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Cote : V-FIC-BRE
Un condamné à mort s'est échappé est une adaptation cinématographique réalisée à partir des Mémoires d'André Devigny. En 1943, le lieutenant Fontaine est arrêté et interrogé par la police allemande pour actes de résistance, il est incarcéré au Fort de Montluc dans la région lyonnaise. Au cours de son transfert, il tente une évasion improvisée en sautant de la voiture conduite par un S.S. Il est immédiatement repris. Fontaine ne se fait alors aucune illusion sur son sort. On l'enferme dans une cellule d'où il va, patiemment, obstinément, élaborer un plan pour s'échapper. Avec tout ce qu'il trouve autour de lui, il façonne une corde et des crochets. S'étant débarrassé de ses menottes à l'aide d'une épingle, ayant transformé sa cuillère en outil, il entreprend de démonter la porte de son cachot. Il fait part de ses intentions aux rares détenus qu'il peut aborder aux heures de promenades et à la toilette. Convoqué au siège de la Gestapo, les autorités lui apprennent sa condamnation à mort. Il est surpris et mécontent de s'apercevoir, lorsqu'il regagne sa cellule, qu'un autre détenu la partage. Fontaine s'interroge sur cette arrivée soudaine. Peut-il lui faire confiance? Doit-il le tuer, ou s'évader avec lui ? D'entrée, le témoignage se veut véridique. Robert Bresson enferme prisonnier et spectateur dans cet espace clos où le plan se fait volontairement captif. La délimitation du cadre par les barreaux de la prison ou l'encadrement des fenêtres morcelle délibérément le corps et piège les personnages dans la captivité. Ici l'ouïe est brusquée plus qu'ailleurs par le retour obsédant des mêmes bruits carcéraux. Aux aguets de la moindre information, tourné délibérément vers le hors-champs, il détecte jour et nuit la durée, la fréquence, l'intensité des moindres bruits pour mieux les analyser. Le désir d'évasion de Fontaine est avant tout un combat individuel, contre lui-même. Agir, c'est retrouver sa dignité d'homme et le sentiment de son existence, en refusant la fatalité et le sentiment d'impuissance qui étreignent la plupart des prisonniers.[-]
Un condamné à mort s'est échappé est une adaptation cinématographique réalisée à partir des Mémoires d'André Devigny. En 1943, le lieutenant Fontaine est arrêté et interrogé par la police allemande pour actes de résistance, il est incarcéré au Fort de Montluc dans la région lyonnaise. Au cours de son transfert, il tente une évasion improvisée en sautant de la voiture conduite par un S.S. Il est immédiatement repris. Fontaine ne se fait alors ...[+]

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Cote : V-FIC-GOD
Un couple de petits bourgeois part en week-end. Ils ressemblent à ces milliers de couples qui, chaque semaine, s'élancent sur la route du week-end au volant de leur voiture, symbole de leur prétendue liberté. Sur la route, c'est l'enfer car des dizaines de voitures sont bloquées par un accident. Ils s'échappent de l'embouteillage par une route départementale et font d'étranges rencontres... Week-end est une fresque flamboyante de la fin d'un état de la civilisation. Godard n'aime pas ses personnages et les filme avec distance. L'espoir prendra la forme d'une petite communauté révolutionnaire, qui fait le choix d'une guérilla contre les Parisiens en week-end automobile, qu'ils abattent cuisinent et mangent au nom du principe selon lequel il faut répondre à l'horreur de la bourgeoisie par plus d'horreur encore.[-]
Un couple de petits bourgeois part en week-end. Ils ressemblent à ces milliers de couples qui, chaque semaine, s'élancent sur la route du week-end au volant de leur voiture, symbole de leur prétendue liberté. Sur la route, c'est l'enfer car des dizaines de voitures sont bloquées par un accident. Ils s'échappent de l'embouteillage par une route départementale et font d'étranges rencontres... Week-end est une fresque flamboyante de la fin d'un ...[+]

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Cote : V-FIC-FEL
Un cinéaste en panne d'inspiration se repose dans un établissement thermal. Il se réfugie dans ses souvenirs d'enfance et dans ses rêves. Au terme de cet examen de conscience, tous les personnages réels ou rêvés participent à une farandole.
Fellini mélange à la fois la réalité, les souvenirs, les fantasmes et la création cinématographique dans un tourbillon d'images où miroitent les émotions les plus variées.

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Cote : V-FIC-GOD
Jean-Luc Godard se sert d'extraits de films, de bandes d'actualité, de textes de philosophes, de prosateurs et de poètes, de musique et de tableaux pour raconter une histoire du cinéma en huit films. Ce faisant, il ne se présente pas pour autant comme historien du cinéma, ce qu'il cherche, c'est intégrer l'Histoire du cinéma dans l'Histoire plus vaste de l'art. Ses références sont Elie Faure, André Malraux et Fernand Braudel. Jouant sur les mots et sur la parenthèse qui met en valeur le "s" il envisage la grande Histoire mais constituée de petites histoires. L'œuvre qui en résulte est d'un genre tout à fait nouveau, œuvre de créateur et non d'historien.[-]
Jean-Luc Godard se sert d'extraits de films, de bandes d'actualité, de textes de philosophes, de prosateurs et de poètes, de musique et de tableaux pour raconter une histoire du cinéma en huit films. Ce faisant, il ne se présente pas pour autant comme historien du cinéma, ce qu'il cherche, c'est intégrer l'Histoire du cinéma dans l'Histoire plus vaste de l'art. Ses références sont Elie Faure, André Malraux et Fernand Braudel. Jouant sur les mots ...[+]

CINEMA-ART ; HISTOIRE DE L'ART ; MEMOIRE ; ANALYSE DE L'ART

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Cote : V-DOC-DEB
Le titre du film est un palindrome latin signifiant : « Nous tournons en rond dans la nuit et nous sommes dévorés par le feu », dans ce film Guy Debord poursuit la reflexion commencée avec le film "La société du spectacle" se tournant cette fois vers ce qu'il nomme la vie réelle.

« Guy Debord, son art et son temps » est un documentaire de Guy Debord de 1994, sorte d'autobiographie en forme de testament.

DEBORD (GUY ERNEST) ; INTERNATIONALE SITUATIONNISTE ; CINEMA-ART

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Cote : V-DOC-DEB
"Hurlements en faveur de Sade" est le premier film (réalisé en juin 1952) de Guy Debord. Il dure 64 mn. Il est composé de séquences d'écran blanc, durant lesquelles sont énoncées par quelques voix off des phrases provenant du Code civil ou de romans d'autres auteurs, dont la signification n'est immédiate que pour elles-mêmes, alternant avec des séquences à écran noir silencieuses.

« Sur le passage de quelques personnes à travers une assez courte unité de temps » est Film "expérimental" réalisé en 1959 comme un "documentaire à l'envers", la caméra alterne les plans vagues et des vues en extérieurs où l'évitement systématique de tout élément "digne d'intérêt" (fuite du cadrage dès qu'il rencontre de l'action ou un monument) crée une sensation de malaise renforcée par des commentaires volontairement "ineptes" phrases détournées, citations classiques mélangées à des dialogues puisés dans un film de science fiction et de publicités commerciales.

"Critique de la séparation" est un film composé d'enchevêtrement d'images (comics, photos d'identité, images détournées provenant d'autres films) qui se succèdent en subissant la surcharge de nombreux sous et surtitres.[-]
"Hurlements en faveur de Sade" est le premier film (réalisé en juin 1952) de Guy Debord. Il dure 64 mn. Il est composé de séquences d'écran blanc, durant lesquelles sont énoncées par quelques voix off des phrases provenant du Code civil ou de romans d'autres auteurs, dont la signification n'est immédiate que pour elles-mêmes, alternant avec des séquences à écran noir silencieuses.

« Sur le passage de quelques personnes à travers une assez ...[+]

INTERNATIONALE SITUATIONNISTE ; DEBORD (GUY ERNEST) ; CINEMA-ART ; CONSOMMATION

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Cote : V-DOC-DEB
Guy Ernest Debord est membre et fondateur de l'Internationale Situationniste, écrit en 1967 "La Société du spectacle" il fait ce film en 1973 et prolonge ici sa critique radicale de la société de consommation. Ce film, fidèle à la théorie du détournement déployé par les situationnistes, se compose d'extraits d'autres œuvres mis en lien avec certains passages du livre du même nom, lus par lui-même.

INTERNATIONALE SITUATIONNISTE ; DEBORD (GUY ERNEST) ; CONSOMMATION

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Van Gogh Pialat Maurice | Gaumont 2003

DVD


Cote : V-FIC-PIA
"Dans ce film qui raconte les trois derniers mois de la vie du peintre à Auvers-sur-Oise, incompris et abandonné de tous, y compris de ses proches, la dimension de l'autoportrait affleure souvent. Le film de Pialat, d'une scène à l'autre, oscille entre l'état de jubilation et l'abattement. Bousculant la légende du peintre maudit, Pialat s'attache à nous montrer son Van Gogh, loin de tout romantisme et de toute religion de l'art."

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