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Résumé de l'auteure :
« Ce mémoire s'articule autour de la problématique de l'hyper-mobilité et de ses conséquences sur nos territoires mais aussi les opportunités qu'elle pourrait générer. Mon étude porte plus précisément sur le cas de la nouvelle gare TGV de Montpellier construite en périphérie de la ville. Depuis quelques années de nouvelles gares TGV ont été implantées en bordure des villes, venant compléter l'offre de transport déjà en place dans les villes via les gares historiques. Souvent construites dans des territoires vierges d'urbanités elles font l'objet d'aménagement urbain et de réflexion quant au devenir de leur environnement. Comment ces gares pourraient –elles être génératrice d'une urbanité renouvelée »
Projet : L'urbanisation massive qui s'opère à Montpellier se fait au dépend des vignes et des exploitations agricoles. La gare doit être une opportunité de valoriser l'articulation entre ville et nature. Ainsi le projet sera un pôle œnologique afin de valoriser le patrimoine viticole de la région Languedocienne et d'endiguer l'étalement urbain. Sa proximité directe avec la guare favorise son impact en terme d'oenotourisme. »
1521 Rue de la Fontaine de la Banquière, 34000, Montpellier, Mobilité / Intermodalité / aménagement du territoire / Oenologie / Pôle d'échange / Viticulture / Transition / Résilience »
Note de la bibliothèque :
Le projet s'ancre en périphérie du centre-ville de Montpellier dans une des ZAC du nouveau quartier Cambacérès qui doit se développer grâce à l'attractivité de la nouvelle gare Sud de France. Il s'agit de proposer un programme alternatif au développement urbain envisagé, qui utilise cette gare comme un atout pour l'économie viticole de la région avec un vaste programme de valorisation de la culture du vin par l'oenotourisme[-]