Documents Mercadal Thierry 9 résultats

La Tour panoramique : de François-Régis Cottin construite en 1972 dans le quartier de La Duchère, s'impose comme un totem au centre du Plateau. Elle modifie alors totalement l'horizon de Lyon. Reconnaissable de loin par sa hauteur, la tour devient le symbole du quartier. Les appartements situés au sommet sont les plus hauts de Lyon et offre à ses occupants une vue exceptionnelle sur Lyon et ses alentours. A l'époque de sa construction, elle est la plus haute tour de la ville…

Les Gratte-ciel : construits dans les années 1930 et imaginés par Lazare Goujon, maire audacieux, et Morice Leroux, architecte visionnaire, les logements des Gratte-ciel de Villeurbanne représentent une utopie réalisée : des appartements lumineux, chauffés, avec l'eau courante, le gaz, l'électricité et équipés de toilettes, d'une salle de bain, d'une cuisinière électrique, de terrasses, d'ascenseurs et de vides ordures. Un véritable confort à l'époque pour des H.B.M… Bâtis sur le modèle des gratte-ciel américains, les logements du quartier des Gratte-ciel ont une architecture innovante et originale en France.[-]

Sur les bords de Saône, le nouveau quartier de la Confluence prend forme. Des bâtiments à l'architecture contemporaine et innovante remplacent les anciennes friches industrielles. Parmi eux, se trouve le fameux « cube orange » dont la couleur et l'architecture ont partagé les lyonnais. Après la rénovation des anciennes halles des salins, construites dans les années 1930, et leur transformation en restaurant gastronomique, en 2010, le « cube » vient agrandir le pavillon des salins.
Trois ans plus tard, une seconde construction aux couleurs vives nait dans le quartier. Pour ce bâtiment, le vert a remplacé le orange et le cube est devenu un parallélépipède. Deux fois plus grand que son homologue des salins, ce monument est le nouveau siège de la chaine de télévision internationale Euronews. A eux deux, ils représentent l'architecture moderne qui symbolise le renouveau du lieu.
Les architectes Jakob + Macfarlane ont imaginé des bâtiments imposants et colorés dont l'aspect futuriste attire les regards et les critiques. Mais derrière la volonté de réaliser des édifices à l'architecture spectaculaire, se cache une réelle attention à l'environnement, aux performances énergétiques et au développement durable.[-]

L'architecture particulière de l'école Jean Carrière (dite aussi les "Platanettes"), à Nîmes, reflète le traitement écologique dont elle fut l'objet. Elle a été bâtie en 2012, sur une parcelle située en zone inondable par les agences d'architecture Tectoniques (mandataire) et Atelier GA (Goasmat Architectes). Le film décrit les différents espaces utilisés par les enfants et les professeurs (salles de classes, couloirs, cour, dortoir), les matériaux utilisés (pierre, métal et bois) et leurs caractéristiques, et met en valeur les qualités bioclimatique et de confort (éclairage, acoustique, paysagisme, couleur) du bâtiment. Il pose aussi la question du lien entre architecture et pédagogie. Cette école a remporté le "Trophée bâtiment santé 2014" décerné notamment par Le Moniteur. A l'écran : scènes de vie quotidienne, interviews des différents protagonistes du projet : ingénieur, éclairagiste, enseignant, les architectes Max Rolland et Stéphane Goasmat, la directrice de l'école.[-]

Comment offrir aux habitants un cadre de vie urbain répondant à leurs aspirations ? Tourné essentiellement à Lyon, mais aussi à l'Isle d'Abeau et à Grenoble, ce film amorce une réflexion sur les réponses à apporter aux problème de l'accroissement de la population génératrice d'une extension continue des agglomérations vers les périphéries urbaines. Préserver une certaine densité en ville tout en améliorant la qualité de la vie nécessite de développer les transports en commun, de favoriser la mixité sociale, la diversité des activités, de faire entrer la nature en ville. Interviews de Marc Coque, Yves Chalas, Annie Tardivon, paysagiste de ll'agence In situ.[-]

A travers les interventions de plusieurs spécialistes et décideurs des villes, des architectes (P. Madec, S. Renaudie, F.H. Jourda), des sociologues (T. Paquot, I. Danic), des urbanistes (F. Grether, S. Petitet), un paysagiste (A.Tardivon), un représentant d'association, des élus municipaux, et des interviews de parents, ce film interroge la place des enfants et des adolescents dans la ville. Une voix off distribue la parole aux différents intervenants. Leurs propos sont illustrés par des reconstitution de scènes de vie quotidienne. Nous suivons plusieurs enfants et adolescents dans la découverte de leur quotidien. Nous découvrons leurs interrogations et leurs désirs par rapport à leur habitat et à leur environnement. Plusieurs opérations d'urbanisme réalisées à Lyon Confluence, à Pacé près de Rennes, à Auxerre, et à Grenoble sont prises comme exemple et illustration des réflexions menées dans le film.[-]

L'indienne en bois
Ce dVD réunit deux documentaires : Construire une maison écologique en bois il y a une dizaine d'année, qu'est-ce que ça donne ? L'indienne en bois, c'est cette maison, avec une toiture particulière, bâtie sur pilotis, construite quasiment entièrement en bois, intégrée au terrain dans les arbres.
Maison en acier
Cette maison à Tabanac, tout d'acier vêtue, est bâtie dans une pente au moyen de matériaux écologiques et inhabituels. Etant donné un budget limité, l'architecte a choisi des matériaux simples et peu coûteux et s'est inspiré de l'architecture hygiéniste dans sa construction. Malgré la superficie intérieure réduite, des baies vitrées et une terrasse protégée permettent d'agrandir et d'optimiser l'utilisation de l'espace.[-]

Ce DVD contient deux documentaires. Le premier est consacré à la "Maison de station en Autriche", cette maison réussit l'intégration au paysage, à l'environnement avec une mixité des matériaux. Sa faible consommation d'énergie alliée au confort thermique assure un véritable confort de vie. Le second est consacré à la "Maison dans la pente en Autriche". Cette maison à double usage, habitation et lieu de travail, a été conçue pour s'intégrer le plus naturellement au terrain naturel. Le garage et le premier étage en constituent la base en béton. Un long escalier bordant cette structure parcourt deux niveaux avant d'aboutir à l'étage d'habitation construit en bois et vitré sur trois faces.[-]