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Cote : V-Cité Arc.P.-Cours Pub-2007-2008--MIG
Claude Mignot ouvre son exposé en précisant la terminologie associée à l'habitat aristocratique rural au Moyen Âge. À partir des termes de "maison forte", "maison plate", "manoir seigneurial", et "maison aux champs", qu'il définit à la fois par leur dimension juridique, spatiale et fiscale, mais aussi par leur caractérisation formelle (enclos, fossés, mur talus, colombier, etc...), l'historien montre la filiation de ces petits logis seigneuriaux avec le petit manoir ou la gentilhommière des XVIe et XVIIe siècles. Illustrant son propos de nombreux exemples (La Morinière, Le Plessis-Josso, Courboyer, Huismes...), Claude Mignot précise que la maison seigneuriale, le plus souvent fermée et flanquée de tours d'angle, occupant l'ensemble de sa plate-forme fossoyée, évolue ensuite vers une occupation du milieu de la parcelle sans être nécessairement fermée et sans autres éléments de défense qu'éventuellement ceux décoratifs, et vers une redistribution complète des fonctions des lieux et des circulations intérieures pour donner naissance à la maison de plaisance et au petit château du XIXe siècle.
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Claude Mignot ouvre son exposé en précisant la terminologie associée à l'habitat aristocratique rural au Moyen Âge. À partir des termes de "maison forte", "maison plate", "manoir seigneurial", et "maison aux champs", qu'il définit à la fois par leur dimension juridique, spatiale et fiscale, mais aussi par leur caractérisation formelle (enclos, fossés, mur talus, colombier, etc...), l'historien montre la filiation de ces petits logis seigneuriaux ...
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HABITAT ; MAISON FORTE ; MOYEN AGE ; RENAISSANCE ; CHATEAU ; HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE
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Cote : V-cité Arc.P.-Cours Pub.-2006-2007-MIG
"Vers 1660, le mot « hôtel » commence à prendre le sens moderne que nous lui donnons mais les traits de cette grande demeure urbaine se fi xent dès la fin du Moyen Âge : « on nomme ainsi les maisons moins belles que les palais, et plus belles que les simples logis [...]. Paris est la ville du monde la plus superbe en hôtels », lit-on dans un petit traité d'architecture publié en 1688. Du milieu du XVe au milieu du XVIIIe siècle, la grande demeure urbaine parisienne conserve des traits qui la distinguent fondamentalement des palais d'Italie. L'hôtel de Sully, l'hôtel Matignon, et même l'hôtel de Beauvais, ressemblent plus à l'hôtel de Cluny qu'aux palazzi et palazzetti vénitiens et génois, florentins ou romains, qui leur sont contemporains."
(Cité de l'architecture et du patrimoine / Ecole de Chaillot)
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"Vers 1660, le mot « hôtel » commence à prendre le sens moderne que nous lui donnons mais les traits de cette grande demeure urbaine se fi xent dès la fin du Moyen Âge : « on nomme ainsi les maisons moins belles que les palais, et plus belles que les simples logis [...]. Paris est la ville du monde la plus superbe en hôtels », lit-on dans un petit traité d'architecture publié en 1688. Du milieu du XVe au milieu du XVIIIe siècle, la grande ...
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HOTEL PARTICULIER ; 75 PARIS ; PALAIS
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Cote : V-cité Arc.P.-Cours Pub.-2006-2007-MIG
Claude Mignot, professeur d'histoire de l'art et de l'architecture moderne à l'université de Paris Sorbonne, retrace l'évolution formelle du château du milieu du XVe siècle. À la fin du XVIIIe s. Il écarte de son propos les châteaux royaux dont la défense est assurée après la guerre de cent ans par des soldats du Roi. S'appuyant sur de très nombreux exemples (Missery, St Germain-en-Laye, St-Fargeau, Blérancourt, Plessis-Bourré, Balleroy, Maisons, Champs-sur-Marne, Jossigny, Cheverny, Vaux, etc.), C. Mignot montre l'évolution parallèle que connaissent d'une part le château fossoyé qui s'ouvre progressivement sur l'extérieur en abaissant son corps d'entrée, en gazonnant ses fossés, en rabattant ses pavillons, en doublant l'épaisseur de son corps central, etc. et d'autre part l'étirement du plan des maisons plates massées qui donnera naissance aux maisons de plaisance.
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Claude Mignot, professeur d'histoire de l'art et de l'architecture moderne à l'université de Paris Sorbonne, retrace l'évolution formelle du château du milieu du XVe siècle. À la fin du XVIIIe s. Il écarte de son propos les châteaux royaux dont la défense est assurée après la guerre de cent ans par des soldats du Roi. S'appuyant sur de très nombreux exemples (Missery, St Germain-en-Laye, St-Fargeau, Blérancourt, Plessis-Bourré, Balleroy, ...
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CHATEAU FORT ; JARDIN A LA FRANCAISE ; MORPHOLOGIE
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- 123 p.
Cote : 711_42-TRO
Ce recueil rassemble pou la première fois trois études consacrées à l'édification, pendant un siècle (1840-1940), d'une des premières stations balnéaires de France. De la Monarchie de Juillet au Front Populaire s'y joue chaque été une "comédie humaine", à 200 km de la capitale, de la société parisienne "les pieds dans l'eau". Si la villégiature aristocratique et bourgeoise conforte le pouvoir de grandes familles et de certains notables locaux, le chemin de fer, la rivalité avec Deauville et les effets de mode en modifieront profondément la sociologie. A quoi s'ajoute, sous les effets des bains de mer et du soleil, un fascinant aperçu de l'histoire du sensible... [d'après éd.]
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Ce recueil rassemble pou la première fois trois études consacrées à l'édification, pendant un siècle (1840-1940), d'une des premières stations balnéaires de France. De la Monarchie de Juillet au Front Populaire s'y joue chaque été une "comédie humaine", à 200 km de la capitale, de la société parisienne "les pieds dans l'eau". Si la villégiature aristocratique et bourgeoise conforte le pouvoir de grandes familles et de certains notables locaux, ...
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TROUVILLE-SUR-MER ; STATION BALNEAIRE
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- 207 p.
Cote : 9(44P)-MIG
L'auteur dresse une typologie historique des façades parisiennes sur six siècles, depuis le vieux Paris (1400-1660) jusqu'à la période contemporaine (1974-2001), et donne des repères pour lire les ordonnances, les motifs (portails, balcons, bow-windows, consoles, mascarons, cariatides...) et les matériaux (pierre, brique, fer, béton...) qui les composent.
FACADE ; 75 PARIS ; PORTE ; BALCON ; DECORATION DE FACADE ; SCULPTURE ; ARCHITECTURE CLASSIQUE ; ARCHITECTURE NEOCLASSIQUE ; ART NOUVEAU ; DOME ; LOGEMENT SOCIAL ; HBM ; CITE OUVRIERE ; MOUVEMENT MODERNE ; ART DECO ; POSTMODERNISME ; ORNEMENT ARCHITECTURAL ; IMMEUBLE DE RAPPORT ; HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; BATIMENT D'HABITATION ; MATERIAU ; FERRONNERIE ; ECLECTISME ; TYPOLOGIE DE L'HABITAT
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- 326 p.
Cote : 72_035-MIG