L'architecture constitue un puissant moyen de représentation de la société. Elle fonctionne comme une fabrique d'images, oscillant constamment entre récit politique et storytelling publicitaire, entre descriptif et performatif. Les auteurs analysent l'objet-architecture à travers une série de réalisations. De la pratique professionnelle aux stratégies d'acteurs, des représentations aux projets construits, ils montrent que l'instrumentalisation de l'architecture en tant qu'outil de communication traduit l'esthétisation populiste du politique et nous donne, de ce fait, une clé pour comprendre la post-modernité (d'après éditeur)
Federico Ferrari, docteur en urbanisme, est chercheur au laboratoire ACS/UMR AUSser 3329 du CNRS et enseigne à l'ENSA Paris-Malaquais et à L'ENSAP Lille.

Numéro d'inventaire : E18-305

Collection : Archigraphy Poche -

Format : 18 cm

Illustrations : ill.

Langue : Français ; Anglais

Notes : Présentation des auteurs : contributions de Olfa Bohli Nouri, Margaux Darrieus, Anne Debarre, Valéry Didelon, Soline Nivet, Michela Rosso, Paola Scala, Léa-Catherine Szacka. Les articles sont issus du colloque "Le populisme esthétique, ou de l'architecture entre discours et style" organisé à l'Ecole Nationale Supérieure d'Architecture Paris-Malaquais le 15 décembre 2015,

Classement : Théorie de l'Architecture et écrits d'architectes-urbanistes

Devise : €

Niveau d'autorisation : Public

Emprunt/Réservation

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