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L'exemple de la ville de Naples oscillant entre pathologie et renouveau urbain, depuis la fin du XIXe siècle jusqu'en 2004, en passant par la période fasciste, est emblématique du rapport changeant et ambivalent qu'entretient une métropole avec ses restes, que ce soient les matières déchues, rebuts, immondices, ou les structures délaissées, décombres, friches. Cette recherche reconstitue ainsi les épisodes historiques de la gestion des flux métaboliques, de l'aménagement du territoire en suivant l'évolution des pratiques de réemploi, d'adaptation de recyclage et de reconversion qui modèlent l'écosystème urbain. [-]

Nourrir les habitants des villes a des incidences multiples, physiques et sociales sur nos vies, mais notre alimentation façonne aussi nos villes par la chaine d'actions qu'elle implique : produire, importer, vendre, cuisiner, manger, éliminer. Cette vision originale de l'évolution des cités à travers le prisme de la nourriture s'applique à toutes les époques et au monde entier avec pour point d'ancrage la ville de Londres et pour objectif d'engager une réflexion éthique et écologique sur l'avenir de nos villes. [-]

Les déchets constituent la problématique principale de l'environnement aujourd'hui. Ils concernent aussi bien les industries que les collectivités locales, qui sont amenées à choisir les filières de traitement adaptées à leurs déchets, si possible au moindre coût. Cet ouvrage décrit les différents types de déchets (ménagers, plastiques, ferrailles, boues, etc.) en indiquant les filières de traitement correspondantes, détaille pour chaque filière les aspects techniques, économiques et réglementaires, qui permettent de comparer les solutions et de faire le choix final.[-]

Résumé des auteurs : "Récit d'un voyage dans la Basse Vallée de l'Ouémé, région du Sud Bénin, qui comprend les villes de Porto-Novo et (de) Cotonou, ainsi que plusieurs villages lacustres. Découverte des paysages, de l'architecture, des traditions et des enjeux de cette région". Projet : " Comment intervenir dans cette zone humide pour répondre aux besoins des populations tout en protégeant l'écosystème ? Mise en place d'un centre de tri et de recyclage, de fermes urbaines et d'une tour d'observation".

Le voyage d'étude dont le mémoire retrace le parcours, permet, entre autres, de rencontrer Godfrey Nzamujo fondateur du Centre Songhaï, ferme auto-suffisante en agriculture biologique, recyclant les déchets. Le choix du site, le vallon ou bas-fond Zounvi à Porto-Novo dont la géomorphologie et l'écosystème sont étudiés, se fait en partie en raison de la proximité avec la ferme Songhaï. Etendre cette expérience en respectant la convention de RAMSAR, serait une étape vers la réalisation de la ville rurale verte.
Le DVD "Le Bas-Fond du Zounvi écosystème en danger " comprend les documents graphiques (42 pages A3), une vue aérienne , "voyage et recherche "(lemémoire sous sa forme numérique 165 p.), le mémoire 2 le projet (82 p.) plans, coupes, des perspectives (images de synthèse)une présentation synthétique
Le DVD "Les Fermes du Zounvi " contient des photographies de la maquette, 2 perspectives[-]

La découverte de la misère à Buenos Aires et de ses manifestations : urbanisme informel des "villas misérias" et activités de survie des "cartoneros", sont à l'origine de ce projet. En effet, l'analyse de l'urbanisme informel d'une part, et de l'autre celle de l'économie de la collecte des déchets par les ramasseurs organisés parfois en coopérative permettent d'imaginer un projet fondé sur cette activité dans la Villa 31 située au coeur de la ville et abritant 40 000 personnes. Il est proposé d'investir, en se l'appropriant, sur le modèle de la "Torre David" un bâtiment de Buenos Aires "l'edificio movimiento", et de le transformer en fabrique collective "villa carton", extension de la villa 31, où s'effectuerait le recyclage du carton récolté, transformé en cloisons destinées aux logements. [-]

De la découverte d'une communauté du peuple Bajau en exil sur l'île de Leyte dans l'archipel des Visayas aux philippines est né le désir de créer sur place une architecture adaptée et d'aider à l'autonomie économique de ces personnes menacées. La proposition est une maison de village sur pilotis dans la mer en matériaux végétals traditionnels (bois de cocotier, bambou, ..) dont les parois seraient constituées d'une armature en bois supportant des tissages de sacs plastiques récupérés et tricotés. [-]

Le premier thème développé est celui de la dépollution des eaux et des différents programmes ou projets en cours : dépollution du Gange, projet "Ocean cleanup", "Seabin project". Le deuxième développement concerne la manière dont l'architecture peut limiter la production des déchets grâce à la récupération et au recyclage des matériaux. Le site choisi pour le projet est la ville de Rengasdengklok sur le Citarum à Java, fleuve le plus pollué au monde. La sensibilisation des habitants via l'éducation des enfants, et la création d'une école, est complétée par la création d'un barrage flottant, un centre de ramassage et de tri, jardin hydrophite, mais le mémoire ne documente que le bambou comme matériau local. Les images du projet architectural sont absentes.[-]