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Sept cinéastes, pionniers de l'art expérimental, filment la ville, chacun à leur manière, à travers le prisme du cinéma… "Manhatta" de Charles Sheeler et Paul Strand (1921, 16') ; "Jeux des reflets et de la vitesse" d'Henri Chomette (1923-1925, 7') ; "Nuits électriques" Eugène Deslaw (1927, 10') ; "Marseille Vieux Port" Laszlo Moholy-Nagy (1929, 14') ; "Broadway by Light" de William Klein (1958, 10') ; "New York portrait 1" Peter Hutton (1978, 15'), "16X" Igor et Svetlana Kopystiansky (1987, 6').[-]

Document pédagogique destiné au service communication de l'ESA.
DVD 1
Semestre sept-dec. 2009
L'artiste et enseignante Nathalie Junod Ponsard propose de créer une installation ou une sculpture à l'échelle 1 dans le jardin de la Cité Internationale des Arts, 18, rue de l'hôtel de ville 75004 Paris.
Texte de présentation du thème de l'atelier par NJP (voir pdf)
Texte des étudiants pour leurs installations
Images de l'installation En Suspens » à la Cité des Arts
Etudiants : Julie Chehab, Jean-Baptiste Roman, Arnaud Deprez et Takami Nakamoto, Axel Allione et Clément Donnefort, Youness Berrada & Abdullah Muraiqeb, Camille Jacoulet, daniel Adrien, Tangi Défachelles, Louis Geffroy et Louis Geslain, Nicolas Herlemont , Tristan Delagneau et Hugo Reichmann.

DVD 2
Travaux d'élèves du Semestre 2 Printemps 2009
Guillaume Colin et Niccolo Fulchignoni, Paul Moreau et Mamoun Rtal Bennani, Pierre-Alexandre Treust, Randa Bensalem

Travaux d'élèves du Semestre 5 en 2009
Amandine Barré et Simon Pesin, Anaïs Guimpier et Elisabeth Koc, Ingrid Diaz et Nicolas Grémillet, Laurie Decarre et Lakme Gremillet, Ottman Diouri et Hamza Rachad, Pierre-Yves Ferreyra et Samuel Lumbroso. [-]

Yann Kersalé présente son parcours et son positionnement artistique, utilisant la lumière comme d'autres se servent de la terre ou de la peinture, il choisit la nuit, comme terrain d'expérimentation. Il a élaboré plus d'une centaine de projets In Situ et d'Expéditions-lumière : encéphalogramme lumineux de l'océan, détournements d'objets de haute technologie, interventions sur des ouvrages d'art ou des architectures, il travaille regulièrement avec des architectes comme Jean Nouvel ou Jakob et Mc Farlane.[-]

"Pour ce documentaire, Henri Alekan met en oeuvre sa science de la lumière au cinéma dans les conditions de tournage d'un film réduit, ici, à sa plus simple expression. La spécificité de son travail réside dans la manipulation de flots de lumière en 'grandeur vraie', contrairement au peintre qui la miniaturise et la figure par un tracé sur la toile.
Il s'agit de recréer l'imaginaire d'un personnage dans un décor irréaliste. Lumière de face, de profil, avec ou sans volet ; lumière solaire directionnelle, diffuse ; effets naturalistes ou esthétisants ; nuanciation de la lumière, palette d'étagement en étagement ; modelés surréels ; éclairage de la pénombre, décor en aplats, rampe au ras du sol, allongement des ombres, lumière sans modelé, etc. L'inventeur de lumière, comme il devrait s'appeler, plutôt qu'opérateur, trop mécanique, s'en donne à coeur joie. Plaisir des termes et de la démonstration : comment transcender la réalité ? Nestor Almendros lui apporte brièvement la contradiction : son art consiste à mieux faire voir la beauté de la lumière 'naturelle'. "(CNC-Dominique Villain)[-]

Cette déclaration d'amour à l'architecture est une suite construite de textes et de dessins que Laurent Beaudouin a voulu nourrie aux deux sources de la pratique du projet et de l'enseignement. Abordant des notions fondamentales : la main, le dessin, la proportion, la profondeur, la lumière... il développe l'idée d'une architecture lente qui peu à peu dessine une microgéographie faite de transitions ininterrompues formant une véritable chorégraphie de l'espace.[-]

Le numéro Les nouveaux albums des jeunes architectes 2003-2004, publié en 2004 dans la revue d'Architectures (hors série), est un ouvrage qui met en lumière le travail de jeunes architectes émergents en France. Ce numéro fait partie d'une série dédiée à la présentation des projets récents réalisés par de jeunes talents de l'architecture, souvent à un stade où leur créativité et leur approche de la discipline sont particulièrement innovantes.Le volume présente une diversité de projets allant de la rénovation urbaine à la construction de nouveaux bâtiments, souvent dans un contexte de développement durable et de respect des normes environnementales. L'ouvrage cherche à faire découvrir ces jeunes architectes, souvent encore inconnus du grand public, tout en offrant un aperçu des tendances émergentes dans le monde de l'architecture en France au début du XXIe siècle.[-]

Le Noir, comme la lumière et l'espace est une composante de la scène. C'est une composante complexe, paradoxale, changeante, qui suit l'évolution des techniques d'éclairage mais aussi la dramaturgie des ombres. Ce travail de recherche sur la dimension scénique du Noir, propose donc une approche à la fois historique et esthetique. Les apports des courants Symboliste, Expressionniste, Futuriste, sont étudiés ainsi que la dimension poétique et politique du noir dans le théâtre contemporain.[-]

"Atmosphères chromatiques et changeantes, structures vibrantes, effets de miroirs, pulsations lumineuses, distorsions de perspectives, installations qui interagissent avec le spectateur, de nombreux artistes explorent de nos jours les notions de mouvement, de vision, d'espace et de lumière. Leurs œuvres s'inscrivent dans le courant de l'art optique et cinétique européen et américain des années 1950-1960. Cette tendance a elle-même trouvé ses sources dans les premières recherches qu'ont faites, au tout début du XXe siècle, des artistes comme le futuriste Giacomo Balla, comme Marcel Duchamp, Robert Delaunay ou Calder pour traduire le mouvement et représenter la lumière. Plus de 200 œuvres et 150 artistes, parmi lesquels Julio Le Parc, Ann Veronica Janssens, Olafur Eliasson, Anish Kapoor, Jesus Rafael Soto, Carlos Cruz-Diez, François Morellet, Jean Tinguely, Victor Vasarely..., sont représentés dans cet ouvrage. (source : éditeur)[-]

Tirage papier imprimé par AFnor le 24 avril 2015 pour ESA avec l'autorisation de l'éditeur AFNOR.
La présente Norme européenne prescrit les exigences d'éclairage vis-à-vis des personnes présentes sur des lieux de travail intérieurs, qui permettront de satisfaire aux besoins de confort visuel et de performance visuelle des personnes dont la capacité ophtalmique (visuelle) est normale. Toutes les tâches visuelles courantes sont considérées, y compris le travail sur un équipement de visualisation (DSE). La présente Norme européenne spécifie les exigences concernant la quantité et la qualité d'éclairage des solutions d'éclairage pour la plupart des lieux de travail intérieurs et leurs zones associées. Des recommandations de bonne pratique de l'éclairage sont données en complément. Bien que les exigences en matière d'éclairage, spécifiées dans la présente Norme européenne, satisfassent de manière générale aux exigences de sécurité, la présente Norme européenne ne comporte pas d'exigences relatives à l'éclairage en rapport avec la santé et la sécurité des personnes présentes sur les lieux de travail et n'entre pas dans le domaine d'application de l'Article 153 du Traité de l'Union Européenne. Les exigences en matière d'éclairage relatives à la sécurité et à la santé des travailleurs peuvent être contenues dans des directives basées sur l'Article 153 du Traité de l'Union Européenne, dans des législations nationales mettant en oeuvre ces directives ou dans d'autres dispositions réglementaires nationales des États membres. La présente Norme européenne ne vise pas fournir des solutions spécifiques, ni à restreindre la liberté d'innovation dans l'exploration de nouvelles techniques, ni de restreindre l'utilisation d'équipements innovants. L'éclairage peut être fourni par la lumière de jour, un éclairage artificiel ou une combinaison des deux. La présente Norme européenne ne s'applique pas à l'éclairage des lieux de travail extérieurs et des exploitations minières souterraines ni à l'éclairage de secours.Sommaire consultable en ligne sur le site www.boutique.afnor.org[-]

Catalogue d'une exposition consacrée à la série skyspaces de James Turrell au Zentrum für Internationale Lichtkunst (International Light Center) à Unna en Allemagne. L'artiste y a réalisé le dernier opus de la série des Skyspaces : "Third Breath 2005", un bâtiment permanent de 14 mètres de haut composé de deux structures superposées, relié au musée par un tunnel et offrant une perception du ciel différente des skyspaces déjà réalisés au Texas ou en Californie, car, outre les spécificités locales de la lumière, ce skyspace utilise aussi le concept de camera obscura. Les Skyspaces renvoient tous au Roden Crater Project, travail entrepris dès 1974, à partir de l'ancien cratère de volcan dans le désert de l'Arizona où Turrell a installé un observatoire. L'exposition à Unna présente la première animation numérique interactive du Roden Crater Project et la recréation de Alien Exam. [-]

Cet ouvrage traite du symbolisme des ombres et du traitement de la lumière par les grands maitres de la peinture, de la conception et de la mise en oeuvre géométrique et technique des espaces scéniques, des différentes utilisations des sources de lumière en fonction des rendus désirés qui vont accentuer chez le spectateur les sensations et émotions voulues par l'auteur et le metteur en scène.Il sse conclut par une étude de cas. Principes généraux de scénographie - L'espace et la lumière - Géométrie appliquée à la scénographie - Effets de lumière au théâtre - ex. : les noces de Figaro dans les décors d'Ezio Frigerio[-]

L'ouvrage retrace les deux workshop conçu et conduit par l'artiste Nathalie Junod-Ponsard, à Helsinki et à Paris en 2009 suivis d'expositions. Il a rasemblé douze étudiants de l'E.N.S.A.D. de Paris, de la TaiK et de la TeaK d'Helsinki. L'objectif pédagogique était de concevoir et de réaliser des installations artistiques en utilisant la lumière comme médium pour modifier la perception de l'espace en utilisant une grande variété d'outils de matériaux techniques.[-]