Documents CHAUFFAGE SOLAIRE 16 résultats

Réalisé à l'occasion de la 4e conférence Européenne sur l'energie solaire en Architecture et Urbanisme (Berlin, 1996), l'ouvrage présente une série de réalisations utilisant l'énergie solaire : ensembles de logements, bâtiments pour l'éducation et la recherche, bâtiments culturels, administrations publiques, immeubles de bureaux,immeubles à double façade, et des projets d'aménagement urbain. Les exemples se situent en Espagne, Allemagne, Autriche, Grèce, Italie, Royaume-Uni, Pays-Bas, Suisse et France.[-]

In his November 2024 editorial for Domus, Norman Foster critiques the environmental impact of renewable energy sources like solar and wind, suggesting that nuclear power offers significant potential. While he has long supported renewables, Foster argues that they may be damaging ecosystems, leading to long-term environmental harm. He draws an analogy to a literary work, claiming that, like the leper in Graham Greene's A Burnt Case, the Earth may "survive" through renewable energy, but at the cost of biodiversity, which is crucial for human health.

Foster acknowledges the importance of solar and wind but highlights their limitations, particularly in terms of land use and energy density. He emphasizes that nuclear power is a cleaner and more efficient alternative, pointing to the minimal waste produced by modern fission technology and its much lower mortality rates compared to fossil fuels. He discusses innovations in small-scale nuclear reactors, such as micro-reactors, which can provide localized energy with minimal environmental impact.

He also touches on the growing global energy demand, particularly due to AI and electric vehicles, which are often powered by dirty energy. Foster argues that a shift towards small modular nuclear reactors (SMRs) could help meet energy needs more sustainably, citing advancements from companies like Rolls-Royce. He concludes by advocating for a more balanced, evidence-based approach to energy, emphasizing the importance of ensuring equitable energy distribution and improved living conditions globally.[-]

Engloutissant près de 20 % des consommations d'énergie de la France, le chauffage de nos logements pèse lourd sur le réchauffement climatique. Mais la température du climat social grimpe elle aussi dangereusement. Il y a quelques jours, un automobiliste manque de renverser un cycliste sous mes yeux afin de l'immobiliser pour l'incendier de s'être écarté de sa piste cyclable. Peu après, une passante raille ouvertement les capacités d'une femme en situation d'obésité alors même qu'elle pédale à travers le pays contre les préjugés qui pèsent sur cette maladie... Doit-on laisser nos rapports s'échauffer ainsi ? Ou bien, à l'instar de la sobriété énergétique prônée par les experts de l'écohabitat, faut-il s'engager dans une forme de rénovation relationnelle qui cesserait d'épuiser notre énergie morale ?

Les infractions racistes, xénophobes ou antireligieuses enregistrées en France ont explosé de 32 % en 2023(1). Celles anti-LGBTQIA+ ont bondi de 13 %(2). Et les actes d'incivilités ont continué de s'embraser à la faveur d'un sentiment d'impunité débridé qui a pris ses aises entre les deux tours des récentes élections législatives. Si ces chiffres ne suffisent pas à tempérer la surchauffe, rappelons qu'une « simple » injure publique est un délit passible de 12 000 € d'amende, et jusqu'à 45 000 € et 1 an de prison si elle revêt un caractère raciste, sexiste, homophobe ou handiphobe.

À quoi sert de bichonner le confort thermique de nos bâtiments si le bien-être de leurs habitants est refroidi par ailleurs ? Les incivilités peuvent paraître « anecdotiques » individuellement, mais, constataient des sénateurs en 2021, « leur multiplication génère une dégradation de la qualité de vie » et, plus encore que les délinquances graves, elles « empoisonnent la vie des citoyens et sont en grande partie responsables du sentiment d'insécurité ». À ces violences « du quotidien » s'ajoutent les guerres, magouilles politico-financières, effondrement de la biodiversité...

Où que l'on regarde, les nouvelles font froid dans le dos. Alors ne nous privons pas d'un peu de chaleur humaine. Arpenter les sentiers des Pyrénées cet été m'a reconnecté à mes semblables, qui loin de leurs préoccupations quotidiennes osent à nouveau s'y saluer (et même se regarder !). Reprendre l'habitude d'un simple « bonjour » ou d'un sourire échangé avec les inconnus qui croisent mon chemin m'emplit d'un sentiment revivifiant et apaisant. Ce hors-série dévoile les solutions les plus efficaces et écologiques pour chauffer nos demeures, n'oublions pas de nous réchauffer aussi les cœurs.[-]