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- n° 315 - 154 p.
La crise du logement est sans cesse réduite à une question quantitative : trop peu nombreux, trop chers et trop petits. Pourtant, jamais il n'y a eu autant de logements aussi grands et par habitant. C'est le rapport que chacun entretient désormais avec l'espace qu'il habite qui a changé et qui rend obsolètes les critères trop exclusivement quantitatifs. L'habitat bourgeois a depuis circonscrit l'intimité domestique, refermant le logement sur la cellule familiale, au point que le terme cellule est devenu une synecdoque : on emploie ce terme pour parler d'un appartement. Tant qu'il y a assez de place pour tous, cette évolution sociologique n'engendre pas de crise. Mais lorsque l'offre ne répond plus à la demande, faut-il faciliter la fluidité résidentielle, construire toujours davantage ?
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La crise du logement est sans cesse réduite à une question quantitative : trop peu nombreux, trop chers et trop petits. Pourtant, jamais il n'y a eu autant de logements aussi grands et par habitant. C'est le rapport que chacun entretient désormais avec l'espace qu'il habite qui a changé et qui rend obsolètes les critères trop exclusivement quantitatifs. L'habitat bourgeois a depuis circonscrit l'intimité domestique, refermant le logement sur la ...
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LE CORBUSIER (CHARLES-EDOUARD JEANNERET DIT) ; GROMORT (GEORGES), ENSEIGNANT ESA ; LOGEMENT DEFECTUEUX ; ZAC ; NANTES ; 75 PARIS ; LAUSANNE ; SUISSE ; ESPAGNE ; BARANI (MARC) ; AIX EN PROVENCE ; VAN SEVEREN (DAVID) ; GEERS (KERSTEN) ; OFFICE ; BELGIQUE ; MENUISERIE