Documents CITE INTERNATIONALE UNIVERSITAIRE 21 résultats

Travail d'étude du patrimoine de la Cité internationale universitaire de Paris créée au début des années 1920 pour améliorer les conditions de la vie étudiante et assurer le rayonnement de l'université française. Trente-sept maisons voient le jour entre 1925 et 1969, dans un domaine d'une quarantaine d'hectares situé sur les anciennes fortifications, au sud de la capitale, Ce conservatoire de l'architecture, rénové et mis en valeur, est amené à s'étendre avec dix nouvelles maisons construites à l'horizon 2020. L'ouvrage aborde également l'idéal humaniste et pacifiste à l'origine de la Cité conçue comme un "phalanstère international "
.[-]

La Cité internationale universitaire de Paris, née dans les années 1920, sur l'emplacement des fortifications, répond à l'objectif de créer un foyer international favorisant le rapprochement des peuples et la paix universelle. Chaque résidence a sa propre singularité, reflétant le pays d'origine, et l'ensemble, qui héberge aujourd'hui des étudiants de plus de 130 nationaltés, se présente comme un musée en plein air d'un demi-siècle de création architecturale. [-]

Inaugurée en 1925, la fondation Deutsch est la première résidence de la Cité internationnale universitaire. Conçue par l'architecte Lucien Bechmann dans un style " régionaliste " inspiré de l'architecture médiévale, elle se compose de sept pavillons en brique et pierre groupés symétriquement autour d'un jardin. Cette disposition en " hameau " lui donne un cachet pittoresque et la distingue des autres maisons auxquelles son programme a servi de modèle.[-]

Ce livre est consacré à la Cité internationale universitaire de Paris. Créée après la première guerre mondiale dans un idéal pacifiste, humaniste et universel, elle était dédiée à l'accueil des étudiants, chercheurs et artistes venus du monde entier. Dans un parc de 34 hectares, les 37 résidences de la Cité internationale illustrent les tendances architecturales majeures de l'époque des deux grandes périodes de construction. La première, dans l'entre-deux guerre est caractérisée par la coexistence de styles variés alors que la suivante, après la seconde guerre mondiale, voit se déployer le style international.[-]

Première résidence de la Cité universitaire de Paris, la fondation Deutsch de la Meurthe est une oeuvre philanthropique et hygiéniste, qui voit le jour au début des années vingt. Conçue par l'architecte Lucien Bechmann dans un style pittoresque proche des collèges anglais, elle se compose de sept pavillons en brique et pierre disposés "en hameau" autour d'un jardin. Elle servira de laboratoire expérimental et de modèle pour l'architecture et l'aménagement de l'ensemble du site.[-]

Confrontée en tant que maître d'ouvrage à la réhabilitation (par Béguin et Macchini) de la Fondation Avicenne (Maison de l'Iran réalisée par Claude Parent, André Bloc, Mossem Foroughi, Hedar Ghiai), la Cité internationale a organisé un colloque sur la problématique technique et patrimoniale de la restauration d'architectures métalliques de la seconde moitié du 20e siècle. Les diverses contributions d'ingénieurs, d'architectes traitent de cas précis en France et à l'étranger : l'Université de Jussieu, le Yale Center for British Art , la RAI à Turin, l'usine Van Nelle de Rotterdam, le sanatorium Zonnestraal d'Hilversum.(ENSA).[-]

Projets architecturaux et urbanisiques de Bernard Reichen et Philippe Robert, entre 1993 et 2002 : nombreuses reconversions de sites industriels (Maag +, Grands Moulins de Pantin, docks Vauban), restructurations et aménagements de quartiers, notamment des zones côtières (Walsh Bay à Sydney, baie du Falaie à Athènes). Plusieurs projets sont axés sur le développement de modes de transports en site propre (tramway de Caen et Nantes), alliant la mobilité à un souci environnemental en milieu urbain.[-]

Panorama des réalisations de Le Corbusier, avec une première partie consacrée aux liens des mouvements picturaux, comme le Cubisme et le Suprématisme, avec l'architecture. L'ouvrage aborde les techniques "libératrices" employées par Le Corbusier (pilotis, toit-terrasse), le rôle de la lumière et de la polychromie dans ses constructions, ainsi que l'étude de leurs compositions et plans. Enfin, les travaux et projets urbanistiques comme Chandigarh, Alger, Rio de Janeiro.[-]

Ambassade de France à Brasilia, pavillon d'exposition à Zurich, couvent Sainte-Marie-de-la-Tourette, Visual Arts Center Cambridge Mass. USA, Chandigarh, Centre de calculs électroniques Olivetti à Rho-Milan, Maison des jeunes et de la culture Unité d'habirtation et église à Firminy, Nouvel hopital de Venise, Palais des congrès de Strasbourg, Centre international d'art à Erienbach, palais des expositions à Stockholm, Musée à Tokyo, Maison du Brésil, Communication "La fin d'un monde, les unités d'habitation", projet pour un centre culturel Orsay-Paris, concours international d'urbanisme de Berlin 1961.[-]

Résumé de l'auteur : travail de recherche sur la Cité Internationale Universitaire de Paris et l'espace Ouest dit pavillon Laprade. Travail de recherche sur les espaces de travail pour étudiants, tiers-lieux, espaces liés au numérique.

Projet : Le projet est la transfomation du pavillon Laprade à la Cité Universitaire. Il s'agit d'un "tiers lieu" dédié aux étudiants et habitants du quartier, comportant espaces de travail, espaces informels.

Mots clés :Tiers-Lieux, CIUP, Etudiants, Albert Laprade

Note de la bibliothèque : le mémoire documente la Cité Universitaire, le pavillon A. Laprade, des projets récents de bibliothèque et de learning center, les fablabs, espaces de co-working ou dédiés au numérique. [-]

Ce numéro spécial consacré à l'oeuvre de l'architecte Claude Parent (1923-2016), à évalue la portée de l'oeuvre de Claude Parent dans l'architecture française du XXe siècle. Bien que la réception de son oeuvre ait progressé depuis la fin des années 90 la reconnaissance patrimoniale de ses réalisations est loin d'être acquise. Deux bâtiments sont analysés en détail : La villa Drusch à Versailles, non protégée bien qu'emblématique de la théorie de l'oblique et la maison de l'Iran à Paris fondation Avicenne, inscrit au titre des Monuments Historiques, et réaménagée de 2006 à 2012 pae Gilles Béguin et Jean André Macchini. [-]

Revue d'art mensuelle comprenant des compte-rendus de Salons (Salon d'Automne, Salon des Arts Ménagers, Salon des Artistes Décorateurs, Salon de l'Automobile, de l'Aviation) des rubriques d'actualité (artistique, littéraire, musicale)une chronique d'urbanisme (projets d'aménagement dans Paris), un reportage sur un jardin privé à chaque numéro. A partir de 1934 pages du comité d'architecture. résumés en anglais.PLan de l'exposition coloniale de 1931.
état correct
3e année : 1927 N°9
4 e année : 1928 complet N°s 1à12
5 e année : 1929 complet N°s 1à12
6 e année : 1930 complet N°s 1à12
7 e année : 1931 complet N°s 1à12
9 e année : 1933 complet N°s 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9-10, 11, 12
10 e année1934, complet N°s 1,2,3,4,5,6, 7-8-9, 10, 11, 12
11 e année1935, incomplet, N°s, 1, 2, 5-6, 7, 9, 11, 12, pages manquantes.
[-]

Le thème de « Casabella » 957 est la juxtaposition de deux époques à la fois proches et différentes. Les premières pages présentent trois bâtiments conçus pour offrir des espaces spécifiques à des fonctions qui ne sont qu'apparemment diverses. La logique qui préside à la construction de ce numéro a poussé « Casabella » à faire précéder les images qui les représentent d'une photographie du Silo à sel de Solsire construit par Eladio Dieste à Montevideo, de 1992 à 1994 : des voûtes à double courbure d'une portée de 28,5 mètres et d'une hauteur de 13 couvrent un espace non segmenté d'une longueur de 108 mètres. Ce travail de Dieste a été réalisé à une époque où le logiciel AutoCAD était à peine mentionné. Il est difficile d'imaginer que des projets tels que ceux examinés dans « Casabella » 957, conçus par Experience, Felgendreher Olfs Köchling et Karamuk Kuo, trois vastes conteneurs partageant le fait d'être des « vides » comme les définit Michel Carlana, aient pu être conçus sans l'aide des technologies utilisées aujourd'hui par la plupart des bureaux d'études contemporains.


Les méthodes de travail des architectes de notre époque sont totalement différentes de celles qui ont permis la formation de la tradition qui leur est la plus proche. C'est pourquoi « Casabella » 957 explore un épisode qui n'est pas universellement connu, à savoir le travail mené par l'architecte danois Kay Fisker du début du XXe siècle aux années 1960, en abordant des thèmes de la vie contemporaine et en créant des œuvres telles que le Pavillon danois à l'Expo de Paris de 1925, l'Université d'Aarhus et l'Académie danoise de Rome. En plus de 70 pages de « Casabella » 957, Luca Ortelli a rassemblé des dessins, des photographies et des informations pour familiariser nos lecteurs avec la carrière de Fisker, dont les œuvres représentent une base de comparaison instructive avec ce qui se fait dans les cabinets d'architecture « sans papier » de notre époque.[-]