Documents ECONOMIE SOLIDAIRE 9 résultats

Catalogue d'une exposition au Architekturzentrum Wien et aperçu d'une année d'enseignement d'Assemble comme professeur invité à l'Université de Technologie de Vienne. Ce collectif anglais oeuvre dans le domaine de l'art de l'architecture et du design. Il cherche à redonner un sens à l'acte de construire en impliquant les usagers les habitant dans le processus pour qu'ils s'approprient le projet. Il est composé de 18 membres, architectes ou non, issus de l'Université de Cambridge. Leurs interventions redonnent vie à des espaces délaissés, rassemblent les habitants et créent du lien social dans les quartiers en difficulté à Londres, à Liverpool, à Glasgow. : cinéma dans une station-service abandonnée, espaces de travail partagés, studio de musique monté à partir de déchets de construction, terrains de jeux pour et par les enfants, telles sont quelques unes des expérimentations à leur actif. Assemble a été récompensé par le Prix Turner en 2015. [-]

Cet ouvrage propose une première approche multidisciplinaire des enjeux d'un design écosocial de l'échelle de l'objet à celle du territoire. Champ de recherche et de création émergent, le design écosocial, "qui cherche à lutter contre la misère écologique, sociale et esthétique (...) en renouant le lien avec le milieu" apparaît ici dans la diversité des situations, des acteurs, des démarches : usages temporaires de terrains vacants, initiatives citoyennes pour l'appropriation de son cadre de vie par l'action collective, pratiques de détournement, récupération, revalorisation.[-]

Résumé de l'auteur :
La réflexion du mémoire porte sur comment mettre une architecture permanente au service du temporaire.
Création d'un nouveau centre urbain, en périphérie de Toulouse dans le quartier de Jolimont, autour des aménagements temporaires, pour devenir une architecture pérenne pouvant donner lieu à des évolutions.
Parking relais, station Jolimont France, Toulouse, Jolimont 31 000
Aménagement temporaire, permanent, pôle d'échange multimodal

Note de la bibliothèque :
Le mémoire porte en première partie sur l'« urbanisme tactique», l'urbanisme «transitoire» et «éphémère», soit ces pratiques qui, à l'initiative de citoyens, dynamisent les endroits en reconversion dans les interstices de la ville. Ces aménagements temporaires spontanés et expérimentaux, optimisent les espaces publics délaissés.
En les considérant comme une première étape d'un projet urbain, en recentrant les initiatives dispersées dans le temps, une structure permanente, pourrait, à Jolimont, quartier d'entrée de ville de Toulouse, pérenniser les activités temporaires.
En deuxième partie, le projet (à partir de la page 61 du mémoire) s'inscrit dans le cadre de la rénovation du quartier Jolimont à l'Est de Toulouse, en «nouveau pôle urbain » («Dessine moi Toulouse") sur le lieu d'un Pôle d'échanges Multimodal (PeM). Le projet combine mobilité multimodale et aménagements temporaires sur le site d'un parking qui devient souterrain, le long de l'axe défini par la ligne de métro aérien.[-]

Résumé de l'auteur : "Qu'est-ce qu'un habitat participatif et en quoi il diffère d'un habitat traditionnel ? Quelles possibilités offrent-ils ? " Projet : "Un habitat qui évolue en fonction d'un parcours résidentiel et répond aux attentes de ses habitants à un moment "T". Mots clés : Habitat, Participatif, Partage, Evolutif.
Bibliothèque : Le mémoire résume les différents aspects de ce mode alternatif de production de logement : historique (Mouvement des Castors, Mouvement de l'Habitat Groupé Autogéré MHGA, Eco Habitat Groupé) montage des projets, description de 3 exemples (Le CUB à Montreuil, Le Grand Portail à Nanterre, village vertical à Villeurbanne) les avantages et les écueils de ce mode de vie. Parmi ceux-ci la difficulté de la transmission, le besoin de préservation de l'intimité. Le fascicule 4 explore les possibilités de partage des espaces de circulation (couloir, escalier, coursive, palier, ascenseur), de cloisonnements et de mobilier modifiables, de différenciation entre les espaces d'intimité et les espaces partagés. Le cinquième fascicule expose les intentions du projet, le site, l'enquête.
Le CD comprend 1 dossier de 19 fichiers pdf de présentation du projet : plans, coupes, schémas, axonométries, perspectives, profils de personnes.[-]

Le dossier de ce numéro N°19 de janvier-février 2002 est consacré à l'économie sociale et solidaire. Si la création d'un secrétariat d'État a fait naître des espoirs, ce phénomène est rarement analysé comme élément d'un projet de société et comme moyen de lutte contre le néolibéralisme. Mouvements s'efforce d'en faire l'état des lieux et d'en démontrer les enjeux . Le dossier s'attache également à fournir des éclairages internationaux en Europe, aux États-Unis, au Brésil, car les possibilités de développement de ce « tiers secteur » ne sont pas séparables du contexte de la mondialisation. (source : éditeur)[-]

This 46th issue (March-April 2023) is an introspection of our solidarity practices. The “We” it mobilizes is formed through the global struggle against colonialism, structural racism, and for internationalism and environmental justice. Its introduction (in open-access) unfolds the editorial argument the issue articulates, in conversation with our contributors who, for many, have written for The Funambulist several times in the past.

Karim Kattan reflects on the centrality of Palestine in our circles and the problems created by comparisons between the Palestinian and Black struggles for liberation. Laurel Mei-Singh and Davianna Pōmaika‘i McGregor wrote a text together about how the Oceanian fight against nuclear colonialism can help us think beyond the inapt figure of “the ally.” Nolan Oswald Dennis shares with us his artwork “no conciliation is possible” and the risks of trying to apply its toolbox to other contexts than the one for which it was created. Joao Gabriel reflects on the dilemmas of solidarity considering the limits of Afropessimism and Black Marxism applied without a care for the specificities of the considered context. Sara Greavu uses the history of the Irish anti-colonial struggle to think of various aspects of what solidarity consists of, beyond performative statements. Anaïs Duong-Pedica and Zoé Samudzi speak to each other in letters about the blind spots of the North-Atlantic framework when considering Blackness and Indigeneity, thinking with Melanesia and its anti-colonial struggles. Sahar Amarir argues against the tendencies within the international Left (not exclusively the Western one) to refuse to extend solidarities with revolutionary movements that are indifferent or aligned with U.S. geopolitical interests. Finally, Sophia Azeb writes a reflective report on the flaws that the 2022 World Cup has revealed in our understanding of pan-Africanism.

This issue's News from the Fronts are dedicated to the Black healing tradition in the Americas (Elise A. Mitchell) and to the Iranian women's movement (Termeh).[-]