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Documents GRAND PARIS 5 résultats

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- 115 p.
Cote : 9(44P)-PEY
68 nouvelles gares verront le jour en Île-de-France avec la réalisation du Grand Paris Express. Ce sont autant de quartiers qui seront transformés et qui donneront place à des projets d'aménagement urbain, paysagers et immobiliers plus mixtes et plus verts. Le Grand Paris est une opportunité de repenser notre façon d'habiter en ville et de faire émerger un cadre de vie plus sobre, plus durable et plus beau en réponse aux enjeux sociétaux, écologiques et économiques de notre époque.[-]
68 nouvelles gares verront le jour en Île-de-France avec la réalisation du Grand Paris Express. Ce sont autant de quartiers qui seront transformés et qui donneront place à des projets d'aménagement urbain, paysagers et immobiliers plus mixtes et plus verts. Le Grand Paris est une opportunité de repenser notre façon d'habiter en ville et de faire émerger un cadre de vie plus sobre, plus durable et plus beau en réponse aux enjeux sociétaux, ...[+]

AMENAGEMENT DU TERRITOIRE ; ILE-DE-FRANCE ; GRAND PARIS

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y
- 273 p.
Cote : 711_42 (4)-CUL
Le village du Plessis-Robinson connaît l'engouement des Parisiens qui, à partir de 1848, viennent en foule fréquenter les guinguettes et leurs cabanes perchées dans les branches de grands châtaigniers.

Quelques années plus tard, la ville accueille de nombreux habitants installés dans une cité-jardin dotée d'une colonie d'artistes russes.

Dans les années 1950-1970, la ville se densifie puis, à partir de 1980, elle entame une profonde mutation urbaine qui illustre une nouvelle manière de penser la ville basée sur la mixité et la création de rues et de places dans la tradition européenne. François Spoerry, fondateur de cités lacustres, dont Port-Grimaud, et promoteur de l'architecture douce, donne l'esprit de cette entreprise de reconquête urbaine unique en France.

Ce livre s'inscrit dans la collection « Grand Paris » dédiée à l'Art Nouveau et à l'Art Déco à Paris et dans les villes de la région parisienne.[-]
Le village du Plessis-Robinson connaît l'engouement des Parisiens qui, à partir de 1848, viennent en foule fréquenter les guinguettes et leurs cabanes perchées dans les branches de grands châtaigniers.

Quelques années plus tard, la ville accueille de nombreux habitants installés dans une cité-jardin dotée d'une colonie d'artistes russes.

Dans les années 1950-1970, la ville se densifie puis, à partir de 1980, elle entame une profonde mutation ...[+]

PLESSIS-ROBINSON ; CITE-JARDIN ; GRAND PARIS ; ART NOUVEAU ; ART DECO

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y
- n° 324 - 130 p.
Si l'homme est né dans la nature, la vie moderne le contraint à évoluer de boîtes en boîtes. Pour mener ses activités et se protéger des variations climatiques, il passe d'un abri à l'autre, véhicule, école ou bureau, espace culturel ou de consommation, domicile ou hôtel… Chacun de ces contenants fait l'objet de grandes attentions, tel le végétal qui s'adapte à son environnement, se plie aux conditions du lieu pour s'y installer durablement. C'est la réponse que l'on attend aujourd'hui des architectes, ces « jardiniers » du monde bâti : savoir planter racines sur le bon site. Que leur implantation soit urbaine ou rurale, les galeries d'art créent une dynamique d'échanges dont l'influence se développe en rhizome (p. 8). Si elles renaissent d'un amas de ruines, elles ouvrent des portes aussi immenses que peut l'être leur ambition d'accueillir de vastes publics. A l'intérieur, le modèle végétal prodigue encore ses bienfaits. Dans la nécessaire entreprise de purification de l'air, il neutralise des polluants invasifs ou entre dans la composition d'un matériau de finition plus sain (p. 27). Au Salon de Milan, le mobilier est avant tout rationnel ; il se présente dans le plus simple appareil, élagué de détails inutiles, sans signature ostentatoire (p. 22). Cette dernière s'efface devant l'évidence du matériau et de l'usage, offrant une lecture simple, immédiate. Symbolique mais prégnante, la forêt s'érige dans les intérieurs à la manière d'un appel inéluctable qui serait bien capable d'alimenter un nouveau mythe.[-]
Si l'homme est né dans la nature, la vie moderne le contraint à évoluer de boîtes en boîtes. Pour mener ses activités et se protéger des variations climatiques, il passe d'un abri à l'autre, véhicule, école ou bureau, espace culturel ou de consommation, domicile ou hôtel… Chacun de ces contenants fait l'objet de grandes attentions, tel le végétal qui s'adapte à son environnement, se plie aux conditions du lieu pour s'y installer durablement. ...[+]

HABITAT INDIVIDUEL ; GALERIE D'ART ; ITALIE ; MILAN ; MENDINI (ALESSANDRO) ; ECLAIRAGE ; ARCHITECTE D'INTERIEUR ; QUALITE DE L'AIR INTERIEUR ; PESCE (GAETANO) ; GRAND PARIS ; JAQUE (ANDRES) ; JAPON ; FUKUSHIMA ; IGARASHI (JUN) ; FRANCE ; 34 HERAULT ; BARRAULT PRESSACC0 ARCHITECTES ; EXTENSION DE BATIMENT ; ALLEMAGNE ; ESPAGNE ; TOULOUSE ; ROYAUME-UNI ; AUBERGE DE JEUNESSE ; CHINE ; REHABILITATION DE BATIMENT ; PETITDIDIERPRIOUX ; INDE ; RESIDENCE UNIVERSITAIRE ; MEXIQUE ; VIETNAM ; BATIMENT HOTELIER

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- n° N°323 - 122 p.
Une capitale pour l'homme et pour le monde, la renaissance de mille et un bonheurs parisiens, la Seine comme avenue reliant la place de la Concorde au Havre… voilà quelques-uns des scénarios imaginés pour le Grand Paris en 2007. Une décennie plus tard, ces futurs évanouis sont remplacés par un supermétro qui servira huit millions de voyageurs. Evanouis avec eux, les débats byzantins sur le périmètre et la gouvernance de la métropole. La « mobilité » est au cœur du projet. Pour la modique somme de 36 à 42 Mds €, cinq lignes seront construites. Avec l'extension des lignes existantes, la métropole se dotera de nouvelles centralités… qui renforceront celles existantes, comme la ligne E, faisant de Chelles et Mantes-la-Jolie un faubourg de La Défense. Des experts parmi les plus avertis doutent de la prophétie autoréalisatrice qui voudrait que l'ouverture d'une gare provoque une polarité apte à limiter l'étalement urbain.

Ces stations pourraient même l'augmenter dans leur périmètre, objectent-ils, le prix du foncier, la qualité des biens proposés, les services… restant pour les habitants aussi déterminants que l'accès.

Sur cette question se joue une partie de l'avenir de plus de 300 nouveaux quartiers en développement. L'autre partie tient à leur forme, qui reste insaisissable. Reflet d'une époque, ces projets urbains partagent sans doute les mêmes objectifs de durabilité et de conscience environnementale qu'ils ne manqueront pas de revendiquer ; ils s'incarneront dans du néohaussmannien, du néorural et, peut-être, du néomoderne. Ils ont pour horizon commun la seule aubaine foncière. Où sont les projets suscitant le débat, tel Euralille en son temps, quoi que l'on pense de ce quartier ? Où est la pensée urbaine au-delà du fonctionnalisme ou de la grimace ? Reflet d'une époque où la gestion de projet et ses opérateurs l'emportent sur tout ? Signe de l'impossibilité d'une nouvelle utopie architecturale ?

Aux architectes restent les gares, cathédrales du Grand Paris, et éventuellement des places publiques - ont-ils demandé plus ?

Au XIXe siècle, l'opposition des fouriéristes aux saint-simoniens pouvait se résumer à une utopie des lieux - les phalanstères -contre une utopie des flux - les lignes de chemins de fer. Les flux l'emportent toujours, la boucle du supermétro constituant finalement le véritable monument de la mégapole, une Notre-Dame-des-Tunnels qui peine à nous transporter vers un avenir urbain radieux.[-]
Une capitale pour l'homme et pour le monde, la renaissance de mille et un bonheurs parisiens, la Seine comme avenue reliant la place de la Concorde au Havre… voilà quelques-uns des scénarios imaginés pour le Grand Paris en 2007. Une décennie plus tard, ces futurs évanouis sont remplacés par un supermétro qui servira huit millions de voyageurs. Evanouis avec eux, les débats byzantins sur le périmètre et la gouvernance de la métropole. La « ...[+]

MOBILITE ; GRAND PARIS ; ATOMIUM ; ANNEES 1990 ; 25 DOUBS ; VILLEURBANNE ; FRANCE ; BATIMENT SCOLAIRE ; TIERS-LIEU ; LOGEMENT ; 69 RHONE ; BATIMENT HOSPITALIER ; 13 BOUCHES-DU-RHONE ; PANTIN ; 93 SEINE-SAINT-DENIS ; CENTRE COMMERCIAL ; WILKINSONEYRE ARCHITECTS ; VIGUIER (JEAN-PAUL) ; GAUTRAND (MANUELLE) ; CHAREAU (PIERRE) ; ETATS-UNIS ; FENETRE ; BARDAGE ; CLAESSON KOIVISTO RUNE ARCHITECTS ; BRUNET & SAUNIER ; VMX.ARCHITECTS ; VENISSIEUX ; EXPOSITION ; BATIMENT DE BUREAUX

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Archiscopie - Mobilité et métropole | Archiscopie 22/04/2024 H

Sommaire de revue

- n° 34 - 128 p.
Dans les transports en commun, qu'ils soient aériens, en surface ou souterrains, l'outil numérique les transporte ailleurs. L'écran a remplacé la fenêtre et le hublot.
La mobilité convoque régulièrement la modernité. Après l'arrivée du chemin de fer qui, au XIXe siècle, a modifié la notion de porte de ville en rapprochant celle-ci du cœur de la cité avec les gares, le XXe siècle a accéléré les choses avec l'arrivée de l'avion, développant les hubs et autres malls d'aéroports. Visions utopiques ou projets construits, l'architecture joue là pleinement son rôle. Des dessins du jeune Antonio Sant'Elia pour une città nuova, en 1914, à la Lower Manhattan Expressway imaginé en 1970 par Paul Rudolph en passant par les mégastructures des métabolistes japonais dans les années 1960, la mobilité inspire sans cesse et pousse à aller plus loin dans la recherche de nouveaux concepts. Jusqu'à Christian de Portzamparc qui imagina, lors de la consultation internationale pour le Grand Paris en 2008, un nouveau métro aérien greffé en superstructure sur l'anneau du Périphérique. C'est dans la complexité de la ville que se joue la maîtrise des flux.
S'agissant du métro, si les architectes ont laissé leur empreinte sur les réseaux (Hector Guimard à Paris, Otto Wagner à Vienne, Harry Weese à Washington, Norman Foster à Bilbao…), ce sont les tunneliers géants des ingénieurs qui ont œuvré dans les strates de la ville devenue métropole. Ces engins qui, hier, ont réussi la percée du tunnel sous la Manche s'activent aujourd'hui dans les sous-sols de la périphérie parisienne pour construire le réseau du Grand Paris Express d'ici à 2030. Avec ses 200 kilomètres de lignes et ses 36 milliards d'euros d'investissements, ce plus grand chantier d'Europe, qui a déjà remporté le prix d'urbanisme de l'université Harvard, va sans nul doute changer la vie des dix millions de Franciliens qui habitent autour de Paris.
Depuis la profondeur jusqu'à la surface, la prouesse technique se double d'un défi architectural car il s'agit de créer de véritables lieux articulés avec l'espace public. Soixante-huit gares à terme, autant de quartiers de gare en perspective, autant de débats parfois clivants sur le devenir des périphéries. Entre rééquilibrage et résilience, la ville se cherche une issue de secours dans le tissu existant.
Autant d'enjeux mis en lumière par l'exposition “Métro ! Le Grand Paris en mouvement”, présentée dès novembre à la Cité de l'architecture et du patrimoine et accompagnée d'un cycle de conférences et de débats pendant six mois. Rappelons-nous que pour la première fois, en 1934, le Métropolitain sortait de Paris, par la ligne 9, pour rejoindre Boulogne-Billancourt. Aujourd'hui, la double boucle du Grand Paris Express se déploie autour de la capitale : un véritable changement d'échelle et de paradigme. Une nouvelle carte mentale se dessine.[-]
Dans les transports en commun, qu'ils soient aériens, en surface ou souterrains, l'outil numérique les transporte ailleurs. L'écran a remplacé la fenêtre et le hublot.
La mobilité convoque régulièrement la modernité. Après l'arrivée du chemin de fer qui, au XIXe siècle, a modifié la notion de porte de ville en rapprochant celle-ci du cœur de la cité avec les gares, le XXe siècle a accéléré les choses avec l'arrivée de l'avion, développant les ...[+]

METRO ; GRAND PARIS ; 75 PARIS ; METROPOLE ; MOBILITE

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