Les villes africaines qui tendent à la "modernité" et souhaitent attirer les investisseurs étrangers, ont une perception négative des pratiques informelles de la population. Deux visions s'opposent : celle de la ville informelle traditionnelle et celle de la ville institutionnelle moderne. L'échec des politiques d'urbanisme démontre qu'il est nécessaire d'abandonner cette vision manichéenne pour une coexistence de deux modes de régulation. Prenant le centre ville de Douala, le plateau Joss, pour terrain d'étude, elle plaide pour un urbanisme moins techniciste, une hybridation des modes de gouvernance des espaces publics.

Date de session : 03/11/2015

Directeur de mémoire : N'THEPE (ISSA)

Matériel d'accompagnement : Fiche de renseignement du mémoire + fiche de cession des droits d'auteur.

Format : 25 cm.

Support : Papier

Langue : Français

Notes : Jury : A. Issa Nthépé, Serge Joly, Benjamin Michelon, Florence Verdet, Emmanuel Caille, Chloé Utzmann, Bibliogr., photogr.

Niveau d'autorisation : Public