui tentent de gérer la complexité organisationnelle, tout en offrant les technologies et l'équipement les plus récents. La transparence, l'ouverture et la sensibilité à l'environnement sont les qualités requises du siège social et des bâtiments administratifs. En termes de design d'intérieur, l'image de l'entreprise commence dès le hall d'entrée et son mobilier. Certains modèles tentent de rompre avec l'organisation traditionnelle des espaces de travail, d'autres aspirent à transformer les bureaux en espace d'objets d'art, d'autres encore s'appuient sur la psychologie de la couleur ou tentent d'intégrer le bâtiment au paysage ou à l'environnement urbain dès la conception.[-]

Ce livre-catalogue présente l'ensemble des constructions de l'architecte Manuelle Gautrand. L'ouvrage est divisée en deux parties, la première présente de manière synthétique les projets les plus anciens ; la seconde présente de manière plus développée les bâtiments les plus récents. Parmis les constructions les plus célèbres de Manuelle Gautrand, citons la réhabilitation de la Gaîté Lyrique, le show-room Citröen sur les Champs-Élysées, l'extension du musée d'art moderne de la ville de Lille à Villeneuve d'Ascq ou encore l'immeuble de Origami à Paris.[-]

Ce livre présente une cinquantaine de projets datant de ces quinze dernières années, réalisés par l'agence Schulitz + Partners fondée à Los Angeles en 1974 par Helmut C. Schulitz et aujourd'hui basée à Braunschweig en Allemagne. Les projets exposés englobent tous types de construction, allant de l'immeuble de bureaux, au bâtiment d'habitation collective, aux structures de transport, et aux installations sportives. Les matériaux de construction de prédilection de l'agence sont l'acier et le verre.

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