Documents FEMME 41 résultats

Ce dossier contient :
la liste des étudiantes inscrites à l'ESA diplômées ou non entre 1883 :
Anistchenko Galea (Atelier Jean Royer, 1926-1927, démissionnaire)
Barsky Rose, (atelier Perret 1930-? démissionnaire)et 1939
Bettelheim Françoise (Atelier Auguste Perret 1929-1930, démissionnaire)
Berstein Rachel (entrée 1904--sortie ?)
Bloch Giselle (1937-1941, diplômée)
Calvet Marguerite (Atelier Auguste Perret 1935-1936, démissionnaire)
Cohn Lydia (Atelier Perret 1933-1936, démissionnaire)
Cook Verna (Atelier Le Blond 1909-1911, démissionnaire)
Dadiani Elisabeth(Atelier Gaston Trélat, 1922-1925, diplômée)
Dekler Irène ou Declair (Ateliers Gaston Trélat, Marrast, Tito Saubidet, Jean Royer, 1924-1928, diplômée)
Desvignes Odette (Atelier Le Bourgeois 1931-1935, diplômée)
Dollé Thérèse (voir à Urbain)
Drouin Olga (Atelier Perret 1932-1933, démissionnaire)
Garrus Andrée (1919-1923 diplômée)
Golejenski Sonia (Atelier Auguste Perret, 1930-1934, diplômée)
Gorska Adrienne(1919-1922 diplômée)
Hadjiandréou Virginie (Le Bourgeois, 1929-1930 démissionnaire)
Hany-Lefebvre Noémie (Atelier Perret, 1931-1932 démissionnaire)
Hawley Kathleen (Atelier Jean Royer, 1926-1927, démissionnaire
Issacovittch Lydie (Atelier Gaston Trélat, 1903-1906)
Khanazatian Suzanne (1905-1905 démissionnaire)
La Rue Marie-Huguette de (Atelier Le Coeur, 1929-1931, démissionnaire)
Leduc Madeleine (Atelier Le Bourgeois et Fenzy, 1931-1933, démissionnaire)
Lesourd Monique (voir à Vago)
Malinova Veneta (1938-1939, démissionnaire)
Mendelsohn Ala Maridura (1937-1940, démissionnaire)
Miedermayer Vitalina (Atelier Le Bourgeois 1932-1936 démissionnaire)
Mihaltzeano Félicie (Atelier Jean Royer , 1928-1931, diplômée)
Moity-Bizary Renée (Atelier Tito Saubidet et Paul Pierre 1926-1930, diplomée)
Obolensky Nathalie (Atelier Jean Royer, 1928-1931, diplomée)
Perlman Rachel (Atelier Jean Royer 1927-1929)
Prieur Antoinette (1937-1942, diplômée)
Reens Annie (1937-1937, démissionnaire)
Sundling Elsa (Atelier Jean Royer 1928-1932, diplômée)
Spycket Sylvie (1937-1937, démissionnaire)
Toporkoff Nina (Atelier Auguste Perret, 1934-1939, diplômée)
Toporkoff Tatiana (Atelier Auguste Perret, 1934-1938 diplômée)
Trélat Geneviève (Atelier Gaston Trélat, 1907-1910, diplômée)
Urbain Thérèse née Dollé, (1916-1920 diplômée)
Vago Monique (Née Lesourd, Atelier Auguste Perret 1931-1935 diplômée )
White Laura (Atelier Thierry Lagrange, 1883-1884, démissionnaire)
Zacharieff Stella (Atelier Auguste Perret 1929-1933, diplômée)
+Lacourrière Adrien ou Adrienne selon les sources (1893-1896, diplômé-e).
Une frise chronologique des étudiantes à l'ESA entre 1883 et 1939 réalisée à partir d'un relevé des registres d'inscription.
Un relevé des nationalités des étudiantes de 1865 à 1939
Divers :
Veder Liliane, Van Peborgh Sonia Les femmes architectes, 1865-1965 centenaire de l'école spéciale d'architecture Bulletin de la SADESA, 1965 N° spécial 8-9-10, p. 90
Chaise Anne Les pionnières de l'architecture : premières femmes à l'ESA, 2008
Nikkanen-Kalt Païvi, Une histoire faborable pour les femmes (Finlande)
Verna Cook Salomonsky Wikipedia, 17 oct. 2017
Verna Cook Shipway papers https://library.ucsd.edu/speccoll/findingaids/mss0105.html
Rachel Wischnitzer (Rachel Bernstein ) Wikipedia , 19 juin 2018
Elsa Sundling : http://data.bnf.fr/ark:/12148/cb144262104
Frida Svensson : Arkitekt Elsa Sundling : Sökandet efter en bortglömd pionjär, 133 p., 2017, Examensarbete inom Arkitektur, Chalmers Tekniska Högskola, Hösten 2017
Pour Gorska se reporter à la cote A-GOR[-]

Les cœurs des villes dépérissent et contre cette tendance le plan "Action coeur de ville" tente d'inverser la tendance. Frédéric Lenne, commissaire de la Ve Biennale de Caen 'In-Situ 2018, a rassemblé des contributions traitant de la vie des centres, de la culture comme souffle vital des villes, de l'écologie urbaine.Textes de GuyTapie, Paola Vigano, Xavier Gonzalez, Fabienne Bulle, Jean-Paul Viguier, Thierry Van de Wyngaert, Etienne Tricaud, Clément Blanchet, Bernard Desmoulin, Luigi Failla, Club Prisme, Patrice Gourbin, Chris Younes, Belinda Cannone, Anne Speicher, Sébastien Giorgis, Corinne Vezzoni, Alexandre Chemetoff.
Fabienne Bulle : A la recherche de centralités spécifiques
Chris Younes : Les femmes au coeur des villes p. 116-119[-]

A travers cette exposition consacrée aux artistes femmes, avec plus de 500 oeuvres, près d'une centaine d'artistes, sur une durée de près de deux ans et sur plus de 7500 m2, le Centre Pompidou dresse l'état des lieux de la transformation fondamentale de la condition des femmes depuis un siècle et présente la plus importante manifestation jamais dédiée aux artistes femmes des XX° et XXI° siècles.
Avec près de 200 artistes reproduits, le catalogue de l'exposition offre une approche de ces peintres, sculpteurs, vidéastes, cinéastes, designers, architectes, avec des figures féminines de la modernité comme Sonia Delaunay, Sophie Taeuber-Arp, Dora Maar, Germaine Krull, Eileen Gray, Charlotte Perriand, jusqu'aux représentantes les plus jeunes de ces disciplines, en passant par les oeuvres magistrales de Louise Bourgeois, Annette Messager, Gina Pane, Agnès Martin, ou encore Eva Hesse.[-]

Ce livre réunit des réflexions et des analyses sur la place des femmes et des hommes dans la ville et sur les projets urbains égalitaires qui veulent changer les rapports entre les sexes. Les projets anciens et ceux qui sont expérimentés aujourd'hui, utopistes ou réalisés, font comprendre comment les normes sociales de sexe s'affichent dans les villes, comment lieux et genres interagissent dans leur construction sociale simultanée, et se saisissent de la sexualité comme vecteur fondamental de l'utopie socio-urbaine.[-]

Opérant une mise en questions radicales de la pensée sur le "genre" dans son rapport à la sexualité, Judith Butler veut rendre intelligible, mais aussi vivable, la multiplication des identités sexuelles et leur "prolifération" dans les failles d'un système binaire opposant hiérarchiquement le masculin et le féminin, et structuré par la norme hétérosexuelle. Pour l'enseignante de Berkeley, être un homme ou une femme est l'effet d'un discours et d'une formation de pouvoir qui peuvent, sous certaines conditions, être subvertis.[-]

Cette recherche s'inscrit dans une démarche visant à porter un regard critique sur l'habitat contemporain et son contexte urbain, et au sein de cette problématique, sur le rapport entre condition féminine et habitat. La division de la ville en zones fonctionnelles, la ségrégation des quartiers, la formalisation d'une sphère domestique privée se développent au XIXe siècle et ne sont pas irréversibles car les structures urbaines sont le résultats de rapports sociaux changeants. Cette partie de la recherche, centrée sur la ville de Denain près de Valenciennes, étudie l'habitat des ingénieurs, celui des ouvriers, le role des femmes dans ces deux contextes et les pratiques collectives des cités ouvrières.[-]

La formalisation du logement bourgeois (du XIXe siècle à l'entre-deux guerres) coincidant avec l'apparition de quartiers d'habitation où règne la ségrégation sociale, est indissociable de l'assignation de la femme à la sphére domestique. Ce travail, consistant à établir les rapports entre condition féminine et habitat, s'appuie sur des données historiques et sur l'analyse spatiale du logement et des équipements collectifs effectuée à partir de trois villes françaises marquées par l'industrie : Roubaix, Denain, Paris et sa banlieue Nord (St Denis et Stains). Il y est question des conditions économiques et sociales d'émergence de la sphère domestique, de la séparation entre lieux de production et lieux d'habitat, du confort et de l'hygiène, de la femme dans le logement bourgeois.[-]

Cette analyse du rapport entre condition féminine et habitat dans les couches populaires part du constat d'une grande évolution du mode de vie et des pratiques de sociabilité dans la classe ouvrière depuis le XIXe siècle. La recherche se situe au point de rencontre entre la position de la femme, la composition de la famille, l'habitat ouvrier et les sociabilités ouvrières au XIXe. L'auteur étudie l'impact des structures industrielles (industrie textile, charbonnages ou sidérurgie à Paris et dans différentes villes) sur les rapports sociaux et les processus d'urbanisation. Les courées et impasses, corons et cités d'entreprises, sont des lieux de précarité et de cohabitation forcée mais où existent des pratiques d'entraide et de solidarité à l'échelle du quartier comparables aux solidarités syndicales dans l'espace du travail. Le XXe siècle voit peu à peu s'effacer cette vie collective au profit des valeurs domestiques et familiales.[-]