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Cote : V-FIC-KLO
Une communauté de jeunes gens s'organise. Une nuit, ils s'opposent à la police venue évacuer un squat d'Africains. Carmen fait la rencontre de Hussain, jeune poète afghan. Fous amoureux, les amants ne se quittent plus. Mais une malédiction plane dans la ville, des papiers portent la mort, des corps tombent. Paniquée à l'idée qu'il se fasse arrêter, Carmen lui interdit de sortir et s'enferme avec lui. Peu à peu, Hussain a le sentiment qu'elle le surveille…
Film noir, inflexible, poétique, hiératique qui désespère d'une révolte mondialiste pour demain, le film de Perceval et Klotz revendique un lyrisme qu'il tient de bout en bout.
Si la voie de la révolution de demain n'est pas tracée, du moins une vie hors des compromis bourgeois est-elle donnée comme un rite de purification avec la description de la "low life", esthétique dans laquelle se cantonne aussi le film en privilégiant la nuit, l'eau des fontaines et de la Saône, le feu des cocktail Molotov et le terre versée sur les papiers officiels.[-]
Une communauté de jeunes gens s'organise. Une nuit, ils s'opposent à la police venue évacuer un squat d'Africains. Carmen fait la rencontre de Hussain, jeune poète afghan. Fous amoureux, les amants ne se quittent plus. Mais une malédiction plane dans la ville, des papiers portent la mort, des corps tombent. Paniquée à l'idée qu'il se fasse arrêter, Carmen lui interdit de sortir et s'enferme avec lui. Peu à peu, Hussain a le sentiment qu'elle le ...[+]

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Cote : V-FIC-KLO
Blandine, noire, africaine, tout juste débarquée sur le sol français pour retrouver son mari, a pour première vision du pays des Droits de l'Homme la zone d'attente de l'aéroport réservée aux demandeurs d'asile. Blessée lors d'une tentative de retour forcé par la police des frontières, elle est confrontée, impuissante, à la violence verbale et morale des autorités françaises.
Nicolas Klotz filme en plans fixes, sans musique ni pathos galvaudé. Le réalisateur montre et suggère pour mieux dénoncer. Il rend en cela hommage au travail d'enquête de la scénariste Elizabeth Perceval. Pendant des mois, dans un souci évident de véracité, de justice à rendre et de parole à donner, elle a rencontré des dizaines de demandeurs d'asile et recueilli leur témoignage. D'où le soin quasi documentaire apporté au film, qui ne quitte pourtant jamais le domaine de la fiction.[-]
Blandine, noire, africaine, tout juste débarquée sur le sol français pour retrouver son mari, a pour première vision du pays des Droits de l'Homme la zone d'attente de l'aéroport réservée aux demandeurs d'asile. Blessée lors d'une tentative de retour forcé par la police des frontières, elle est confrontée, impuissante, à la violence verbale et morale des autorités françaises.
Nicolas Klotz filme en plans fixes, sans musique ni pathos galvaudé. ...[+]

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Cote : V-FIC-KLO
L'histoire et l'argument du film empruntent à un récit de François Emmanuel, repris quasi-intégralement par la voix-off du personnage principal : Simon, employé privilégié d'une multinationale allemande au poste de psychologue aux Ressources humaines se voit confier une enquête sur la santé mentale de son patron. Jouant au plus fin avec lui, le jeune cadre va en perdre son latin - le jargon protecteur de la nouvelle "culture d'entreprise" - pour se trouver projeter hors de ses bureaux dans l'infiniment grand de l'Histoire. La perte de son équilibre, de sa raison et, en prime, de son travail, est la pente d'un récit qui impressionne par sa sécheresse et son efficacité jusqu'au point zéro d'un personnage qui rejoint l'humaine condition du titre à force de coups reçus et de questions sans réponses. [-]
L'histoire et l'argument du film empruntent à un récit de François Emmanuel, repris quasi-intégralement par la voix-off du personnage principal : Simon, employé privilégié d'une multinationale allemande au poste de psychologue aux Ressources humaines se voit confier une enquête sur la santé mentale de son patron. Jouant au plus fin avec lui, le jeune cadre va en perdre son latin - le jargon protecteur de la nouvelle "culture d'entreprise" - pour ...[+]

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Paria Klotz Nicolas | Shellac 2006

DVD


Cote : V-FIC-KLO
Le 31 décembre 1999, dans le bus de ramassage de la RATP qui participe au nettoyage nocturne de la ville, un jeune homme apprend de deux anciens comment convaincre les clochards de monter à bord afin de rejoindre le CHAPSA de Nanterre où ils seront soignés, douchés et hébergés jusqu'au lendemain. L'une des réussites de Paria est d'avoir réussi à imbriquer étroitement au sein d'une même histoire deux types de récit : celui de l'apprentissage du héros qui entre de plain-pied dans l'âge adulte, et celui, à la limite du documentaire, de la confrontation avec le monde souvent mis à distance des SDF. Loin de s'appesantir sur les misères et la précarité des sans domicile fixe, Paria choisit de s'immiscer dans leur monde le plus naturellement possible, et donc de ne pas poser un regard apitoyé sur des gens qui ne sont pas forcément tous en proie au désespoir. Interprété par des non professionnels que Klotz a rencontré dans la rue, les SDF prennent littéralement vie devant la caméra qui leur rend une identité trop souvent ignorée. Tourné en D.V., Paria n'est pas qu'un compte-rendu fidèle d'une certaine réalité. Constamment sous-tendue par la recherche de la juste distance, la mise en scène du cinéaste parvient à saisir l'humanité profonde des êtres saisis par la caméra. Il réussit ainsi à débarrasser un sujet très "phénomène de société" de tous ses clichés ou passages obligés. Paria est un film intransigeant qui nous ramène constamment à la problématique du regard sur l'autre, à sa subjectivité douloureuse et aux a priori qui en découlent.[-]
Le 31 décembre 1999, dans le bus de ramassage de la RATP qui participe au nettoyage nocturne de la ville, un jeune homme apprend de deux anciens comment convaincre les clochards de monter à bord afin de rejoindre le CHAPSA de Nanterre où ils seront soignés, douchés et hébergés jusqu'au lendemain. L'une des réussites de Paria est d'avoir réussi à imbriquer étroitement au sein d'une même histoire deux types de récit : celui de l'apprentissage du ...[+]

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