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Documents Simon Philippe 7 résultats

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Cote : R-CNC-IMA-SIM
"Qu'est-ce qu'enregistrer le réel et comment le faire ?" questionne l'artiste Patrick Tosani à propos de ses photographies grand format. Dans ce film court, il analyse avec précision les processus de fabrication technique et matérielle de l'image (élaboration du cadrage, étude de l'éclairage, choix de la texture du papier), qui vont permettre de décontextualiser les objets photographiés et de révéler avec objectivité leur présence au monde.

De série en série, Patrick Tosani livre les éléments constitutifs de son travail : petites figurines de maquette emprisonnées dans la glace et comme figées dans le mouvement, crânes vus du dessus faisant apparaître la chevelure comme une simple perruque, ongles rongés en gros plan, etc. Dans la série "Portraits" (1985), où des signes d'écriture braille s'inscrivent en creux et en relief sur des portraits presque flous, il interroge le sens de la vision et du tactile. Dans "Talons" (1987), il ne retient que l'objectivité du réel : les talons aiguilles, cadrés en plan moyen, deviennent les images monumentales de petits objets. Dans la série "Cuillères" (1988), il restitue une aura à un objet pourtant banal : la partie supérieure d'une cuillère, recadrée en gros plan frontal ; malgré les stries réalistes qui en indiquent l'usure, la forme hiératique de l'objet et l'immobilité de la photographie l'élèvent au rang d'icône. "
Annick Spay CNC[-]
"Qu'est-ce qu'enregistrer le réel et comment le faire ?" questionne l'artiste Patrick Tosani à propos de ses photographies grand format. Dans ce film court, il analyse avec précision les processus de fabrication technique et matérielle de l'image (élaboration du cadrage, étude de l'éclairage, choix de la texture du papier), qui vont permettre de décontextualiser les objets photographiés et de révéler avec objectivité leur présence au monde.

De ...[+]

TOSANI (PATRICK), DESA ; IMAGE ; PHOTOGRAPHIE

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Cote : R-CNC-IMA-SCH
"L'art dans la ville a un usage : il est public ! Dans les années 80, la relance de la politique de commande publique a multiplié les installations d'oeuvres. A quoi servent-elles ? Probablement à embellir la ville, à révéler un environnement proche, mais aussi à réapprendre à partager une expérience d'ordre esthétique. Si la mémoire collective se les approprie, c'est gagné ! Parmi les commandes entièrement financées par l'Etat, "Les Deux plateaux" de Daniel Buren au Palais-Royal en 1986. L'artiste dialogue ici avec un lieu chargé d'histoire ; il crée un maillage au sol dicté par l'alignement des colonnes de la galerie d'Orléans et place au centre de chaque carré de la trame, une colonne tronquée. Ici l'art questionne et dérange, mais son utilisation comme aire de jeu dénoue toute agressivité. Le succès de ces réalisations suscite une forte émulation : les commandes publiques cofinancées par l'Etat et les villes se multiplient. A Strasbourg, l'itinéraire du tramway créé en 1994 intègre les oeuvres d'artistes qui, de Mario Merz à l'Oulipo, évoquent l'histoire de la ville. Ni décoratives, ni monumentales, elles intriguent plutôt par leur contenu.

A la fin des années 50, voitures, machines à laver, télévisions, etc., débarquent dans tous les foyers. La production industrielle empile les objets dans les supermarchés. Les artistes du Nouveau Réalisme et ceux du Pop art célèbrent, parfois sans la contester, cette culture de la consommation : sculpture-assemblage d'objets, réappropriation des stéréotypes pour la création de nouvelles images...
En 1960 César invente la "compression", un parallèlépipède de ferraille résultant d'une voiture broyée par une presse ; il lui confère le statut d'oeuvre d'art. En 1959, Arman expose ses "Poubelles", une accumulation de détritus trouvés dans la rue, placés dans des boîtes aux parois vitrées. Ces "Accumulations" de déchets ou d'objets en série mettent en scène sur un mode ironique les relations que notre société d'abondance entretient avec le monde industriel. Claes Oldenburg transpose des objets usuels dans des matériaux inhabituels : il donne à voir et à toucher un quotidien devenu fantastique. Ces dernières années, le rêve d'une prospérité pour tous s'est effondré. Dans ses "Tableaux vivants", Gloria Friedmann rend compte des conséquences d'une industrialisation forcenée : chômage, pollution... (CNC. Annick Spay)[-]
"L'art dans la ville a un usage : il est public ! Dans les années 80, la relance de la politique de commande publique a multiplié les installations d'oeuvres. A quoi servent-elles ? Probablement à embellir la ville, à révéler un environnement proche, mais aussi à réapprendre à partager une expérience d'ordre esthétique. Si la mémoire collective se les approprie, c'est gagné ! Parmi les commandes entièrement financées par l'Etat, "Les Deux ...[+]

ART URBAIN ; COMMANDE PUBLIQUE ; ESPACE PUBLIC

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- 303 p.
Cote : 728_03(44)-ELE
Ce livre propose un bilan de l'habitation en France entre 1995 et 2012. Les auteurs analysent les dispositifs spatiaux utilisés par les architectes pour tenir compte à la fois des nouvelles façons de vivre, des réglementations récentes et des nouvelles façons de penser l'environnement. Les thèmes étudiés associent espaces et usages : organisation du logement et de ses espaces extérieurs, cuisine ouverte ou fermée, mixité sociale, adaptation aux normes en tous genres, mise en scène de l'identité, lieux pensés pour accueillir la cohabitation et rêveries sur le futur...[-]
Ce livre propose un bilan de l'habitation en France entre 1995 et 2012. Les auteurs analysent les dispositifs spatiaux utilisés par les architectes pour tenir compte à la fois des nouvelles façons de vivre, des réglementations récentes et des nouvelles façons de penser l'environnement. Les thèmes étudiés associent espaces et usages : organisation du logement et de ses espaces extérieurs, cuisine ouverte ou fermée, mixité sociale, adaptation ...[+]

BATIMENT D'HABITATION COLLECTIF ; BATIMENT D'HABITATION SEMI-COLLECTIF ; APPARTEMENT ; SOCIOLOGIE DE L'HABITAT ; ORGANISATION DE L'ESPACE INTERIEUR ; LOGEMENT ; ANNEES 1990 ; ANNEES 2000 ; MIXITE SOCIALE

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- 292 p.
Cote : 9(44P)-SIM
L'histoire croisée de Paris et des techniques, présentées par ordre alphabétique (A comme Alignement, B comme Bains publics, C comme Cirque, ...)

HISTOIRE DES SCIENCES ET TECHNIQUES ; 75 PARIS

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- 136 p.
Cote : 9(44P)-ARS
En quatre chapitres : les activités, les équipements, l'habitat, les quartiers, le catalogue traite de la reconversion de nombreux bâtiments au cours des années 1990: hangars et entrepôts,gares, gare du Nord, gares de la petite ceinture, gare d'Orsay, viaduc Daumesnil, les hôtels particuliers, magasins, cinémas, hotels particuliers, (musée d'art et d'hitoire du judaïsme, etc...

75 PARIS ; RECONVERSION DE BATIMENT ; REHABILITATION DE BATIMENT ; AMELIORATION DE L'HABITAT ; POLITIQUE DE L'ARCHITECTURE ; ANNEES 1990

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y
- 127p.
Cote : 69_059-SIM
L'addition d'une architecture nouvelle sur un bâtiment existant est une forme de construction qui, dans une ville déjà constituée, représente une grande part de la commande parisienne.
Qu'il s'agisse de construire dessus, dessous ou à côté... la ville se constituent par ces interventions qui peuvent être autant discrètes et modestes, que visibles et discursives.
Cet ouvrage présente les 50 opérations parisiennes qui figurent dans l'exposition et qui illustrent un des processus de fabrication de la ville.'(Pavillon de l'(Arsenal)[-]
L'addition d'une architecture nouvelle sur un bâtiment existant est une forme de construction qui, dans une ville déjà constituée, représente une grande part de la commande parisienne.
Qu'il s'agisse de construire dessus, dessous ou à côté... la ville se constituent par ces interventions qui peuvent être autant discrètes et modestes, que visibles et discursives.
Cet ouvrage présente les 50 opérations parisiennes qui figurent dans l'exposition et ...[+]

SURELEVATION ; BADIA (MARIE-HELENE) ; BERGER (DIDIER) ; BERI (MARC) ; BIGOT (DIDIER) ; BOISMENU (OLIVIER DE) ; BOUCHEZ (GILLES) ; BRENAC (OLIVIER) ; CARRIE (BENOIT), ESA ENSEIGNANT ; CHASSAIS (J.-L) ; CHAVANNES (PATRICK) ; CHEMETOV (PAUL) ; CIRIANI (HENRI-EDOUARD) ; CLARIS (DANIEL) ; COLOMBIER (PATRICK) ; DAMON (DANIELE) ; DEGEIH (DOMINIQUE) ; DESMOULIN (BERNARD) ; DROUIN (OLIVIER) ; SOLER (FRANCIS) ; DUTHILLEUL (JEAN-MARIE) ; EUSTACHE (GUILHEM) ; EXTENSION DE BATIMENT ; FALOCI (PIERRE-LOUIS) ; GAZEAU (PHILIPPE) ; GIACINTO (JEAN DE) ; GOBERT (PATRICE) ; GONZALEZ (XAVIER) ; GRANVEAUD (PIERRE) ; GRUMBACH (ANTOINE) ; HAMMOUTENE (FRANCK) ; HEYM (ANDREAS) ; HUIDOBRO (BORJA) ; JODRY (JEAN-FRANCOIS) ; JUNG (FREDERIC) ; KOSMI (BRIGIT DE) ; LACOUDRE (JEAN-BAPTISTE) ; LAZO (ANTONIO) ; LEBOUCQ (PATRICIA) ; LION (YVES) ; LOISIER (ALAIN) ; LONG (GILBERT) ; MAATOUK (DANIELE) ; MACARY (MICHEL) ; MAURIOS (GEORGES) ; MORGOULIS (CATHERINE) ; MURE (EDOUARD) ; PEI (IEOH MING) ; PERESSETCHENSKY (GEORGES) ; PIANO (RENZO) ; PORTZAMPARC (CHRISTIAN DE) ; RIHN (ALAIN) ; RIPAULT (JACQUES) ; ROSE (THIERRY) ; ROUSSELOT (CHRISTINE) ; SCHMIT (JEAN-FRANCOIS) ; TANIER (PHILIPPE) ; TOUSSAINT (LAURENT) ; TOUYA (CATHERINE) ; TRICAUD (ETIENNE) ; TURENNE (PATRICE DE) ; VIGUIER (JEAN-PAUL) ; WILMOTTE (JEAN-MICHEL) ; YEDID (ADAM) ; DUFAY (ETIENNE)

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