Documents BRANLY (QUAI) 8 résultats

Une invitation à la lecture de bâtiments, avec les architectes qui les ont conçus : le Parlement européen par Architecture Studio ; La Cité des sciences et de l'industrie par Adrien Fainsilber ; Le Zénith par Philippe Chaix et Jean-Paul Morel ; La Cité de la musique et le conservatoire par Christian de Portzamparc ; Le Palais omnisports de Paris-Bercy par Michel Andrault et Pierre Parat ; La Bibliothèque nationale de France par Dominique Perrault ; Le ministère des Finances par Paul Chemetov ; Le Stade Charléty par Henri Gaudin ; La cathédrale d'Évry par Mario Botta ; Le Centre Georges-Pompidou par Renzo Piano et Richard Rogers ; La Fondation Cartier par Jean Nouvel ; La Grande Arche par Paul Andreu ; Le musée du quai Branly de Jean Nouvel. Une présentation par Francis Rambert. Un livret d'accompagnement pédagogique complète le DVD.[-]

Le Musée du Quai Branly :"Du projet initial, porté par Jacques Kerchache, à la construction du bâtiment dessiné par Jean Nouvel et à la constitution des collections, le film retrace toutes les étapes de la création de cette nouvelle cité culturelle qui tente de redéfinir le regard que nous portons sur l'autre." (Arte)
Dogon, chronique d'une passion : "Depuis l'expédition Dakar-Djibouti menée en 1931 par Marcel Griaule et Michel Leiris, les ethnologues se passionnent pour la civilisation dogon. Ce peuple installé depuis le XVe siècle sur la falaise de Bandiagara, au Mali, commence à peine à livrer les secrets de sa culture et de sa cosmogonie. Exploitant de nombreux extraits de films et le savoir merveilleusement raconté de Germaine Dieterlen, Jean Rouch, Denise Paulme et Geneviève Calame-Griaule, Guy Seligman fait le point des connaissances sur l'un des peuples les plus mystérieux d'Afrique noire." (Arte)[-]

A l'occasion de l'exposition "EU Japan news trend of architecture", l'agence Périphériques Architectes présente son concept de "Tool Kit architecture" soit un bâtiment évolutif, changeant, fondé sur l'interactivité, outil au service des usagers, élement de la dynamique urbaine. Le projet de musée conçu à l'origine pour le concours du Musée des Arts Premiers à Paris avec Jacques Moussafir et MVRDV, est le premier prototype manifeste d'un édifice radicalisant l'utilisation des "wall screen", transposable dans les métropoles asiatiques sous la forme du "3D Japan Project Total Media Tower Museum".[-]

Outre le projet lauréat, les projets sélectionnés (Jean Nouvel, Stanislas Fiszer, Yves Liion et Alan Levitt, Claude Vasconi), les projets mentionnés (Alain Domingo, Bernard Dufournet, Alain Rihn, François Scali, et Franck Hammoutène), l'ouvrage présente les autres projets de ce concours abandonné (Andreu, Rice, Wilmotte; Architecture Studio; Arène, Chaslin, Edeikins, Du Besset, Lyon; Bolze, Rodriguez-Pagès; Bonnier; Bouchez; Bourdeau; Brunet, Saunier; Buffi; Butler; Castro, Denissof; Colombier, Damon; Desmoulin; Dollé, Labbé; Dottelonde; Dubus, Lott; Dusapin, Leclercq; Fainsilber; Fuksas; Hauvette; Hernandez, Brochet, Lajus, Pueyo; Ibos, Vitart; Kalayciyan; Kohn, Vaysse; Le Houedec, Weizmann; Claude Parent; Pargade; Christian dde Portzamparc; Reichen, Robert; Rémon; Jacques Ripault; Sarfati; Thurnauer, Aygaline; Valode, Pistre; Ventre; Viguier, Jodry; Wogenscky.[-]

Pour un «curator», un «commissaire d'exposition» ou un «directeur artistique» -peu importe le nom qu'on lui donne-, impossible aujourd'hui, que se soit en Europe ou ailleurs, de concevoir une exposition sans au minimum 30% de femmes artistes, le seuil requis étant plutôt de 51% pour se prévaloir de toute critique a priori sur le projet curatorial. Les femmes artistes ayant été longtemps oubliées, déconsidérées voire moquées par un monde de l'histoire de l'art principalement dominé et dirigé par les hommes. On ne peut que se réjouir de voir ce mois-ci élues à l'Académie des beaux-arts, les plasticiennes Tania Mouraud et Nine Childress, ou la multiplication du nombre d'évènements consacrés à des femmes artistes, jusque-là peu exposées.
Alors que les nationalismes fleurissent au quatre coins du monde, il est bon de rappler que c'est grâce à la mondialisation des années 2000 que l'art jusque-là centré sur l'Occident se soit ouvert aux scènes artistique d'Asie, d'Afrique, du Moyen-Orient ou de l'Amérique latine. et ce n'est pas notre reportage sur la Biennale de Sydney, où les artistes aborigènes ont enfin acquit une reconnaissance internationale égale à celle d'autres artistes contemporains qui nous fera dire le contraire. Pour autant, faut-il instaurer des quotas d'artistes en fonction de leur origine géographique, voire sociale ou leur genre? Pour ma part, j'y suis profondément opposé. La création d'une exposition doit être aussi libre que de réaliser un film ou écrire un livre. Les artistes, écrivains, réalisateurs doivent être jugés aux yeux de leur créativité et de la qualité de leur oeuvre et pas en fonction de la place accordée aux femmes, hommes, Noirs, Blancs, hétérosexuels, LGBTQIA+, africains, européens, etc. [-]