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Documents : Sommaire de revue 1 629 résultats

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- n° 330 - 228 p.
Actualités
SUPER CONSTELLATION

LES EXPÉRIMENTATIONS SITUÉES DE B2A

« NOTRE PROJET PÉDAGOGIQUE PORTE SUR LES VILLES ET LES TERRITOIRES TROPICAUX »

LE MONDE ARCHITEXTURÉ DE MIGUEL CHEVALIER

ARTIFICIALISATION DES SOLS : COMMENT ATTEINDRE L'ÉPINEUX OBJECTIF ZAN

MAKE ARCHITECTURE GREAT AGAIN, LA RÉCIDIVE ?

LIAISON SOUTERRAINE SAINT-OUEN-SUR-SEINE

CINÉMA RENOIR ROANNE

LES ATELIERS DIDEROT PANTIN

PÔLE CULTUREL LA BOUSSOLE SAINT-DIÉ-DES-VOSGES

UNE INDUSTRIALISATION APPELÉE À DEVENIR LA NORME PLUTÔT QUE L'EXCEPTION ?

CONSTRUCTION HORS SITE

PAVILLONS DÉMONTABLES

ENVELOPPES PLISSÉES

Le numéro de mars d'AMC est paru

« L'approche hybride se révèle souvent plus adaptée pour maximiser la créativité et la qualité »

«Les architectes doivent comprendre comment tirer parti des capacités de l'industrie pour enrichir leurs projets »

DÉMONSTRATEUR NIWA

« Un dialogue constant doit être maintenu entre les architectes et les industriels »

CENTRE D'ENSEIGNEMENT EN SOINS DENTAIRES

CENTRE CULTUREL SARA

LOGEMENTS MILITAIRES UNIK

TÔLES LISSES ET PERFORÉES POUR UN CENTRE CULTUREL

REDENTS DE BRIQUES ET MOUCHARABIEHS POUR RÉSIDENCE UNIVERSITAIRE

L'ÉPHÉMÈRE, UN LABORATOIRE POUR DES LENDEMAINS PLUS DURABLES

PARIS SOUS LES FEUX DE L'IA

CASQUETTES EN PANNEAUX SOLAIRES POUR UNE ADMINISTRATION

LA MONTAGNE EN CHANTIER

LAMES DE BOIS INCLINÉES POUR UNE RÉSIDENCE COLLECTIVE

SACRÉ MOBILIER

STUDIOS DE MUSIQUE LE PRÉ-SAINT-GERVAIS

SHEDS ET REDENTS DE FAÇADE VITRÉE POUR UN CENTRE DE RECHERCHE
Autres
L'HABITAT GROUPÉ PENSÉ À TOUTES LES ÉCHELLES

COLDEFY

VERNACULAIRE TROPICO-PROVENÇAL

VLAU

PRÉFABRIQUEZ-MOI !

GARDE-CORPS.

GRAND BAIN

CARRIÈRE DIDIER GAZEAU

STUDIO MONTAZAMI

STRUCTURES EN SUSPENS

REMAKE[-]
Actualités
SUPER CONSTELLATION

LES EXPÉRIMENTATIONS SITUÉES DE B2A

« NOTRE PROJET PÉDAGOGIQUE PORTE SUR LES VILLES ET LES TERRITOIRES TROPICAUX »

LE MONDE ARCHITEXTURÉ DE MIGUEL CHEVALIER

ARTIFICIALISATION DES SOLS : COMMENT ATTEINDRE L'ÉPINEUX OBJECTIF ZAN

MAKE ARCHITECTURE GREAT AGAIN, LA RÉCIDIVE ?

LIAISON SOUTERRAINE SAINT-OUEN-SUR-SEINE

CINÉMA RENOIR ROANNE

LES ATELIERS DIDEROT PANTIN

PÔLE CULTUREL LA BOUSSOLE SAI...[+]

COULON (DOMINIQUE) ; BLOCK ; FACADE ; PAVILLON DE LA SECESSION

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Tracés - 3546 Septembre 2024 | Tracés 06/03/2025

Sommaire de revue

- n° 2024

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- n° 91 - 42 p.
Le dossier spécial est consacré au foncier :

Les discussions autour des législations environnementales prennent une importance cruciale. Le Pacte vert européen, avec ses ambitions de protection de la biodiversité et de restauration des écosystèmes, le nouveau règlement sur la restauration de la nature et la proposition de directive sur les sols ou le Zéro Artificialisation Nette ne sont pas une série de contraintes mais des invitations à innover et à repenser la manière dont nous utilisons le foncier. Le programme « Territoires Pilotes de Sobriété Foncière », initié en 2020 par le PUCA avec des experts comme Sylvain Grisot, est un exemple parfait de cette nouvelle dynamique. En se concentrant sur les villes moyennes, ce projet explore des approches pour limiter l'étalement urbain tout en répondant à la demande de logements. Les architectes y jouent un rôle central en identifiant et en réhabilitant le « foncier invisible ».

Face à la crise du logement, la sobriété foncière offre une réponse viable et durable. C'est une opportunité de démontrer que la construction et la préservation de l'environnement peuvent aller de pair. En collaborant étroitement avec les urbanistes, les collectivités locales et les citoyens, les architectes peuvent transformer ces défis en opportunités et bâtir des villes résilientes, inclusives et respectueuses de l'environnement. Dépasser les obstacles pour les transformer en catalyseurs pour l'innovation, faire émerger ensemble les solutions créatives et durables qui sont à portée de main : c'est une des ambitions de notre congrès 2024, alors rendez-vous à Reims en octobre prochain pour mettre en lumière ces opportunités qui sont d'ores et déjà investies par une filière engagée.[-]
Le dossier spécial est consacré au foncier :

Les discussions autour des législations environnementales prennent une importance cruciale. Le Pacte vert européen, avec ses ambitions de protection de la biodiversité et de restauration des écosystèmes, le nouveau règlement sur la restauration de la nature et la proposition de directive sur les sols ou le Zéro Artificialisation Nette ne sont pas une série de contraintes mais des invitations à ...[+]

PATRIMOINE ; INDUSTRIE ; ARCHITECTURE

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- n° 4 - 34 p.
En cette année 2024, l'un des évènements marquants en France est sans aucun doute le déroulement parfait des Jeux olympiques de Paris qui étaient non seulement exceptionnels sur le plan sportif, mais aussi exemplaires en matière d'impact environnemental avec une empreinte carbone divisée par deux par rapport aux Jeux précédents. Cet excellent bilan carbone est en grande partie le fruit d'une mutation entamée par la France depuis plusieurs années vers davantage de solutions de décarbonation, notamment dans le secteur de la construction, compte tenu de sa lourde contribution aux émissions de gaz à effet de serre. À juste titre, on observe actuellement un mouvement accéléré vers la recherche de solutions ou de moyens de décarbonation, quelle que soit la filière de la construction concernée. Les approches utilisées par les acteurs de la construction sont très diversifiées. Au niveau de la construction métallique, les pistes sont également très riches ; on peut citer notamment les investissements de la sidérurgie pour produire de l'acier bas carbone, l'utilisation de la mixité combinant l'acier et d'autres matériaux bas carbone ou encore le réemploi de la construction métallique, que ce soit au niveau d'ouvrages entiers ou au niveau d'éléments métalliques individuels, bien que le réemploi de ces derniers soit plus complexe en matière de traçabilité, contrôle de qualité ou référentiels normatifs. Par ailleurs, l'avancement de la technologie de l'intelligence artificielle (IA) a ouvert une autre piste permettant de rendre l'acte de construire et en même temps l'exploitation des ouvrages beaucoup plus efficaces, donc avec un bilan carbone optimisé. Actuellement, l‘utilisation de cette technologie pour la décarbonation des bâtiments en est à ses débuts, mais nous devons nous attendre à des applications beaucoup plus larges dans le domaine de la construction. C'est à la fois un défi et une grande opportunité pour la filière acier de s'appuyer sur cette technologie pour obtenir des ouvrages métalliques d'excellence en termes de performance environnementale. [-]
En cette année 2024, l'un des évènements marquants en France est sans aucun doute le déroulement parfait des Jeux olympiques de Paris qui étaient non seulement exceptionnels sur le plan sportif, mais aussi exemplaires en matière d'impact environnemental avec une empreinte carbone divisée par deux par rapport aux Jeux précédents. Cet excellent bilan carbone est en grande partie le fruit d'une mutation entamée par la France depuis plusieurs années ...[+]

CONSTRUCTION METALLIQUE

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face au risque - 605 - janv.fev 2025 | face au risque 05/03/2025 H

Sommaire de revue

- n° 605 - 56 p.
Dossier : culture de sécurité
Cinq facteurs explicatifs aux inondations mortelles en Espagne, pénurie de personnel en sécurité privée, incendie : réglementation sur la levée de doute, le handicap en entreprise, fin des réseaux 2G et 3G, agents de sécurité et EPI, tendances 2025 des solutions et produits, vidéoprotection algorithmique…

CONSTRUCTION ; ACTION CULTURELLE ; SECURITE CHANTIER

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Domus - N° 1098 - fev 2025 - Terra earth | Domus 05/03/2025 H

Sommaire de revue

- n° 1098 - 60 p.
Au cœur du numéro de février 2025 de Domus se trouve la Terre. Matériau ancestral et polyvalent, mais surtout trésor primordial, la terre connaît aujourd'hui une nouvelle vague, redécouverte par des architectes et des artistes qui explorent ses possibilités expressives actuelles, déclenchant un voyage sans fin dans le monde du matériau le plus simple et le plus naturel.

Le deuxième numéro signé par Bjarke Ingels, rédacteur invité de Domus 2025 , est une enquête passionnée, originale et approfondie sur les différentes dimensions de la créativité humaine et la capacité à transformer l'élément le plus naturel et le plus basique en une architecture, un design et un art sophistiqués et élaborés.

Le voyage de Domus February commence avec les audacieuses voûtes catalanes de Gaudí , des sculptures sinueuses en argile qui défient la gravité, puis se poursuit avec les géométries complexes de Dieste, où la brique devient un langage structurel et décoratif. Un voyage qui révèle comment la terre peut être modelée en formes au pouvoir expressif.[-]
Au cœur du numéro de février 2025 de Domus se trouve la Terre. Matériau ancestral et polyvalent, mais surtout trésor primordial, la terre connaît aujourd'hui une nouvelle vague, redécouverte par des architectes et des artistes qui explorent ses possibilités expressives actuelles, déclenchant un voyage sans fin dans le monde du matériau le plus simple et le plus naturel.

Le deuxième numéro signé par Bjarke Ingels, rédacteur invité de Domus 2025 ...[+]

TERRE STABILISEE ; TERRE CUITE ; CONSTRUCTION EN TERRE

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A Vivre - 140 mars.avril 2025 - Se mettre au vert ! | A Vivre 05/03/2025 H

Sommaire de revue

- n° 140 - 146 p.
Au pied de mon arbre
A ma naissance, mes parents ont acheté un arbre ou, plus précisément, ont parrainé sa plantation en mon nom. Je ne l'ai jamais vu, il est quelque part au cœur de la forêt de Fontainebleau, au milieu de ses pairs. Un geste spontané fait en donnant la vie, probablement. dans le cadre du programme Un bébé, un arbre», en soutien à l'ONF, qui a vu plus de 800.000 arbres plantés en plus de cinquante ans. Dans cet acte, je reconnais leur vision optimiste, le cadeau qu'ils voulaient m'offrir, une symbolique de racines ancrées dans la terre soulignant l'importance de se rappeler d'où l'on vient. Quand j'étais enfant, je regardais avec fierté le certificat, avec le sentiment confus d'être un élément de la chaîne du vivant!
Les années passant, je me suis un jour rendu compte que, dans ma vie citadine et dans tous mes logements successifs, un arbre était toujours présent, près d'une fenêtre. Ses changements rythmaient le défilé des mois. Un repère, un appel du vert pour un appel d'air. Un contact, ne serait-ce que visuel, avec la nature.
Un ami architecte m'a dit un jour qu'il n'imaginerait pas construire des logements qui dépassent les arbres, car dans sa lecture spatiale, c'est une échelle importante qui repositionne l'humain. Ce qui ne l'empêchait pas de rester fasciné devant ces projets incroyables de villages verticaux, végétalisés. De multiples façons d'imaginer la nature en ville, de créer un poumon vert tant psychologique que physiologique.
Aujourd'hui, les professionnels s'interrogent sur la végétalisation du bâti en revenant à la plus petite unité commune l'habitat individuel en ville comme en pleine campagne, avec des jardins et des terrasses paysagés, des murs et des toits végétalisés. Quand en réfléchissant à ce dossier, je discutais avec des amis de la nouveauté de ce phénomène, l'on me répondit avec un sourire: Tu n'as jamais vu de lierre sur les murs? de glycine sur une tonnelle? Alors oui, ce besoin de nature n'est pas nouveau, mais il est peut-être davantage conscientisé, comme on le dit avec circonspection. La nature et le vivant sera d'ailleurs l'un des thèmes à l'honneur du Pavillon français de la prochaine Biennale internationale d'architecture à Venise (mai-novembre 2025). Indeniablement, ce rapprochement avec la nature apporte de nouvelles esthétiques qui répondent à l'évolution des modes de vie. Comme une prise de conscience que nos murs sont finalement nos premiers supports pour exprimer notre façon d'habiter. Après tout, comme le chantait Brassens: «Au pied de mon arbre, je vivais heureux..
Nathalie Degardin
Rédactrice en chef[-]
Au pied de mon arbre
A ma naissance, mes parents ont acheté un arbre ou, plus précisément, ont parrainé sa plantation en mon nom. Je ne l'ai jamais vu, il est quelque part au cœur de la forêt de Fontainebleau, au milieu de ses pairs. Un geste spontané fait en donnant la vie, probablement. dans le cadre du programme Un bébé, un arbre», en soutien à l'ONF, qui a vu plus de 800.000 arbres plantés en plus de cinquante ans. Dans cet acte, je ...[+]

NATURE ; ARCHITECTURE ; VEGETALISATION

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- n° 275 - 138 p.
Le nouveau numéro traite des complexités de la conservation du patrimoine dans un contexte mondialisé, numérisé et touristique. La publication vise à enrichir le débat sur la notion de patrimoine, en proposant des exemples à la fois locaux et internationaux, et met sur la table les défis de gestion qui doivent concilier sensibilités culturelles et techniques dans un cadre urbain en mutation.

PATRIMOINE ; INSTALLATION TOURISTIQUE

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Domus - N° 1097 - jan 2025 | Domus 03/03/2025 H

Sommaire de revue

- n° N° 1097 - 61 p.
Conçue en s'inspirant des Domus des années 60 et 70 par l'inspiration de Francesco Franchi et Lorenzo Frosi, Domus January 2025 se présente avec une couverture « en pierre » et un « linteau vertical » comme un hommage au passé revisité par le génie de l'architecte danois. Et après l'ouverture avec une section graphique qui rappelle les constructions en pierre les plus importantes de l'histoire et la formation de la pierre sur la planète Terre, Domus ouvre la section architecture offrant au lecteur de nombreuses variations sur le thème de la pierre, à partir de la visite d'atelier qu'Ingels en personne fait à Amin Taha de Groupwork, un studio londonien spécialisé dans l'utilisation de la pierre pour l'architecture contemporaine. Sept témoignages exceptionnels sur la persistance et la valeur de la pierre : une interprétation de la Sagrada Familia, une réflexion de l'Atelier Perraudin sur les bâtiments mixtes à Lyon, une analyse d'Elias et Youssef Anastas sur la capacité de la pierre à « construire du politique », une enquête sur le complexe du Columbarium en grès par BRD Arckitect. Sans oublier le réaménagement d'une place à Ferrare par le collectif INOUT Arquitectura, la beauté archaïque du Pavillon Renava à la Biennale d'art contemporain De Renava par le studio Orma Arquitectura et enfin les évolutions du Studio Partisan à la boutique Rolex Royal de Versailles Jewellers à Toronto.[-]
Conçue en s'inspirant des Domus des années 60 et 70 par l'inspiration de Francesco Franchi et Lorenzo Frosi, Domus January 2025 se présente avec une couverture « en pierre » et un « linteau vertical » comme un hommage au passé revisité par le génie de l'architecte danois. Et après l'ouverture avec une section graphique qui rappelle les constructions en pierre les plus importantes de l'histoire et la formation de la pierre sur la planète Terre, ...[+]

ARCHITECTURE

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- n° N° 166 - 64 p.
Quand Vitruve (Ier siècle avant Jésus-Christ) écrivait dans son De architectura que tout bâtiment doit présenter les trois qualités fondamentales firmitas, utilitas, venustas – autrement dit solidité, utilité, beauté – il n'imaginait pas que le XXIe siècle en ajouterait une quatrième : minimum carbon vestigium.

Les architectes romains répondaient aux questions environnementales sans même se les poser. On construisait en torchis, en pierre ou déjà en béton (naturel, fabriqué à partir de pouzzolanes) ; le matériau était par nécessité local et peu transformé. Aujourd'hui, l'acte de bâtir recourt abondamment à des matériaux et équipements élaborés à partir de matières transportées et transformées par l'utilisation massive d'énergie, et que la réintroduction – extrêmement bénéfique – de matériaux bio-sourcés ou géo-sourcés ne pourra complètement remplacer.

Le défi environnemental posé à toute la filière exige de revisiter chaque élément de construction, en gros oeuvre, second oeuvre ou lots techniques, chacun responsable d'environ un tiers de l'empreinte carbone d'un bâtiment, pour le faire évoluer vers un usage plus raisonné.

L'avenir du béton passe ainsi par sa plus juste utilisation – optimisation des quantités, association avec d'autres matériaux, transformation de bâtiments existants –, par une évolution de la matière elle-même – bétons haute résistance, bétons bas carbone, bétons de terre, etc. – et par la démonstration qu'il peut contribuer à une architecture de grande qualité, digne du De architectura, comme le montrent avec brio les projets présentés ici.

Étienne Tricaud, Ingénieur et architecte, président de Bétocib.[-]
Quand Vitruve (Ier siècle avant Jésus-Christ) écrivait dans son De architectura que tout bâtiment doit présenter les trois qualités fondamentales firmitas, utilitas, venustas – autrement dit solidité, utilité, beauté – il n'imaginait pas que le XXIe siècle en ajouterait une quatrième : minimum carbon vestigium.

Les architectes romains répondaient aux questions environnementales sans même se les poser. On construisait en torchis, en pierre ou ...[+]

ARCHITECTURE

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- n° 147 - 96 p.
La notion de care, au-delà d'être un anglicisme énervant de plus, a cela de bon qu'elle intègre davantage d'aspects qui ne se traduisent pas dans notre terme français du soin. Caring about, c'est d'abord se soucier de, reconnaître un besoin et prêter attention au contexte. Taking care of désigne ensuite le fait de prendre en charge, d'assumer une certaine responsabilité. Care giving est la notion qui nous est la plus familière : l'exigence d'une attention à la manière dont un espace offre refuge. Caring with nécessite, enfin, de s'intéresser à l'après. Cela implique de s'interroger sur la fiabilité et la continuité du soin apporté dans le temps ; en bref, la notion de maintenance . Un espace entretenu perdure et reste attrayant pour des personnes qui continuent d'en prendre soin. "Tout calcul fait, toute précaution prise, le mur ne tiendra debout que s'il peut être aimé" , résume parfaitement Yves Perret. Vous l'aurez compris, le thème est donc vaste - trop vaste - et il a fallu recentrer le sujet. Ainsi, nous n'aborderons que très peu cette notion de maintenance, qui m'a pourtant tellement passionnée et inspirée que nous y reviendrons dans un prochain numéro. Nous nous en tiendrons, dans ces pages, à la santé, qui implique déjà celles et ceux qui construisent, soignent, se font soigner jusqu'à se rendre compte que la thématique nous concerne toustes. "Etre dans une situation où l'on a besoin de care revient à être dans une position de vulnérabilité" , exprime Joan Tronto, qui a théorisé la notion . Reconnaître cette vulnérabilité, non comme une faiblesse, mais comme ce que nous avons de commun - le caractère "périssable" de l'homme - est un bon début pour entrer dans le thème. Les sujets sanitaires sont d'ailleurs souvent d'abord destinés aux plus "sensibles" , avant de pouvoir se généraliser. Si un établissement recevant des personnes atteintes d'autisme propose une diversité d'espaces pour répondre aux besoins de chacun·es, si un établissement pour personnes âgées permet plus de créativité et de sociabilité par ses dispositifs spatiaux et le choix de ses matériaux ou si une crèche présente une excellente qualité de l'air, nous sommes en droit de nous demander si nous ne pourrions pas toustes y prétendre aussi, ou au moins se le souhaiter. Des souhaits qu'il est d'usage de s'échanger en fin d'année. En France, on trinque à la santé, en l'honneur des dieux et des morts depuis l'Antiquité, alors qu'en anglais c'est la joie que l'on se transmet : cheers ! Au Japon ou en Chine, on est plus efficace : kanpaï et ganbei signifiant vider tout son verre. Qu'importe, en ces temps incertains, souvent rongés par un sentiment anxiogène d'impuissance, levons nos verres et vidons-les dans une hospitalité joyeuse en prenant soin, non pas seulement de nous-mêmes , mais de tout ce(ux) qui nous entourent.[-]
La notion de care, au-delà d'être un anglicisme énervant de plus, a cela de bon qu'elle intègre davantage d'aspects qui ne se traduisent pas dans notre terme français du soin. Caring about, c'est d'abord se soucier de, reconnaître un besoin et prêter attention au contexte. Taking care of désigne ensuite le fait de prendre en charge, d'assumer une certaine responsabilité. Care giving est la notion qui nous est la plus familière : l'exigence d'une ...[+]

BOIS ; CONSTRUCTION EN BOIS

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- n° 147/148 - 100 p.
Quelle meilleure façon de commencer l'année qu'en se ressourçant à la lecture des 100 profils qui composent cette édition spéciale? Celles et ceux qui conçoivent et mettent en œuvre les transformations urbaines et territoriales sont confronté.e.s à des défis lourds, le contexte est pour le moins pesant; et pourtant ces portraits dégagent beaucoup d'énergie et d'enthousiasme. Les 100 qui font la ville, dans toute leur diversité professionnelle et générationnelle, sont mu.e.s par l'envie de créer du lien, de fédérer, de décloisonner. Ils et elles abordent une multiplicité d'échelles et d'usages. Les méthodes et les concepts exposés vont dans le sens d'une déstandardisation des formes et des fonctions urbaines. Les sujets abordés - décarbonation, désartificialisation, renaturation, réhabilitation...-, illustrent une montée générale en compétence dans la lutte contre le réchauffement et pour l'adaptation. Ils et elles parlent de nouveaux modèles. de politiques soutenables, et saluent une période stimulante professionnellement.
Traits urbains vous souhaite, donc, beaucoup d'énergie et d'enthousiasme pour cette année 2025.[-]
Quelle meilleure façon de commencer l'année qu'en se ressourçant à la lecture des 100 profils qui composent cette édition spéciale? Celles et ceux qui conçoivent et mettent en œuvre les transformations urbaines et territoriales sont confronté.e.s à des défis lourds, le contexte est pour le moins pesant; et pourtant ces portraits dégagent beaucoup d'énergie et d'enthousiasme. Les 100 qui font la ville, dans toute leur diversité professionnelle et ...[+]

VILLE ; URBANISME

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- n° 328 - 228 p.
Un prix d'architecture peut-il aujourd'hui récompenser autre chose qu'un bâtiment durable, inclusif, résilient et décarboné ? Les 25 réalisations nommées à l'Equerre d'argent possèdent évidemment ces vertus, et bien d'autres encore, dont la première est de rendre le monde habitable. Elles avancent sur la voie étroite tracée entre l'action et la discrétion. « Avoir l'air de rien, faire mine de rien » semble le mot d'ordre des concepteurs . On le voit à Paris, où DATA et Think Tank reconfigurent un passage frappé de péril qui rassemble une dizaine de bâtiments existants. Deux nouveaux sur rue et une façade vitrée, pour la sécurité incendie, donnent à l'ensemble faubourien des allures de mini-Beaubourg. Accorder un bricolage dissonant : cette logique se retrouve à Malakoff dans la réhabilitation d'un îlot industriel par Barre Bouchetard, à Strasbourg dans la refonte de l'INSA (COSA arch.), ou à Saint-Cloud pour le nouveau marché des Avelines (Tachon arch.). Toujours le rien à Bordeaux, sur le pont Simone-Veil (OMA), grâce à un minutieux travail de soustraction ne laissant de l'ouvrage d'art qu'une plateforme nue, appropriable. Et rien à Lyon, où la station de la ligne 3 efface ses efforts au profit de l'usage (AZC), ni à Herrlisheim (N01), où l'entrepôt municipal intègre les ressources physiques - eau, énergie - et humaines. Rien encore pour le téléphérique du Salève (DDA), lauréat de l'Equerre d'argent, dont la démarche complexe de simplification rétablit la hiérarchie entre l'œuvre commencée voilà cent ans par Maurice Braillard et le grand site naturel. Ce dialogue à travers les époques est perceptible à Paris dans le programme mixte La Sirène (Avenier Cornejo), arrimé à une opération résidentielle privée des années 70, ou dans l'ensemble de logements qui réconcilie l'héritage conflictuel des années 60 et de l'architecture ordinaire faubourienne (NRAU). A la caserne Mellinet à Nantes (Atelier Georges) ; aux Courtilières à Pantin (AUC), à la Grande Motte (Leclercq associés), ou au campus de la Bouloie à Besançon (Altitude 35), porteurs de la démesure des Trente Glorieuses ; à la plus modeste école de Lompret (Alt 174), l'architecture explore différentes façons de poursuivre celle existante. Elle plaide parfois, comme à Sarzeau (Carmen Maurice), Maiche (BQA), Cesson-Sévigné (O-S) ou Venarey-les Laumes (Guillaume Ramillien), pour une forme utile et forte ; une forme ouverte à Saint-Denis (Farid Azib) ou intemporelle à Bagneux (Tollila-Gilliland), manipulant éventuellement les formes usuelles du logement pavillonnaire (BRA). A Neuve-Maison, Studiolada en rappelle la dimension culturelle, exhumant trois « flamandes » vernaculaires pour en faire un repère dans un territoire virant au junkspace . L'architecture américaine inspire un modèle de logements denses à Parempuyre (GRAU/UR). Le secours de la forme pour en prolonger d'autres devient le secours de la structure pour un prolongement futur à Laguiole, avec le foirail conçu par Betillon / Freyermuth et Crypto. Autant de signes d'une architecture qui ne se pense plus comme un éternel présent, mais comme un moment dans une succession d'époques. Quoi de mieux qu'un téléphérique pour reprendre de l'altitude et retisser ce fil du temps ?[-]
Un prix d'architecture peut-il aujourd'hui récompenser autre chose qu'un bâtiment durable, inclusif, résilient et décarboné ? Les 25 réalisations nommées à l'Equerre d'argent possèdent évidemment ces vertus, et bien d'autres encore, dont la première est de rendre le monde habitable. Elles avancent sur la voie étroite tracée entre l'action et la discrétion. « Avoir l'air de rien, faire mine de rien » semble le mot d'ordre des concepteurs . On le ...[+]

ARCHITECTURE ; FRANCE

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- n° 329 - 228 p.
LAN - FACE B - ATELIER DU PONT – ÉJO

DOSSIER : penser la ville pour les enfants
ENQUETE : des incubateurs pour mieux entreprendre
REFERENCE : le centre de conférences de Genève
MATERIAUTHEQUE : autonomie énergétique
DETAILS : toitures bois
REPERAGES : céramique

ENFANT ; VILLE

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Archistorm - N°130 jan - feb 2025 | Archistorm 03/03/2025 H

Sommaire de revue

- n° 130 - 164 p.
archistorm, présente l'actualité et les évolutions de l'architecture, de la conception et du design dans une formule imaginée pour les concepteurs et les décideurs.
Au sommaire
Les réalisations qui font l'actualité, des dossiers thématiques approfondis... D'une périodicité bimestrielle, l'identité d'archistorm se fait dans sa transversalité.
Avec une ligne éditoriale critique et engagée qui a fait gagner en notoriété un magazine aujourd'hui reconnu auprès d'un public de prescripteurs professionnels de l'architecture[-]
archistorm, présente l'actualité et les évolutions de l'architecture, de la conception et du design dans une formule imaginée pour les concepteurs et les décideurs.
Au sommaire
Les réalisations qui font l'actualité, des dossiers thématiques approfondis... D'une périodicité bimestrielle, l'identité d'archistorm se fait dans sa transversalité.
Avec une ligne éditoriale critique et engagée qui a fait gagner en notoriété un magazine aujourd'hui ...[+]

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- n° 82 - 50 p.
La revue du Conseil régional de l'Ordre des architectes Auvergne-Rhône-Alpes

janvier 2025

REVUE D'ARCHITECTURE

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- n° 159 - 136 p.
THE PLAN 159, the eighth and final issue for 2024, is dedicated to Inventive Reuse. It opens with the editorial “Just Do Not Build. The Case for Imaginative Reuse” by Aaron Betsky and looks at 11 creative reuse projects.

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- n° 441 - 100 p.
Dans l'imaginaire collectif mondial, la ville dense, compacte ou haute (ou les deux à la fois) ne représente que deux réalités principales, diamétralement opposées: la grande prospérité ou la déchéance. Jay Mcinerney a très bien écrit, dans son premier roman Bright Lights, Big City', l'attraction irrésistible des grandes villes, en l'occurrence New York, pour toutes celles et tous ceux-notamment les jeunes adultes - qui désirent prendre leur destin en main. Des villes idéalisées, fantasmées, ou plus prosaiquement envisagées comme seul lieu possible pour un changement de condition, une élévation. Des villes dont la promesse irradiante dissimule une réalité économique et sociale aliénante, qui corrompt les ambitions et les corps des plus nombreux, à coups de déceptions et d'expédients, d'alcool et de drogues.
Cette représentation caractérise toujours une réalité contemporaine: au registre des grandes esperances urbaines, beaucoup d'appelés et peu élus; reste donc le passage quasi obligé (études, emploi). Dans leur immense majorité, les travailleurs des classes populaires, moyennes et même supérieures ne parviennent pas ou plus à vivre dans les coœurs des métropoles, qu'ils quittent dès lors que leur situation familiale change ou qu'ils décident de se soustraire à des conditions de mal-logement devenues pour eux inacceptables, qu'elles s'appellent colocation, exiguité ou exorbitance. Des trajectoires quasi immuables du fait des logiques en place de l'économie urbaine, qui conduisent, dans nos sociétés libérales, au renchérissement perpétuel de l'immobilier et du coût global de la vie dans les grandes villes. Plus c'est cher, plus elles s'élèvent; plus elles s'élèvent, plus c'est cher.
La ville haute est symptomatique de la ségrégation sociale - de New York à Dubaï en passant par Hong Kong et Singapour-, alors même que la ségrégation concerne tout autant la ville étalée de Los Angeles au Caire, en passant par Tokyo. Mais la verticalité et les conditions de vie qu'elle crée la rendent en apparence ou en réalité plus insupportable. Une ségrégation qui concerne aussi la ville compacte - celle qui n'a pas pu être adaptée à l'automobile en raison d'une morphologie urbaine tout en épaisseur et aux voies étroites, au fort caractère historique et patrimonial, telles Venise, Kyoto, Palma, La Valette, Fés..., qui subit la double pression du tourisme et de la conservation. Ce qui est rare est (toujours plus) cher.
A quoi mènent ces différents constats établis rapidement ? À l'évidence que la densité est une problématique accessoire des questions plus fondamentales posées à l'urbanisme, qui sont-entre autres-celle énoncée par Henry George à la fin du XIX siècle sur le poids de la propriété privée dans l'équilibre social de la société et le développement des villes, ou celle formulée par Henri Lefebvre, en 1968, sur la promotion d'un nécessaire droit à la ville». C'est fou comme le temps passe.
La ségrégation spatiale est une réalité indépendante des diverses formes urbaines, et ces dernières jouent - de manière assez injuste (les exemples sont légion) - le rôle de révélateur. C'est pourquoi, comme s'appliquent à le démontrer différentes contributions dans ce numéro, il n'est pas raisonnable d'imaginer promouvoir une ville plus dense qui ne soit pas plus juste.[-]
Dans l'imaginaire collectif mondial, la ville dense, compacte ou haute (ou les deux à la fois) ne représente que deux réalités principales, diamétralement opposées: la grande prospérité ou la déchéance. Jay Mcinerney a très bien écrit, dans son premier roman Bright Lights, Big City', l'attraction irrésistible des grandes villes, en l'occurrence New York, pour toutes celles et tous ceux-notamment les jeunes adultes - qui désirent prendre leur ...[+]

DENSITE URBAINE ; SOCIETE GENERALE ; VILLE

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exé - N°59 jan.feb.mars. 2025 - Spectacle | exé 03/03/2025 H

Sommaire de revue

- n° 59 -
160 p.
A l'aube de ses 15 ans, exé continue de grandir et de se réinventer. Une refonte de la revue célèbre ainsi ce futur anniversaire et le début d'année 2025: couverture revisitée, maquette épurée et rééquilibrée, nouvelle ventilation des rubriques. contenus enrichis et diversifiés, ouverture vers des sujets plus prospectifs... Mais toujours le désir de promouvoir la création architecturale qui fabrique nos villes et enrichit notre vie quotidienne

Articulée autour des programmes liés au monde du spectacle, la thématique de notre dossier cumule, comme bien souvent, un grand nombre de contraintes et de problé matiques contemporaines, renforcées par la crise d'un secteur en souffrance, souvent premier sacrifié des politiques budgétaires. En offrant le plus possible un accès égal à tous, la culture porte pourtant en elle une universalité salvatrice. Acte militant, elle est un langage commun qui transcende les frontières et les allivages un espace de résistance. un puissant levier de changement, un outil d'émancipation et de lutte. La culture ne se contente pas d'exister, elle engage, provoque et transforme.

Loin de l'auto-centrage, les infrastructures culturelles publiées dans ce numéro impliquent une réflexion fine sur leur intégration dans le tissu local, une recomposition urbaine qui renforce les liens avec le quartier, les transports et offre aussi de nouveaux espaces publics (places bars activités de plein-air. ). Ouverts sur la ville, ces lieux deviennent des points de rencontre et des catalyseurs pour la communauté contribuant à la revitalisation de centres-villes ou de zones périphériques. Ces programmes architecturaux, parfois mouvant au fil de la conception, sont confrontés à des défis qui doivent combiner innovation tech nologique, conscience écologique, mixité d'usages, accessibilité et sécurité, normes réglementaires, transformations sociétales ou encore exigences économiques. L'objectif est de créer des lieux à la fois fonctionnels, durables et toujours plus polyvalents afin de répondre aux attentes d'un public de plus en plus exigeant et connecté où l'expérience utilisateur prend tout son sens et où les codes ont évolué. Fini les dorures et les plafonds paints le rococo ou l'Art déco des trêêtres et opéras d'antan place à l'épure, à la machi nete apparente ou squelette fièrement exposé, à la vérité nue. La fiction et l'évasion sont réservées à la scene ou à récran.

En cicture de ce numéro, la nouvelle rubrique Prospective s'intéresse à la probléma tique de la maintenance avec un écho particulier dans le monde de l'architecture. Une nation dont la place dant le process de conception et d'utilisation d'un bâtiment est ainsi πλάναυδε ά la umière, entre outres, des enjeux de la durabilité. Un spectacle plus terre a teme certes mais non moins primordial

Jordi Patilion Redacteur en chef[-]
A l'aube de ses 15 ans, exé continue de grandir et de se réinventer. Une refonte de la revue célèbre ainsi ce futur anniversaire et le début d'année 2025: couverture revisitée, maquette épurée et rééquilibrée, nouvelle ventilation des rubriques. contenus enrichis et diversifiés, ouverture vers des sujets plus prospectifs... Mais toujours le désir de promouvoir la création architecturale qui fabrique nos villes et enrichit notre vie quot...[+]

SALLE DE SPECTACLE ; THEATRE ; AMPHITHEATRE

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