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Cote : V-DOC-H.D'A-TOU
Edifiée en trois ans de 1955 à 1958, l'église Notre-Dame, due à l'architecte Guillaume Gillet et à l'ingénieur Bernard Lafaille, est un édifice majeur de l'architecture religieuse contemporaine, tant par ses dimensions (45 mètres de longueur sur 22 mètres de largeur, 36 mètres de hauteur avec un clocher culminant à près de 60 mètres) que par l'audace de sa conception (piliers en V, couverture en voile mince - 8 cm - de béton en "selle de cheval") et l'emploi généralisé du béton brut. Pouvant recevoir 2 000 personnes dans sa nef en ellipse, qui lui donne l'allure d'un vaisseau, dotée de verrières en gemmail, d'une statuaire moderne et d'orgues de 3 500 tuyaux, cet immense édifice fournit une traduction contemporaine à la recherche de la spiritualité dans un édifice cultuel.[-]
Edifiée en trois ans de 1955 à 1958, l'église Notre-Dame, due à l'architecte Guillaume Gillet et à l'ingénieur Bernard Lafaille, est un édifice majeur de l'architecture religieuse contemporaine, tant par ses dimensions (45 mètres de longueur sur 22 mètres de largeur, 36 mètres de hauteur avec un clocher culminant à près de 60 mètres) que par l'audace de sa conception (piliers en V, couverture en voile mince - 8 cm - de béton en "selle de ...[+]

GILLET (GUILLAUME) ; ROYAN ; EGLISE ; BATIMENT CULTUEL ; BETON PRECONTRAINT

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COMPLEX-cité Fougere Francois |

Mém.de diplôme

- 61 p.
Cote : DIPL.01-052
Solutions pour améliorer le quotidien de la villeet réduire les nuisances : création à Royand'un complexe en bordure de mer comprenant un espace de stationnement automobile, un lieu d'expositions, des commerces.

ROYAN ; CIRCULATION URBAINE ; AMENAGEMENT URBAIN

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- n° 2024 - 122 p.
Au rez-de-chaussée d'une institution parisienne émanant d'une enseigne de luxe, un globe en bouse de vache, trivial et mystérieux.

Son installation entre les façades de verre de la fondation Cartier est une sorte de provocation, loin cependant de la merda d'artista créée par Manzoni en 1961. Plutôt qu'un questionnement sur l'œuvre d'art, l'architecte Bijoy Jain exposé chez Nouvel invite à repartir de zéro en regardant du côté freudien de la fécalité. Remise dans un contexte que le gourou de Studio Mumbai s'acharne à gommer, la bouse de vache prend un tout autre sens. C'est la matière première des foyers ruraux de l'Inde, l'énergie qui chauffe les aliments de centaines de communautés paysannes du sous-continent. Cette œuvre serait donc une réserve de combustible, un bien si précieux qu'il se contemplerait avec une certaine révérence dans les galeries les plus huppées de l'art mondialisé. La métaphore de la bouse s'applique certes à juste titre à nombre de constructions ne s'élevant guère au-dessus du produit de la digestion des vaches, mais aussi, à tort, à celles que l'on considère comme s'en approchant, du fait de leur architecture mal comprise ou de leur esthétique mal acceptée. Un promoteur disait dernièrement ne pas comprendre l'émotion que suscitait la démolition obstinée de l'ancien siège de l'Insee à Malakoff, bâtiment qu'il jugeait dénué d'intérêt.

La « démocratie de l'énergie » veut que laides ou belles, ces architectures aient au moins une valeur en énergie stockée.

Conserver cette énergie grise implique de repenser les temps du projet, de faire de la place au diagnostic, de rechercher les qualités d'un édifice qui ne paye pas de mine, de comprendre son histoire, de le valoriser plutôt que de le considérer comme un produit jetable et remplaçable. Le continent appelé « bâti existant » donne le vertige : le CSTB dénombre dans l'Hexagone plus de 27 millions de bâtiments qu'il va s'attacher à immatriculer au sein de la Base de données nationale des bâtiments (BDNB). Aux architectes d'aller au-delà de l'administratif pour connaître la personnalité qui se cache derrière la carte grise et la plaque minéralogique. Avec l'intelligence de l'espace, peut-être accompliront-ils la promesse de l'alchimie baudelairienne : tu m'as donné ta boue, et j'en ai fait de l'or…[-]
Au rez-de-chaussée d'une institution parisienne émanant d'une enseigne de luxe, un globe en bouse de vache, trivial et mystérieux.

Son installation entre les façades de verre de la fondation Cartier est une sorte de provocation, loin cependant de la merda d'artista créée par Manzoni en 1961. Plutôt qu'un questionnement sur l'œuvre d'art, l'architecte Bijoy Jain exposé chez Nouvel invite à repartir de zéro en regardant du côté freudien de la ...[+]

COULON (DOMINIQUE) ; YAMAMOTO (RIKEN) ; ANNEES 1980 ; POUILLON (FERNAND) ; 78 YVELINES ; AHMEDABAD ; INDE ; VILLENEUVE-D'ASCQ ; THERMIQUE ; COLLEGE ; ANTONY ; 92 HAUTS-DE-SEINE ; ECOLE D'ARCHITECTURE ; MONTPELLIER ; 34 HERAULT ; GENEVE ; SUISSE ; ATELIERS LION ASSOCIES ; FLANDRE (RUE DE) ; 75019 ; 75 PARIS ; ILE-DE-FRANCE ; ROYAN ; ANNEES 1950 ; LOGEMENT ; HAIMERL (PETER) ; PIETRIARCHITECTES ; APPARTEMENT ; GRENADE (ESPAGNE) ; ESPAGNE ; JAIN (BIJOY) ; LOGGIA ; TOUR ; BALCON

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