En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documents Faces (Journal d'Architecture) 13 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
P Q

1
Institut d'architecture de l'Université de Genève
Route de Drize 7
CH 1227
Carouge Genève
Suisse


Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
vol. 0 - n° N° 79 été 2021 0258-6800 - 57 p.
Le sol comme mesure du pas
L'architecture d'un sol commun
L'habitat d'utilité publique dans la Suisse de l'entre-deux guerres
L'architecture des sols
Ni ici ni ailleurs ? survol des territoires en lutte (Zone à défendre, occupations militantes, Besançon, Vaïtes, Dijon, Verneuil-sur-Seine, TEP Ménilmontant, NIMBY et NIABY, désobeissance civile.)
Aménagement de la Place de Champel (Bureau, Daniel Zamarbide) et projet 7000 oaks
Ensemble Stapferhaus, Bahnhof Süd. Lenzbourg, pool Architekten
Hommage Souvenir de Luigi Snozzi
Archive : le projet de Luigi Snozzi pour la maison commune et l'école de San Nazzaro
Dossier pédagogique : le séminaire comme outil de projet[-]
Le sol comme mesure du pas
L'architecture d'un sol commun
L'habitat d'utilité publique dans la Suisse de l'entre-deux guerres
L'architecture des sols
Ni ici ni ailleurs ? survol des territoires en lutte (Zone à défendre, occupations militantes, Besançon, Vaïtes, Dijon, Verneuil-sur-Seine, TEP Ménilmontant, NIMBY et NIABY, désobeissance civile.)
Aménagement de la Place de Champel (Bureau, Daniel Zamarbide) et projet 7000 oaks
Ensemble St...[+]

SNOZZI (LUIGI) ; MOUVEMENT SOCIAL ; LOGEMENT SOCIAL ; SUISSE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- 108 p.
Ce dossier de Faces revue de l' Iinstitut d'Architecture de l'Université de Genève, expose les difficultés que rencontre la sauvegarde du patrimoine moderne, et analyse de façon critique les procédés de valorisation, ou d'aliénation, du patrimoine bâti récent.

PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; VILLA CAVROIS ; LE HAVRE ; UNITE D'HABITATION ; REHABILITATION DE BATIMENT ; CIRIANI (HENRI-EDOUARD) ; FIRMINY ; RESTAURATION ; ENTRETIEN DES BATIMENTS ; BETON ARME ; TERRAGNI (GIUSEPPI) ; EGLISE ; PROUVE (JEAN) ; MAISON DU PEUPLE ; CLICHY ; LACATON & VASSAL ; GEIPEL & MICHELIN ; LIPSKY & ROLLET ; CASABLANCA

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 84 - 84 p.
Les numéros 83 et 84 de Faces sont consacrés aux thèmes du léger et du lourd. Ces deux notions entretiennent souvent un rapport d'antonymie et d'antinomie; elles signalent une opposition de deux propositions conceptuelles et pratiques entre lesquelles l'architecte doit en principe opter, en fonction du lieu, de la culture et de la tradition constructive dans lesquels il s'inscrit et en vertu de ses convictions esthétiques, techniques, économiques, politiques ou éthiques. Cette opposition en apporte quantité d'autres à sa suite, parmi lesquelles l'éphémère et le durable, le mobile et l'immobile, la liberté et la contrainte, le fragile et le solide.

Aujourd'hui, en raison des effets conjugués de l'explosion démographique, de l'épuisement des ressources naturelles et du changement climatique, ce rapport d'opposition, assez prédominant dans la pensée architecturale depuis la révolution industrielle, semble se complexifier. Une multitude de questions se posent quant au rôle et à la mission des architectes : construire ou ne pas construire, démolir ou transformer, faire appel à des matériaux constructifs hautement transformés, ou plus naturels et avec des filières plus courtes? L'idéologie moderniste, qui s'est souvent construite à rebours des notions péjoratives du lourd et du lent, se voit aujourd'hui contestée par la réintégration de notions telles que l'inertie, l'usure, la patine du temps, la trace ou la ruine. Prendre en compte la durabilité, c'est-à-dire le temps long, nous oblige également à apprécier différemment ce qui apparaît comme une nouvelle dualité entre les efficacités différentes du léger et du lourd, car, dans l'hybridation architecturale contemporaine, le lourd et le léger ne s'excluent pas nécessairement, peut-être même qu'ils se complètent.

Favoriser le lourd peut dénoter aujourd'hui une légèreté écologique insupportable collectivement. À l'inverse, préférer le léger peut alourdir considérablement la consommation énergétique. Dans l'un et l'autre cas, le parti pris engage immédiatement la responsabilité des architectes car il a un impact déterminant en matière d'inégalités sociales, à l'échelle locale comme globale.[-]
Les numéros 83 et 84 de Faces sont consacrés aux thèmes du léger et du lourd. Ces deux notions entretiennent souvent un rapport d'antonymie et d'antinomie; elles signalent une opposition de deux propositions conceptuelles et pratiques entre lesquelles l'architecte doit en principe opter, en fonction du lieu, de la culture et de la tradition constructive dans lesquels il s'inscrit et en vertu de ses convictions esthétiques, techniques, é...[+]

LEGER (FERNAND) ; FACADE LEGERE ; ARCHITECTURE ; REVUE D'ARCHITECTURE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 83 - 64 p.
Aujourd'hui, en raison des effets conjugués de l'explosion démographique, de l'épuisement des ressources naturelles et du changement climatique, ce rapport d'opposition, assez prédominant dans la pensée architecturale depuis la révolution industrielle, semble se complexifier. Une multitude de questions se posent quant au rôle et à la mission des architectes : construire ou ne pas construire, démolir ou transformer, faire appel à des matériaux constructifs hautement transformés, ou plus naturels et avec des filières plus courtes? L'idéologie moderniste, qui s'est souvent construite à rebours des notions péjoratives du lourd et du lent, se voit aujourd'hui contestée par la réintégration de notions telles que l'inertie, l'usure, la patine du temps, la trace ou la ruine. Prendre en compte la durabilité, c'est-à-dire le temps long, nous oblige également à apprécier différemment ce qui apparaît comme une nouvelle dualité entre les efficacités différentes du léger et du lourd, car, dans l'hybridation architecturale contemporaine, le lourd et le léger ne s'excluent pas nécessairement, peut-être même qu'ils se complètent.[-]
Aujourd'hui, en raison des effets conjugués de l'explosion démographique, de l'épuisement des ressources naturelles et du changement climatique, ce rapport d'opposition, assez prédominant dans la pensée architecturale depuis la révolution industrielle, semble se complexifier. Une multitude de questions se posent quant au rôle et à la mission des architectes : construire ou ne pas construire, démolir ou transformer, faire appel à des matériaux ...[+]

PREFABRICATION ; AFRIQUE-DU-SUD ; JOHANNESBOURG ; ZANUSO (MARCO) ; SUISSE ; GENEVE ; NEUCHATEL ; MUSEE ; MAISON INDIVIDUELLE ; BATIMENT D'HABITATION COLLECTIF

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° N°82 - 88 p.
Éditorial

Lectures en miroir
Catherine Dumont d'Ayot et Paolo Amaldi
Dossier

À propos de la réalité immanente de l'architecture
Bruno Reichlin, Martin Steinmann, traduit de l'allemand par Léo Biétry

La forme forte
Vers une architecture en deçà des signes
Martin Steinmann

L'architecture en tant que langage
« J'aimerais devenir comme celui qu'un autre a été un jour »
Martin Steinmann

Réponses à Martin Steinmann
Bruno Reichlin, traduit de l'italien par Emanuela Torchia

Essai sur la Stimmung – Pour Bruno Reichlin
Martin Steinmann, traduit de l'allemand par Léo Biétry

À travers le miroir
Bruno Reichlin, traduit de l'italien par Sophie Royère

Une lecture de Martin Steinmann
Jacques Lucan

Martin Steinmann – Échanges autour de « La manière de penser l'architecture »
Christian Sumi, traduit de l'allemand par Léo Biétry

Repérage

Un parfum de Méditerranée
Logements à Vandoeuvres, canton de Genève, 2012-2021, Nicola Braghieri et Barbara Tirone
Bruno Marchand[-]
Éditorial

Lectures en miroir
Catherine Dumont d'Ayot et Paolo Amaldi
Dossier

À propos de la réalité immanente de l'architecture
Bruno Reichlin, Martin Steinmann, traduit de l'allemand par Léo Biétry

La forme forte
Vers une architecture en deçà des signes
Martin Steinmann

L'architecture en tant que langage
« J'aimerais devenir comme celui qu'un autre a été un jour »
Martin Steinmann

Réponses à Martin Steinmann
Bruno Reichlin, traduit de ...[+]

ARCHITECTURE ; MEDITERRANEE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° N°81 automne 2022 - 71
Ce numéro de Faces sera consacré à un panorama de l'architecture de Suisse Romande et posera la question de savoir comment " habiter " ce territoire, comment bâtir des lieux en rapport au paysage.
Ce numéro de Faces sera consacré à un panorama de l'architecture en Suisse romande. Y sont traitées les questions de savoir comment "habiter" ce territoire, comment bâtir des lieux en rapport avec son paysage. Un texte de Jacques Gubler ouvre le bal des projets avec la célèbre "Villa Karma" d'Adolf Loos, à Clarens, alors qu'un article de Christian Sumi nous parle de l'innovation typologique et constructive de l'immeuble "Clarté" de Le Corbusier à Genève. Ces deux édifices illustrent, à eux seuls, le large spectre d'influences qui a pesé sur ce territoire depuis le début du XXe siècle et auquel se réfèrent les 25 objets contemporains présentés dans ce dossier.

Les bureaux invités dans ce numéro sont Aeby Perneger & Associés, Group 8, Jaccaud + Associés, Atelier Bonnet, Amaldi Neder, Pictet Broillet Architectes Associés, Philippe Meyer Architecte, BCMA architectes, meier + associés architectes, Lacroix Chessex, LRS Architects, Archiplein, FHV Architectes, bunq architectes, Bakker & Blanc architectes, MPH Architectes, Dreier Frenzel Architecture, Frundgallina, Fournier-Maccagnan Architecres, Local Architecture, Brauen Waelchli Architectes, Rapin Saiz Architectes, cheseauxrey associés, sylla widmann architectes, Deschenaux Architectes.[-]
Ce numéro de Faces sera consacré à un panorama de l'architecture de Suisse Romande et posera la question de savoir comment " habiter " ce territoire, comment bâtir des lieux en rapport au paysage.
Ce numéro de Faces sera consacré à un panorama de l'architecture en Suisse romande. Y sont traitées les questions de savoir comment "habiter" ce territoire, comment bâtir des lieux en rapport avec son paysage. Un texte de Jacques Gubler ouvre le bal ...[+]

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° N°80 hiver 2022 - - 56p. + 20p.
Journal d'architecture / Voisinage – Neighboring N°80 – Hiver 2021-2022
Le thème de ce numéro de Faces – qui fait écho au précédent, consacré à la notion d'espace partagé – couvre une notion à connotation sociologique : le voisinage. Dès sa formulation au Moyen Âge, le mot veisin – « celui qui demeure près d'un autre [1] » – nous interroge sur l'échelle du commun et sur les figures spatiales stabilisées pour penser la vie ensemble – remettant en jeu des notions comme quartier, ville, etc. Si vicus désigne en latin le quartier d'une ville ou d'un bourg, vicinus signifie « celui qui est du même bourg ». L'expérience du voisinage est donc une expérience de l'altérité dans la proximité, le voisin étant en même temps un étranger et un être familier.

Parler de voisinage impose une nouvelle façon d'appréhender la ville et d'en parler, à travers des approches multicritères, multiscalaires et multisensorielles. Il remet en cause un certain primat du visuel qui a marqué la planification par le haut de l'urbanisme des xixe et xxe siècles. On connaît la critique qu'adresse dans les années 1970 Henri Lefebvre à ce mode de représentation de l'urbain qui élimine « une grande partie des messages véhiculés par les sens ». Le sociologue français citait, dans La Production de l'espace, les études menées par Jane Jacobs au sujet de l'échec aux États-Unis des « city planning and rebuilding » et la destruction inhérente, dans cette planification sans rues, de la notion de « contact » et de « voisinage [2] ». Un monde fantasmé par l'image, qui est finalement « adversaire de l'imagination [3] ». Or, cette domination du visuel par la maîtrise du plan est un corollaire de la pensée abstraite, associée à un ordre que l'on pourrait définir comme « froid », fait de systèmes d'espaces pensés dans leur bonne succession et addition, suivant des principes de stricte répétition. C'est à cette conception additive et systématique de l'architecture que Candilis, Josic et Woods s'opposèrent, par exemple dans le célèbre projet d'extension de la ville d'Occitanie, Bagnols-sur-Cèze, à la fin des années 1950 [4].

Ce numéro de Faces s'intéresse à la dimension « chaude » et dispersive du vivre-ensemble, reposant sur les interactions, les frottements, les ambiguïtés des limites – leur floutage – mais aussi les « scènes de résistance ». Un « droit à la ville » fait d'appropriations habitantes et de réinventions des manières de coexister, posant à la fois des questions d'hospitalité et de demeure, de différences et de commun.

Cette pensée renouvelée du voisinage passe par un nécessaire changement de paradigme, en dépassant l'idée que pour « garantir » une bonne ville [5], il suffit d'affiner le calcul des flux, d'assurer l'accès fonctionnel et performant aux services, ou encore de mettre en place des cadres de vie « qualitatifs » répondant aux besoins des habitants. Autant d'éléments d'un arsenal notionnel positiviste, lié aux façonnages de nos vies et nos désirs imposés par le capitalisme tardif de type émotionnel qui vise à réduire nos angoisses, mais qui nous vient de plus loin, à savoir des théories comportementalistes des années 1950. Dans les écrits des sociologues urbains des années 1930 à Chicago, la théorie de l'accommodation rend compte des formes de voisinage avec une attention particulière à l'expérience du migrant, à la place accordée à l'étranger, aux rapports complexes entre anonymat et familiarité, aux tensions qui naissent et aux dispositifs médiatiques, techniques, architecturaux qui permettent de demeurer ensemble et de faire société. Dans les sociologies des luttes urbaines, celles que contribue à fonder Lefebvre, on déplace le regard vers les mobilisations collectives. Jane Jacobs, entre autres, poursuivra l'étude d'une ville à partir de la dynamique de proximité, nous permettant de penser l'urbanisme à partir de ses effets politiques, son pouvoir d'émancipation et d'oppression sur le quotidien des habitant•e•s. L'un dans l'autre, le regard se porte moins sur l'établissement scrupuleux des programmes et des bonnes formes que sur les processus et les médiations, les immersions et les marges de manœuvre. Ce numéro de Faces veut essayer de montrer comment le repli sur la variété des programmes et des gabarits – qui ne fait que perpétuer la domination de la vue sur la pensée de la diversité – ne suffit plus à définir le lieu physique où se jouent les coexistences ; il faut retrouver les autres sens et épaissir l'espace et les limites : retourner à la dialectique guattaro-deleuzienne du striage et du lissage.

Les outils pour penser l'échelle de l'expérience sont plus proches, nous semble-t-il, de l'anthropologie et de la sociologie. Il n'y a pas d'espace collectif sans un réglage des coexistences qui passe par les langues et les rituels, les règles et les familiarités, où se façonnent les formes fragiles et difficilement codifiables des voisinages. Si l'architecture et la ville sont une affaire d'assemblage, c'est parce qu'elles ouvrent des « espacements », des interstices, des tensions, des limites épaisses, bref : des espaces de voisinage et de médiation entre sphère publique et sphère privée ; on pourrait associer cette recherche à l'art du collage, qui exprime cette capacité à faire coexister des entités hétérogènes. Dès lors l'espace du voisinage serait, peut-être, le lieu d'un possible qui échappe précisément à toute planification ou précision du dessin. Comment le penser ?



[1] Geoffroi Gaimar, Histoire des Anglais, A. Bell, v. 5964 (vers 1140), cité par le Trésor de la langue française.

[2] Henri Lefebvre, La Production de l'espace [1974], Anthropos, Paris, 2000, p. 420.

[3] Ibid., p. 416.

[4] C'est dans cette ville qu'eut lieu, en 1960, le premier congrès du Team X, en remplacement des CIAM qui venaient de s'achever.

[5] Marc Breviglieri, « Une brèche critique dans la “ville garantie” ? Espaces intercalaires et architectures d'usage », in Cogato-Lanza, Pattaroni, Piraud, Tirone, De la différence urbaine. Le quartier des Grottes, Genève, MētisPress, pp. 213-236, 2013[-]
Journal d'architecture / Voisinage – Neighboring N°80 – Hiver 2021-2022
Le thème de ce numéro de Faces – qui fait écho au précédent, consacré à la notion d'espace partagé – couvre une notion à connotation sociologique : le voisinage. Dès sa formulation au Moyen Âge, le mot veisin – « celui qui demeure près d'un autre [1] » – nous interroge sur l'échelle du commun et sur les figures spatiales stabilisées pour penser la vie ensemble – remettant en ...[+]

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° N°78 automne 2020 - 72 p.
Extrait de l'édito (Paolo Amaldi red. en chef): "Le propre d'une telle architecture amodale, « non assertive » et non dogmatique – selon les termes de Roland Barthes – est de réagir très localement, ici à une trace au sol, là à un muret d'époque, là encore à un tracé parcellaire, de profiter d'une échappée visuelle selon un angle de vue, d'une lumière rasante particulière de journée finissante ou de répondre ponctuellement à un cheminement piéton préexistant. Nous parlons de phénomènes parfois passagers, ou aléatoires, qui viennent précisément moduler un ordre répétitif car, pour reprendre la belle expression de Jean-Luc Godard : « C'est en faisant des gammes que l'on attrape l'émotion. » Les nouveaux espaces amodaux sont ceux qui réagissent à ces micro-contextualismes, qui sont prêts à être altérés par la simple occupation de ses habitants."
Extrait du Sommaire
Éditorial
La trame du réel / Mapping reality Paolo Amaldi
Dossier
Le neutre, variations sans thème Ido Avissar, guest editor
Spogliarsi à guisa de i serpi (Se dépouiller à la manière des serpents) Pier Paolo Tamburelli
Brève rencontre dans un monde post-utilitaire… Lars Lerup
Neutral Frame Brève anthologie sur le silence et le vide dans la musique et l'architecture nord-américaines des années 1950-1960 Jules-Valentin Boucher
La physicalité comme posture neutre? [peer-review] Alice Galligo
«Supersuperficie», le statut neutre de l'architecture contemporaine [peer-review] Giovanni Conca
Vers une architecture a-typologique Umberto Napolitano, Marc-Antoine Durand

Repérages
Architecture amodale / Amodal architecture Paolo Amaldi
Qu'est-ce qu'une « architecture diagramme»? Entre l'objet et le processus: autour de la pratique de Kazuyo Sejima [peer-review] Justyna Morawska
Formes d'appropriation Geistlich Areal. Logements au Rietpark, Schlieren, 2017-2020, E2A Isabel Concheiro
La coursive comme théâtre en plein air L'école élémentaire Koyasu, Yokohama, Japon, 2018, Riken Yamamoto Sota Kimura
Un mirador tout confort La tour Opale, immeuble mixte de grande hauteur à Genève, Lacaton & Vassal Tarramo Broennimann
La force du réel Musée cantonal des Beaux-Arts, Lausanne, 2011-2019, Estudio Barozzi Veiga, Philippe Meier
Narration à partir d'une simple expression Langgrütstrasse 107, Zurich, Gus Wüstemann Architecte, Philippe Meyer
Un musée dans une maison, une maison dans un musée Maison pour un collectionneur, Combray, France, 2011-2013, Éric Lapierre Adrien Besson [-]
Extrait de l'édito (Paolo Amaldi red. en chef): "Le propre d'une telle architecture amodale, « non assertive » et non dogmatique – selon les termes de Roland Barthes – est de réagir très localement, ici à une trace au sol, là à un muret d'époque, là encore à un tracé parcellaire, de profiter d'une échappée visuelle selon un angle de vue, d'une lumière rasante particulière de journée finissante ou de répondre ponctuellement à un cheminement ...[+]

THEORIE DE L'ARCHITECTURE ; CRITIQUE ARCHITECTURALE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° N°77 printemps 2020
SOMMAIRE
L'ordre vital,The Vital Order,Paolo Amaldi

L'ornement, ou le rire de Dionysos
Philippe Potié, guest editor

De la décoration par les ombres : la pensée picturale d'Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, Laura Trazic

Gottfried Semper face au Crystal Palace : le Stoffwechsel ou l'osmose entre arts décoratifs et architecture, Marianna Charitonidou, traduit de l'anglais par Carole Delporte

Au seuil du profane et du sacré : Adolf Loos et la question de l'ornement, Can Onaner

Durabilité ornée : crise climatique, articulations du temps et autres manifestations de la nature, Andreas Körner, traduit de l'anglais par Carole Delporte

Béni soit l'ornement ! Andrés Ros Campos, traduit de l'espagnol par Marie-Christine Guyon

L'ornement nu, entre muscles et ossature,
Susanne Stacher


Archéologie du quotidien : foyer Chevrens II à Anières, Lacroix-Chessex architectes, Federico Neder

Venturi-Scott-Brown en flânerie : voyage de Philadelphie à Genève, Jacques Gubler

English Section
Ornament, or the laughter of Dionysus
Philippe Potié, guest editor, translated from French by Eliza Culea-Hong

Gottfried Semper's perplexity before the Crystal Palace

Ornate Sustainability : Climate Crisis, Articulations of Weather, and other Shapes of Nature, Andreas Körner

The naked ornament, between muscles and skeleton, Susanne Stacher[-]
SOMMAIRE
L'ordre vital,The Vital Order,Paolo Amaldi

L'ornement, ou le rire de Dionysos
Philippe Potié, guest editor

De la décoration par les ombres : la pensée picturale d'Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, Laura Trazic

Gottfried Semper face au Crystal Palace : le Stoffwechsel ou l'osmose entre arts décoratifs et architecture, Marianna Charitonidou, traduit de l'anglais par Carole Delporte

Au seuil du profane et du sacré : Adolf Loos et la ...[+]

ORNEMENT ARCHITECTURAL ; VIOLLET-LE-DUC (EUGENE EMMANUEL) ; ARTS DECORATIFS ; LOOS (ADOLF) ; VENTURI SCOTT BROWN AND ASSOCIATES

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° N°76 - p. 72
D'après le sommaire :
Dossier
Une Entreprise Ephémère D'art Public
L'Exposition Nationale Suisse De 1964 A Lausanne
Salvatore Aprea
« Ce Squelette De Beffroi »
Pour Une Collection D'art Contemporain En Libre Accès
Karine Tissot
Itinéraires D'espace Public
Collection Du Fonds D'art Contemporain De La Ville De Genève
Marie-Eve Knoerle
Esthétique De L'occupation
Modèles D'art Public En Italie Dans Les Années 1960-1970 [Peer-Review]
Simone Zacchini, Traduit De L'italien Par Muriel Morelli
Émergence Et Ornement
Refonder La Place De La République
TVK, Pierre Alain Trévelo, Antoine Viger-Kohler, Avec David Malaud
Aires De Jeu, Fabriques D'espaces
L'art Public Comme Infrastructure Sociale [Peer-Review]
Julia Jamrozik, Traduit De L'anglais Par Christèle Jany
Un Autre Temps, Un Autre Lieu
Retour Sur Les Sculptures De Richard Serra Dans La Vallée De La Ruhr [Peer-Review]
Frances Guerin, Traduit De L'anglais Par Christèle Jany
Repérages
Base Aérienne. Un Parc Climatique A Taïwan
Philippe Rahm Architectes, Mosbach Paysagistes, Ricky Liu & Associates
Cyrille Simmonet
Identification D'une Architecture
Immeuble De Bureaux, Saint-Gall, Corinna Menn Architecte
Philippe Meyer, Julia Voormann
Lecture
L'architecture De La Voie
Éric Alonzo, Editions Paranthèses, 2018
Philippe Gresset[-]
D'après le sommaire :
Dossier
Une Entreprise Ephémère D'art Public
L'Exposition Nationale Suisse De 1964 A Lausanne
Salvatore Aprea
« Ce Squelette De Beffroi »
Pour Une Collection D'art Contemporain En Libre Accès
Karine Tissot
Itinéraires D'espace Public
Collection Du Fonds D'art Contemporain De La Ville De Genève
Marie-Eve Knoerle
Esthétique De L'occupation
Modèles D'art Public En Italie Dans Les Années 1960-1970 [Peer-Review]
Simone Zacchini, ...[+]

RAHM (PHILIPPE) ; SERRA (RICHARD)

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° N°75 - 64 p.
SOMMAIRE:

Editorial
Synthèse des arts
The synthesis of the arts
Paolo Amaldi

Figures de l'interaction entre l'architecture et les arts
Annalisa Viati Navone
traduit de l'italien par Sophie Royère
Figures and effects of the interaction between architecture and the arts
Annalisa Viati Navone
translated by M. Richard Sadleir

Lettrage et architecture en tant qu'œuvre d'art totale
Agnès Laube
traduit de l'allemand par Christèle Jany

Une inquiétante étrangeté: ambiances domestiques italiennes
Michela Bassanelli et Imma Forino

Pour un art et une architecture politiques, Pavillon du Luxembourg «The Architecture of the Common Ground» à la 16e Biennale d'architecture de Venise
Florian Hertweck

La plastique de l'espace, Architecture, sculpture et performance depuis 1960
Paolo Amaldi

La synthèse des arts, «station d'aiguillage» ou impasse?
Guillemette Morel Journel

L'art d'un temps
Christian Bischoff

Épopée, Deux constructions par le laboratoire Alice de l'EPFL et de l'école nationale supérieure d'architecture de Versailles
Cédric Libert

Les stigmates de l'invisible, Maisons Duc, Saint-Maurice, Gay-Menzel Architectes
Philippe Meyer

Hommage à Gilles Barbey, architecte, 1932-2017
Jacques Gubler[-]
SOMMAIRE:

Editorial
Synthèse des arts
The synthesis of the arts
Paolo Amaldi

Figures de l'interaction entre l'architecture et les arts
Annalisa Viati Navone
traduit de l'italien par Sophie Royère
Figures and effects of the interaction between architecture and the arts
Annalisa Viati Navone
translated by M. Richard Sadleir

Lettrage et architecture en tant qu'œuvre d'art totale
Agnès Laube
traduit de l'allemand par Christèle Jany

Une ...[+]

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° N°74 Automne 2018 - 68 p.
D'après le sommaire :
Le Tessin, une architecture de résistance critique
Dossier Tessin :
"Exercer son propre métier jusqu'au bout"
La ville de Tessin, le rêve d'une connexion
Au commencement était une bosse ... puis vint le phoque
Inventer le Tessin
Le projet comme enseignement
Le petit devient responsable du grand
La nouvelle Bellinzone
Apprendre par soi-même
Le Plaza, un espace d'avant garde à Genève
Detroit Thinkgrid
Positions on Emancipation. Architecture between Aesthetics and Politics[-]
D'après le sommaire :
Le Tessin, une architecture de résistance critique
Dossier Tessin :
"Exercer son propre métier jusqu'au bout"
La ville de Tessin, le rêve d'une connexion
Au commencement était une bosse ... puis vint le phoque
Inventer le Tessin
Le projet comme enseignement
Le petit devient responsable du grand
La nouvelle Bellinzone
Apprendre par soi-même
Le Plaza, un espace d'avant garde à Genève
Detroit Thinkgrid
Positions on ...[+]

SUISSE ; ITALIE ; AMENAGEMENT DU TERRITOIRE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° N°73 Hiver 2017-2018 - 72 p.
Ce numéro annonce la reprise de la publication de cette publication périodique après quatre ans d'arrêt, le dernier numéro (no 72) datant de 2013
'Ce numéro «Connect» fait suite aux deux précédents numéros consacrés aux thèmes «En ville» et «Hors ville». Évoquer un territoire connecté, c'est se référer, pour commencer, à la façon dont la Suisse s'est constituée au fil du temps comme «hyperville» (pour reprendre une expression d'André Corboz). Or, ce qui qualifie en partie cette urbanisation diffuse c'est la qualité, la diversité et la densité des voies de communication qui sillonnent le territoire.' (d'après l'éditorial)
SOMMAIRE
Éditorial
- Paolo Amaldi, Michael Jakob : "Dureté et légèreté de l'infrastructure"
DOSSIER CONNECT
- Claude Reichler : "Infrastructures et paysage - La route du Simplon dans les gravures de Gabriel Lory (1811)"
- Paolo Amaldi : "L'art de connecter et de créer du reste Des percées urbaines aux percées alpines" ("The art of connecting and creating from remains. From tracing through the urban fabric to the alpine landscape"
- Paolo Amaldi : "AlpTransit"
- Pascal Sigrist : "L'architecture de la nouvelle ligne ferroviaire AlpTransit Saint-Gothard"
- Pierre Bélanger : "Écologies infrastructurelles"
- Eric Alonzo : "Reconnaître les infrastructures"
- Adrien Besson : "Lorsque l'utile est beau. Le pont suspendu Charles Kuonen"
- Sara Favargiotti : "Paysages de vols"
- Christelle Ermont : "La rue, lieu du contact. Une anthologie prospective"
- Alain Léveillé : "Revitaliser l'Aire. Les métamorphoses d'un canal à Genève"
- Atelier Descombes & Rampini : "Dessiner un "jardinrivière". Projet réalisé par le groupe Superpositions, Genève"
- Nicolas Bassand : "Onde de roc : une promenade transfrontalière au bord du Rhin, Bureau Hager Partner AG, Zurich/Berlin"
- Michael Jakob, Maria Cristina Petralla : "Tarente : pour un laboratoire";
- Adrien Besson : "La conquête du réel. Genève et le Brutalisme" ;[-]
Ce numéro annonce la reprise de la publication de cette publication périodique après quatre ans d'arrêt, le dernier numéro (no 72) datant de 2013
'Ce numéro «Connect» fait suite aux deux précédents numéros consacrés aux thèmes «En ville» et «Hors ville». Évoquer un territoire connecté, c'est se référer, pour commencer, à la façon dont la Suisse s'est constituée au fil du temps comme «hyperville» (pour reprendre une expression d'André Corboz). ...[+]

SUISSE ; AMENAGEMENT DU TERRITOIRE ; INFRASTRUCTURE DE TRANSPORT ; TARENTE

Favoris

Filtrer

Type de document
Mots-clés
Date de parution
Auteurs