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Documents ROUCH (JEAN) 5 résultats

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Cote : V-DOC-ARTE-SEL
Le Musée du Quai Branly :"Du projet initial, porté par Jacques Kerchache, à la construction du bâtiment dessiné par Jean Nouvel et à la constitution des collections, le film retrace toutes les étapes de la création de cette nouvelle cité culturelle qui tente de redéfinir le regard que nous portons sur l'autre." (Arte)
Dogon, chronique d'une passion : "Depuis l'expédition Dakar-Djibouti menée en 1931 par Marcel Griaule et Michel Leiris, les ethnologues se passionnent pour la civilisation dogon. Ce peuple installé depuis le XVe siècle sur la falaise de Bandiagara, au Mali, commence à peine à livrer les secrets de sa culture et de sa cosmogonie. Exploitant de nombreux extraits de films et le savoir merveilleusement raconté de Germaine Dieterlen, Jean Rouch, Denise Paulme et Geneviève Calame-Griaule, Guy Seligman fait le point des connaissances sur l'un des peuples les plus mystérieux d'Afrique noire." (Arte)[-]
Le Musée du Quai Branly :"Du projet initial, porté par Jacques Kerchache, à la construction du bâtiment dessiné par Jean Nouvel et à la constitution des collections, le film retrace toutes les étapes de la création de cette nouvelle cité culturelle qui tente de redéfinir le regard que nous portons sur l'autre." (Arte)
Dogon, chronique d'une passion : "Depuis l'expédition Dakar-Djibouti menée en 1931 par Marcel Griaule et Michel Leiris, les ...[+]

BRANLY (QUAI) ; MUSEE ; ETHNOLOGIE ; AFRIQUE ; NOUVEL (JEAN) ; ROUCH (JEAN) ; DOGON ; MALI

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Cote : V-FIC-ROU
Jean Rouch raconte à Pierre-André Boutang, 104'.Dans ces presque deux heures d'entretiens inédits, tournés en 1992, le cinéaste raconte son itinéraire, enfance, apprentissage, le choc de la guerre de 1940, le départ pour l'Afrique, un peu par hasard, et puis la découverte d'un monde inouï, insoupçonné. À dater de 1942, Jean Rouch ne quittera plus le continent noir, ou alors, ce sera pour mieux y revenir. Adopté par l'Afrique, cet anthropologue, inspiré par les surréalistes, se met au cinéma: par cela, il fonde le septième art africain. A propos de Jean Rouch - Conversation B. Surugue - P. Leboutte, 28'.Vingt-huit minutes de conversation entre Patrick Leboutte et Bernard Surugue au sujet de Jean Rouch.Le double d'hier à rencontré demain, 10'.Film inédit de Bernard Surugue réalisé avec Jean Rouch à la veille de sa mort. Ce court film, qui mêle des éléments d'archives aux dernières images filmées de Rouch, évoque avec poésie la disparition du "griot blanc".Les veuves de quinze ans, 24'."Ce film est un essai sur les adolescentes de Paris en été 1964". En pleines années "yé-yé", Jean Rouch observe deux adolescentes parisiennes des beaux quartiers dans ce film très Nouvelle Vague que Rouch n'appréciait pas trop.[-]
Jean Rouch raconte à Pierre-André Boutang, 104'.Dans ces presque deux heures d'entretiens inédits, tournés en 1992, le cinéaste raconte son itinéraire, enfance, apprentissage, le choc de la guerre de 1940, le départ pour l'Afrique, un peu par hasard, et puis la découverte d'un monde inouï, insoupçonné. À dater de 1942, Jean Rouch ne quittera plus le continent noir, ou alors, ce sera pour mieux y revenir. Adopté par l'Afrique, cet anthropologue, ...[+]

AFRIQUE ; ETHNOLOGIE ; CINEMA-ART ; ROUCH (JEAN)

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Cote : V-FIC-ROU
« Jaguar» : Trois jeunes hommes (un berger, un pêcheur et un écrivain public) quittent la savane nigérienne pour le Ghana afin d'y chercher la richesse pour payer la dot nécessaire à leur mariage. Entre fiction, documentaire et commentaire social.« Moi un noir » : Portrait d'un groupe d'adolescents africains de Treichville, faubourg populaire d'Abidjan. Ils sont manoeuvres, journaliers, dockers. Nous les découvrons dans leur vie quotidienne, au travail bien sûr, mais aussi pendant leurs loisirs. Très influencés par les mythes du cinéma, ils se sont donné pour noms Eddie Constantine, Edward G. Robinson, Tarzan,...[-]
« Jaguar» : Trois jeunes hommes (un berger, un pêcheur et un écrivain public) quittent la savane nigérienne pour le Ghana afin d'y chercher la richesse pour payer la dot nécessaire à leur mariage. Entre fiction, documentaire et commentaire social.« Moi un noir » : Portrait d'un groupe d'adolescents africains de Treichville, faubourg populaire d'Abidjan. Ils sont manoeuvres, journaliers, dockers. Nous les découvrons dans leur vie quotidienne, au ...[+]

AFRIQUE ; ROUCH (JEAN) ; ABIDJAN ; GHANA ; MODE DE VIE ; MIGRATION

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Cote : V-DOC-ROU
"Les Maîtres fous" de 1956, 28' : évoque une cérémonie de possession de la secte des Haoukas. Les dieux invoqués ici pour prendre possession des adeptes ne sont plus des dieux traditionnels, mais des fétiches occidentaux issus du colonialisme: locomotives, soldats, gouverneur. Au-delà de sa valeur ethnographique intrinsèque, ce film aux images fortes vaut donc aussi pour le miroir qu'il nous tend, pour son regard sur les colonisateurs blancs à travers les yeux de l'Afrique colonisée.« Mammy Water » de 1956, 18' : Dans une communauté de pêcheurs le long du Golfe de Guinée, la pêche est mauvaise. Au moyen de cérémonies et d'incantations, les habitants essaient de s'attacher les faveurs de dieux de la mer.« Les tambours d'avant / Tourou et Bitti » de 1967, 9' : Une danse de possession se déroule dans une concession au Niger. Lors de cette fête, où les participants demandent au génie de la brousse de protéger les récoltes contre les sauterelles, les tambours archaïques Tourou et Bitti vont résonner."La chasse au lion à l'arc" de 1967, 77' et "Un lion nommé l'Américain" de 1972, 20' : Tourné à la frontière du Niger et du Mali, au "pays de nulle part", au pays du désert et de la brousse, où vivent les Gaos, chasseurs de lion à l'arc. Les chasseurs Songhay , une caste héréditaire, ont seuls le droit de tuer le lion. Les bergers ne peuvent que lui lancer des pierres pour le faire fuir. Les Peul estiment que le lion est nécessaire au troupeau, et ils savent identifier chaque lion à ses traces. Mais, quand un lion tue trop de bœufs, il faut le supprimer, parce que c'est un lion tueur » (J. Rouch).[-]
"Les Maîtres fous" de 1956, 28' : évoque une cérémonie de possession de la secte des Haoukas. Les dieux invoqués ici pour prendre possession des adeptes ne sont plus des dieux traditionnels, mais des fétiches occidentaux issus du colonialisme: locomotives, soldats, gouverneur. Au-delà de sa valeur ethnographique intrinsèque, ce film aux images fortes vaut donc aussi pour le miroir qu'il nous tend, pour son regard sur les colonisateurs blancs à ...[+]

AFRIQUE ; ROUCH (JEAN) ; ETHNOLOGIE ; RELIGION ; COLONIALISME

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Cote : V-DOC-IMA-ROU

"Philo Bregstein a suivi l'anthropologue et cinéaste Jean Rouch sur ses territoires : le musée de l'Homme à Paris et l'institut de recherches en sciences humaines à Niamey, au Niger, où il a créé un secteur cinéma. Rouch rappelle quelques-uns de ses principes - la caméra, par exemple, ne doit pas être cachée - et dit son amour pour ce pays où il est arrivé par hasard en 1941.

En Afrique, il a appris la patience, le temps sans montre, le temps sans la mort, le fleuve-miracle, le rire. Ses interprètes racontent leur rencontre avec lui. L'institut de Niamey a été pendant longtemps le seul lieu où il était possible de faire du cinéma au Niger. Un équipement complet et un fonctionnement très ouvert permettaient à des Nigériens d'horizons divers de réaliser des films. Pour un de ses élèves, Rouch dépasse l'ethnographie partagée, il fait un cinéma de participation. Ce documentaire, filmé à la va-vite, illustré par des extraits de ses films ("Chronique d'un été", "Cocorico Monsieur Poulet", "Moi un Noir") et de films de ses élèves africains, est un hommage à l'oeuvre de ce pionnier de la Nouvelle vague et de l'anthropologie visuelle. "
Dominique Villain CNC[-]

"Philo Bregstein a suivi l'anthropologue et cinéaste Jean Rouch sur ses territoires : le musée de l'Homme à Paris et l'institut de recherches en sciences humaines à Niamey, au Niger, où il a créé un secteur cinéma. Rouch rappelle quelques-uns de ses principes - la caméra, par exemple, ne doit pas être cachée - et dit son amour pour ce pays où il est arrivé par hasard en 1941.

En Afrique, il a appris la patience, le temps sans montre, le temps ...[+]

ROUCH (JEAN) ; CINEMA-ART ; NIAMEY

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